Société




Porto-Novo, berceau d’une jeunesse innovante : le youth camp éclaire les voies de l’avenir

Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, sous les cieux vibrants de Porto-Novo, s’est ouverte une agora d’un genre singulier :…

Porto-Novo et Grand-Popo : Quand l’Innovation et l’Agriculture Tissent l’Avenir du Bénin Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, alors que les premières lueurs du jour effleuraient Porto-Novo, un souffle d’espérance s’est élevé dans la capitale béninoise. Le Youth Camp d’Initiation au processus d’innovation a pris son envol, rassemblissant soixante jeunes âmes ardentes, venues des douze départements du pays. Parallèlement, une visite de haut vol a marqué les terres agricoles de Grand-Popo et d’Ouidah, où la Vice-Présidente du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), Gérardine Mukeshimana, a foulé le sol béninois aux côtés des autorités nationales. Entre modernité et tradition, ces événements convergent vers un même horizon : un Bénin prospère, inclusif et résilient. À Porto-Novo, l’élan juvénile s’est déployé sous la bannière d’une ambition claire : initier les jeunes au ballet subtil de l’innovation, de l’identification d’un écueil à son épilogue marchand, en passant par la genèse d’un prototype. Soutenu par le PNUD Bénin et enrichi par la présence de partenaires tels qu’Unipod et Timbuktoo, ce camp se distingue par une audace rare : celle d’ouvrir ses portes à 15 % de jeunes en situation de handicap, fruit d’une alliance avec la Fédération Nationale des Associations des Personnes Handicapées. Ainsi, dans les salles vibrantes d’échanges, se forge une jeunesse plurielle, prête à façonner des lendemains qui ne laissent personne en marge. Pendant ce temps, à des lieues de là, la Vice-Présidente du FIDA, accompagnée de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Bénin et du Directeur régional du FIDA, a entamé un périple au cœur des ambitions agricoles nationales. À Cotonou, les discussions avec le Ministre des Affaires étrangères et son homologue de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, ont révélé une convergence de vues : les projets financés par le FIDA, tels que le PADAAM, sont des leviers essentiels pour hisser le Bénin vers l’autosuffisance alimentaire. À Grand-Popo, la coopérative Matekpo, visitée par cette délégation prestigieuse, incarne cette aspiration. Grâce au soutien du FIDA, huit hectares supplémentaires seront bientôt ensemencés, promettant quatre tonnes de riz par hectare – une moisson qui murmure déjà le doux chant de l’abondance. À Ouidah, l’itinéraire s’est poursuivi auprès des maraîchers, dont les sillons irrigués par l’appui du FIDA témoignent d’une résilience grandissante. Ici, l’objectif n’est pas seulement d’accroître les rendements, mais de fortifier les producteurs face aux caprices du climat et aux aléas économiques. Puis, point d’orgue de cette odyssée agricole, la remise de vingt tracteurs aux bénéficiaires du projet PADAAM a scellé une promesse de modernisation. Ces engins, symboles d’une mécanisation naissante, sont autant de ponts jetés entre le labeur ancestral et une productivité nouvelle, porteuse de transformations profondes. De Porto-Novo à Grand-Popo, en passant par Ouidah, ces instants ne sont pas de simples échos d’un jour. Ils sont les prémices d’un récit plus vaste, où la jeunesse invente, où la terre répond, où les mains unies – celles des autorités, des partenaires internationaux et des citoyens – esquissent un Bénin maître de son destin. Et lorsque le soleil s’est couché hier sur ces terres fécondes, une vérité s’est imposée, douce et souveraine : c’est dans l’entrelacs des rêves audacieux et des champs florissants que germe, silencieusement, la grandeur d’une nation.

Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, sous les cieux vibrants de Porto-Novo, s’est ouverte une agora d’un genre singulier : le Youth Camp d’initiation au processus d’innovation. Soixante âmes juvéniles, puisées dans les douze départements du Bénin, ont convergé vers la capitale politique pour un rendez-vous avec l’avenir. En effet, orchestré avec une ambition limpide, cet événement, porté par le PNUD Bénin, entend insuffler aux jeunes les arcanes d’une démarche créatrice où se conjuguent problème, solution, prototype et marché, une alchimie visant à transformer les idées en réalités tangibles.

