Dans une déclaration retentissante devant l’assemblée nationale le 21 décembre dernier, le président a mis en lumière le succès éclatant de la politique d’industrialisation du Bénin, avec la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé en tête. Un exploit qui, il y a trois ans, suscitait peu de conviction, même au sein du gouvernement.
Ce projet, initialement accueilli avec scepticisme, a évolué en un fleuron de l’industrialisation béninoise. L’enthousiasme des grandes entreprises pour s’installer dans cette zone prometteuse laisse entrevoir une transformation majeure. Les 10 000 emplois initialement prévus pour les jeunes béninois pourraient rapidement se multiplier, touchant des centaines de milliers de concitoyens.
La valeur ajoutée de cette initiative réside dans la création d’un climat propice aux affaires et à la transformation des matières premières locales. La volonté de conserver ces ressources produites par la population locale reflète une ambition claire : créer de la richesse et de l’emploi au Bénin, évitant ainsi que les générations futures ne soient contraintes à l’exil.
Le discours présidentiel souligne l’importance de la conscientisation collective quant au bonheur, affirmant que celui-ci réside au Bénin, et non à l’étranger. La détermination affichée par le président est claire : les dirigeants du pays mettront tout en œuvre pour que chaque Béninois n’ait pas d’autre choix que de contribuer à l’épanouissement du pays.
Cette vision ambitieuse ne se limite pas à Glo-Djigbé. Elle promet d’impacter l’ensemble du pays, stimulant les industries locales et ouvrant de nouvelles perspectives de développement. L’engagement du président réside dans la création d’un Bénin prospère, distingué et autosuffisant, émergeant des défis de la pauvreté et de la misère.
En conclusion, le président affirme avec détermination que le Bénin tracera son propre chemin vers le développement, un chemin qui le distinguera et l’élèvera au rang des grands pays, sans dépendre de l’assistance extérieure.