Un Hommage Éclatant aux Mamans : La Troisième Édition du Festival International Non é Zan à Cotonou
Cotonou, 23mai 2025 — Dans l’effervescence de Cotonou, ville vibrante et carrefour culturel du Bénin, s’est ouverte, le jeudi 22 mai 2025, la troisième édition du Festival International Non é Zan. Porté par une thématique empreinte de cœur, « Célébrer nos mamans, c’est célébrer la vie », cet événement a choisi la veille de la fête des Mères pour déployer ses fastes, jusqu’à leur apogée le dimanche 25 mai. C’est ainsi qu’à la Maison du Peuple d’Agla, lieu chargé de symbole, que la cérémonie inaugurale a pris vie, mêlant éloquence et grâce chorégraphique dans une ode vibrante à la figure maternelle.
Non é Zan : une vision née de la passion pour les mères
À l’origine de cette célébration, Prosper Bohoun, esprit audacieux et fervent ambassadeur de la culture béninoise, a insufflé une dynamique singulière à ce festival. Par ailleurs, Geneviève Kpangoun, assistante du coordonnateur et voix du comité d’organisation, a captivé l’assistance en retraçant cette genèse : « Non é Zan est né d’une étincelle créatrice jaillie de l’imagination de Prosper Bohoun. Avec une équipe animée d’un zèle ardent, nous avons sculpté cette initiative pour qu’elle résonne avec l’hommage universel aux mères. » Par conséquent, elle a dévoilé un programme foisonnant, étalé sur quatre jours, conçu pour magnifier l’amour inaltérable, la résilience et la place cardinale des mamans dans le tissu social.
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Éloges et engagements : les autorités célèbrent les mères
D’ailleurs, la journée d’ouverture a été un tableau vivant, où les mots et les pas de danse se sont entrelacés pour honorer les mères. Paul Sêhouêwê, émissaire du maire Luc Setondji Atrokpo, a prononcé un éloge vibrant : « Porter à l’honneur celles qui tissent les fondations de nos sociétés, qui insufflent nos valeurs et incarnent l’essence même de la vie, voilà un acte d’une noblesse rare. » « Les mères, premières gardiennes de l’éducation, forgent l’âme des générations avec une abnégation sans égale. » Il a aussi scellé son discours par une promesse : le soutien indéfectible de la mairie pour les éditions à venir.
Noa Agbafa, représentant le Ministère des Affaires Sociales, a ajouté une note poignante : « Les mères sont les artisanes discrètes de notre destin collectif, les sentinelles de nos traditions et les piliers de notre harmonie. » « Leur présence amplifie chaque victoire, souvent au prix de leurs propres aspirations. » De plus, elle a mis en lumière les efforts du ministère, notamment via le microcrédit Alafia, pour doter les femmes de moyens d’émancipation économique, un écho concret à l’esprit du festival.
Un programme festif aux mille couleurs : honorer les Mères en musique et en découverte
Au-delà des discours, le festival déploie un éventail d’activités pour enchanter et élever ses héroïnes. Une escapade touristique vers Porto-Novo, joyau du Bénin, offrira aux mamans une fenêtre sur les avancées du président Patrice Talon dans le domaine touristique, tout en célébrant la splendeur de la capitale. En outre, sur scène, des artistes d’exception tels que Hountin Kiki, Éléphant Mouillé, Masta Cool, le professeur Aladé Koffi Adolphe et la compagnie Wobaho illumineront les festivités, leurs performances tissant un lien profond avec l’héritage culturel béninois.
Non é Zan : une parenthèse enchantée pour les mères du Bénin
Ce festival n’est pas qu’une célébration ; c’est une respiration offerte aux mères, une chance de s’extraire du quotidien pour s’immerger dans un écrin de reconnaissance. Pendant quatre jours, du 22 au 25 mai, elles seront les reines d’un événement qui, loin d’être éphémère, gravera dans les esprits leur rôle irremplaçable.
Ainsi s’élève la troisième édition du Festival International Non é Zan, une symphonie d’hommages où chaque note, chaque geste, célèbre la vie à travers celles qui la donnent et la portent. Un rendez-vous qui, déjà, promet de s’inscrire dans la durée comme un phare de gratitude et d’unité.