Porto-Novo et Grand-Popo : Quand l’Innovation et l’Agriculture Tissent l’Avenir du Bénin
Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, alors que les premières lueurs du jour effleuraient Porto-Novo, un souffle d’espérance s’est élevé dans la capitale béninoise. Le Youth Camp d’Initiation au processus d’innovation a pris son envol, rassemblissant soixante jeunes âmes ardentes, venues des douze départements du pays. Parallèlement, une visite de haut vol a marqué les terres agricoles de Grand-Popo et d’Ouidah, où la Vice-Présidente du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), Gérardine Mukeshimana, a foulé le sol béninois aux côtés des autorités nationales. Entre modernité et tradition, ces événements convergent vers un même horizon : un Bénin prospère, inclusif et résilient.
À Porto-Novo, l’élan juvénile s’est déployé sous la bannière d’une ambition claire : initier les jeunes au ballet subtil de l’innovation, de l’identification d’un écueil à son épilogue marchand, en passant par la genèse d’un prototype. Soutenu par le PNUD Bénin et enrichi par la présence de partenaires tels qu’Unipod et Timbuktoo, ce camp se distingue par une audace rare : celle d’ouvrir ses portes à 15 % de jeunes en situation de handicap, fruit d’une alliance avec la Fédération Nationale des Associations des Personnes Handicapées. Ainsi, dans les salles vibrantes d’échanges, se forge une jeunesse plurielle, prête à façonner des lendemains qui ne laissent personne en marge.
Pendant ce temps, à des lieues de là, la Vice-Présidente du FIDA, accompagnée de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Bénin et du Directeur régional du FIDA, a entamé un périple au cœur des ambitions agricoles nationales. À Cotonou, les discussions avec le Ministre des Affaires étrangères et son homologue de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, ont révélé une convergence de vues : les projets financés par le FIDA, tels que le PADAAM, sont des leviers essentiels pour hisser le Bénin vers l’autosuffisance alimentaire. À Grand-Popo, la coopérative Matekpo, visitée par cette délégation prestigieuse, incarne cette aspiration. Grâce au soutien du FIDA, huit hectares supplémentaires seront bientôt ensemencés, promettant quatre tonnes de riz par hectare – une moisson qui murmure déjà le doux chant de l’abondance.
À Ouidah, l’itinéraire s’est poursuivi auprès des maraîchers, dont les sillons irrigués par l’appui du FIDA témoignent d’une résilience grandissante. Ici, l’objectif n’est pas seulement d’accroître les rendements, mais de fortifier les producteurs face aux caprices du climat et aux aléas économiques. Puis, point d’orgue de cette odyssée agricole, la remise de vingt tracteurs aux bénéficiaires du projet PADAAM a scellé une promesse de modernisation. Ces engins, symboles d’une mécanisation naissante, sont autant de ponts jetés entre le labeur ancestral et une productivité nouvelle, porteuse de transformations profondes.
De Porto-Novo à Grand-Popo, en passant par Ouidah, ces instants ne sont pas de simples échos d’un jour. Ils sont les prémices d’un récit plus vaste, où la jeunesse invente, où la terre répond, où les mains unies – celles des autorités, des partenaires internationaux et des citoyens – esquissent un Bénin maître de son destin. Et lorsque le soleil s’est couché hier sur ces terres fécondes, une vérité s’est imposée, douce et souveraine : c’est dans l’entrelacs des rêves audacieux et des champs florissants que germe, silencieusement, la grandeur d’une nation.Youth Camp : inclusion et diversité au cœur de l’événement

Dès l’aube de cette rencontre, une intention noble s’est dessinée : celle de ne laisser aucun talent dans l’ombre. Ainsi, dans une alliance inédite, le PNUD Bénin a joint ses forces à celles de la Fédération Nationale des Associations des Personnes Handicapées. Résultat : 15 % des participants, jeunes filles et garçons en situation de handicap ont pris place dans ce cénacle, faisant de ce camp un étendard d’inclusion. Loin d’être une simple statistique, cette présence incarne un souffle d’équité, une promesse que l’innovation ne saurait être l’apanage d’une élite, mais l’endroit où toutes les voix, même les plus faibles, résonnent.

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Porto-Novo et Grand-Popo : Quand l’Innovation et l’Agriculture Tissent l’Avenir du Bénin
Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, alors que les premières lueurs du jour effleuraient Porto-Novo, un souffle d’espérance s’est élevé dans la capitale béninoise. Le Youth Camp d’Initiation au processus d’innovation a pris son envol, rassemblissant soixante jeunes âmes ardentes, venues des douze départements du pays. Parallèlement, une visite de haut vol a marqué les terres agricoles de Grand-Popo et d’Ouidah, où la Vice-Présidente du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), Gérardine Mukeshimana, a foulé le sol béninois aux côtés des autorités nationales. Entre modernité et tradition, ces événements convergent vers un même horizon : un Bénin prospère, inclusif et résilient.
À Porto-Novo, l’élan juvénile s’est déployé sous la bannière d’une ambition claire : initier les jeunes au ballet subtil de l’innovation, de l’identification d’un écueil à son épilogue marchand, en passant par la genèse d’un prototype. Soutenu par le PNUD Bénin et enrichi par la présence de partenaires tels qu’Unipod et Timbuktoo, ce camp se distingue par une audace rare : celle d’ouvrir ses portes à 15 % de jeunes en situation de handicap, fruit d’une alliance avec la Fédération Nationale des Associations des Personnes Handicapées. Ainsi, dans les salles vibrantes d’échanges, se forge une jeunesse plurielle, prête à façonner des lendemains qui ne laissent personne en marge.
Pendant ce temps, à des lieues de là, la Vice-Présidente du FIDA, accompagnée de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Bénin et du Directeur régional du FIDA, a entamé un périple au cœur des ambitions agricoles nationales. À Cotonou, les discussions avec le Ministre des Affaires étrangères et son homologue de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, ont révélé une convergence de vues : les projets financés par le FIDA, tels que le PADAAM, sont des leviers essentiels pour hisser le Bénin vers l’autosuffisance alimentaire. À Grand-Popo, la coopérative Matekpo, visitée par cette délégation prestigieuse, incarne cette aspiration. Grâce au soutien du FIDA, huit hectares supplémentaires seront bientôt ensemencés, promettant quatre tonnes de riz par hectare – une moisson qui murmure déjà le doux chant de l’abondance.
À Ouidah, l’itinéraire s’est poursuivi auprès des maraîchers, dont les sillons irrigués par l’appui du FIDA témoignent d’une résilience grandissante. Ici, l’objectif n’est pas seulement d’accroître les rendements, mais de fortifier les producteurs face aux caprices du climat et aux aléas économiques. Puis, point d’orgue de cette odyssée agricole, la remise de vingt tracteurs aux bénéficiaires du projet PADAAM a scellé une promesse de modernisation. Ces engins, symboles d’une mécanisation naissante, sont autant de ponts jetés entre le labeur ancestral et une productivité nouvelle, porteuse de transformations profondes.
De Porto-Novo à Grand-Popo, en passant par Ouidah, ces instants ne sont pas de simples échos d’un jour. Ils sont les prémices d’un récit plus vaste, où la jeunesse invente, où la terre répond, où les mains unies – celles des autorités, des partenaires internationaux et des citoyens – esquissent un Bénin maître de son destin. Et lorsque le soleil s’est couché hier sur ces terres fécondes, une vérité s’est imposée, douce et souveraine : c’est dans l’entrelacs des rêves audacieux et des champs florissants que germe, silencieusement, la grandeur d’une nation.Au fil des heures, les esprits se sont éveillés, les mains se sont activées. Sous la houlette d’experts, ces jeunes, issus de contrées aussi diverses que les collines de Dassa ou les plaines de Malanville, ont plongé dans un ballet intellectuel : identifier les maux qui rongent leurs communautés, esquisser des remèdes audacieux, façonner des prototypes et rêver leur envol sur les marchés. Ce n’est pas une vaine utopie, mais un dessein concret, ancré dans les réalités béninoises, où la créativité devient levier de progrès.

Porto-Novo et Grand-Popo : Quand l’Innovation et l’Agriculture Tissent l’Avenir du Bénin
Cotonou, 11 mars 2025 – Hier, alors que les premières lueurs du jour effleuraient Porto-Novo, un souffle d’espérance s’est élevé dans la capitale béninoise. Le Youth Camp d’Initiation au processus d’innovation a pris son envol, rassemblissant soixante jeunes âmes ardentes, venues des douze départements du pays. Parallèlement, une visite de haut vol a marqué les terres agricoles de Grand-Popo et d’Ouidah, où la Vice-Présidente du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), Gérardine Mukeshimana, a foulé le sol béninois aux côtés des autorités nationales. Entre modernité et tradition, ces événements convergent vers un même horizon : un Bénin prospère, inclusif et résilient.
À Porto-Novo, l’élan juvénile s’est déployé sous la bannière d’une ambition claire : initier les jeunes au ballet subtil de l’innovation, de l’identification d’un écueil à son épilogue marchand, en passant par la genèse d’un prototype. Soutenu par le PNUD Bénin et enrichi par la présence de partenaires tels qu’Unipod et Timbuktoo, ce camp se distingue par une audace rare : celle d’ouvrir ses portes à 15 % de jeunes en situation de handicap, fruit d’une alliance avec la Fédération Nationale des Associations des Personnes Handicapées. Ainsi, dans les salles vibrantes d’échanges, se forge une jeunesse plurielle, prête à façonner des lendemains qui ne laissent personne en marge.
Pendant ce temps, à des lieues de là, la Vice-Présidente du FIDA, accompagnée de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Bénin et du Directeur régional du FIDA, a entamé un périple au cœur des ambitions agricoles nationales. À Cotonou, les discussions avec le Ministre des Affaires étrangères et son homologue de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, ont révélé une convergence de vues : les projets financés par le FIDA, tels que le PADAAM, sont des leviers essentiels pour hisser le Bénin vers l’autosuffisance alimentaire. À Grand-Popo, la coopérative Matekpo, visitée par cette délégation prestigieuse, incarne cette aspiration. Grâce au soutien du FIDA, huit hectares supplémentaires seront bientôt ensemencés, promettant quatre tonnes de riz par hectare – une moisson qui murmure déjà le doux chant de l’abondance.
À Ouidah, l’itinéraire s’est poursuivi auprès des maraîchers, dont les sillons irrigués par l’appui du FIDA témoignent d’une résilience grandissante. Ici, l’objectif n’est pas seulement d’accroître les rendements, mais de fortifier les producteurs face aux caprices du climat et aux aléas économiques. Puis, point d’orgue de cette odyssée agricole, la remise de vingt tracteurs aux bénéficiaires du projet PADAAM a scellé une promesse de modernisation. Ces engins, symboles d’une mécanisation naissante, sont autant de ponts jetés entre le labeur ancestral et une productivité nouvelle, porteuse de transformations profondes.
De Porto-Novo à Grand-Popo, en passant par Ouidah, ces instants ne sont pas de simples échos d’un jour. Ils sont les prémices d’un récit plus vaste, où la jeunesse invente, où la terre répond, où les mains unies – celles des autorités, des partenaires internationaux et des citoyens – esquissent un Bénin maître de son destin. Et lorsque le soleil s’est couché hier sur ces terres fécondes, une vérité s’est imposée, douce et souveraine : c’est dans l’entrelacs des rêves audacieux et des champs florissants que germe, silencieusement, la grandeur d’une nation.

Une jeunesse inspirée pour sculpter l’avenir

L’ombre tutélaire de partenaires comme Unipod et Timbuktoo, dont les noms résonnent comme des appels à l’excellence, a plané sur cette première journée. Leur soutien, discret, mais ferme, rappelle que l’innovation n’est pas un chemin solitaire, mais une œuvre collective où s’entrelacent les visions du local et les ambitions du global. Les murmures d’enthousiasme qui s’élevaient hier des salles de Porto-Novo trahissaient une vérité : ces jeunes ne sont pas de simples spectateurs d’un monde en mutation ; ils en sont les artisans en devenir.

En somme, ce Youth Camp  plante les graines d’un renouveau, où la jeunesse béninoise, dans toute sa diversité, se dresse comme un phare. Car, au bout de ce périple innovant, ce n’est pas seulement un prototype ou une idée qui verra le jour, mais une génération entière, prête à sculpter un avenir dans lequel nul ne sera oublié, où chaque pas en avant sera un hymne à l’espoir partagé.

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