Le Bénin enflamme la Fashion Week : du textile à l’identité

Entre héritage vodoun et streetwear engagé, le Bénin impose sa vision à New York et séduit les faiseurs de tendances.

 

Cotonou, 22 septembre 2025 – Sous les projecteurs de la New York Fashion Week, une silhouette élancée avance, drapée dans un pagne aux motifs ancestraux. Ce n’est pas un mirage : c’est le Bénin qui défile, qui hypnotise, qui impose son rythme à la capitale mondiale du chic. En effet, neuf jours après cette irruption tonitruante, l’écho de cette « Journée Bénin » résonne encore dans les ateliers de Brooklyn et les boutiques de SoHo. Ainsi, professionnels de la mode, influenceurs globaux et acheteurs impatients restent suspendus aux lèvres d’un pays qui murmure « made in Benin » comme un mantra irrésistible.

« Journée Bénin » : une stratégie culturelle portée par l’ADAC

 

Pas de chichis hollywoodiens ici, mais plutôt une offensive culturelle ciselée par l’Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC), dirigée par William Codjo. Devant un parterre cosmopolite, il déroule le tapis rouge au savoir-faire local : textiles tissés à la main, talents émergents, et une vision gouvernementale claire. Par conséquent, la mode béninoise devient un levier d’exportation et d’inspiration. « C’est notre fil rouge vers l’international », affirme Codjo, en évoquant les initiatives pour structurer une filière textile dynamique à Cotonou, Porto-Novo et Ouidah.

Lors de la Fashion Week de New York, le Bénin a marqué les esprits avec une "Journée Bénin" mémorable. En effet, entre pagnes tissés, silhouettes urbaines et récits identitaires, la mode béninoise s’est imposée comme une force créative. Par ailleurs, cette initiative portée par l’ADAC et Orun ouvre des perspectives concrètes pour l’exportation et la formation. En somme, le Bénin affirme sa place sur la carte mondiale du style.

 Le streetwear béninois : entre héritage et réinvention

 

Le clou du spectacle ? Un défilé vibrant au cœur de la NYFW. On y découvre Paulin Bédou, sculpteur et bijoutier franco-béninois, dont les pièces organiques inspirées du vodoun ornent les tenues comme des talismans modernes. À ses côtés, Jamal Chleuh, co-fondateur de Rosyne Club, enflamme la piste avec une collection qui fusionne l’héritage 229 et l’énergie des mégapoles européennes. De ce fait, la marque née à Cotonou tisse des récits d’urbanité africaine : t-shirts oversize, hoodies texturés, pantalons patchwork. En outre, sa collection Automne 2025 rend hommage au « kaki » béninois, réinventé en rose vif – symbole d’unité et de rébellion douce.

 Une alliance panafricaine pour rayonner

 

Derrière cette percée, l’agence ivoirienne Orun orchestre la logistique – visas, voyages, mise en scène – pour que les talents diasporiques brillent sans entraves. « C’est plus qu’une vitrine : c’est un tremplin », souligne Codjo. Ainsi, des partenariats se dessinent : commandes en gros pour les tissus béninois, stages pour les apprentis couturiers de Parakou. Par ailleurs, cette journée « Bénin » incarne un engagement présidentiel : faire de la mode un ambassadeur culturel et un moteur économique.

 

Le Bénin : vers une industrie textile exportable

 

Neuf jours plus tard, alors que les collections printemps 2026 s’esquissent à Manhattan, le Bénin ne cesse de faire parler de lui. Toutefois, le défi reste immense : transformer cet élan médiatique en une industrie capable de produire à grande échelle. En somme, il s’agit de passer du podium à l’usine, du buzz à la pérennité. La question demeure : cette percée sera-t-elle le prélude à une renaissance créative ou une étoile filante dans l’univers impitoyable de la haute couture ?

 

Le Bénin tisse son destin à la New York Fashion Week

Sur les podiums de Manhattan, les étoffes béninoises s’apprêtent à danser. Leurs motifs ne sont pas de simples décors ; ils sont mémoire, manifeste et promesse. Les 12 et 13 septembre 2025, le Bénin, soutenu par l’Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC), investira la New York Fashion Week (NYFW) avec une ambition claire : faire du « Made in Benin » une signature mondiale, à la croisée du patrimoine et de l’innovation.

Une vitrine mondiale pour une créativité enracinée

 

Invité par ORUN, un partenaire stratégique engagé dans la valorisation des talents africains, le Bénin bénéficiera d’une journée entière dédiée à son univers textile et créatif. En fait, dans une arène qui attire plus de 230 000 visiteurs et génère des centaines de millions de dollars en retombées économiques, cette présence marque une avancée décisive pour l’écosystème de la mode béninoise.

 

Les objectifs sont clairs et mobilisateurs :

  • Valoriser le patrimoine textile et culturel du Bénin.
  • Positionner la création béninoise comme un moteur de l’influence africaine.
  • Offrir une visibilité internationale aux designers et artisans locaux.
  • Créer des ponts stratégiques avec les investisseurs et prescripteurs mondiaux.

 

Un programme chargé entre héritage et audace

 

D’ailleurs, la journée du 13 septembre sera rythmée par trois temps forts :

 

  • Master Talk : Le Directeur Général de l’ADAC dialoguera avec des figures majeures de la mode africaine pour explorer les enjeux de transmission, de professionnalisation et de rayonnement.
  • Défilé de clôture : Un show exclusif réunira également des créateurs du Bénin et de sa diaspora, dans une scénographie célébrant la fusion entre tradition et modernité.
  • Orun X Designers Pop-Up Showcase : Un showroom éphémère mettra en lumière une nouvelle génération de stylistes, porteurs d’une esthétique engagée et territorialisée.

 

Le Bénin, une politique culturelle qui tisse son avenir

 

Cette participation s’inscrit directement dans la stratégie du gouvernement béninois de faire du secteur créatif un levier de développement économique. En effet, l’ADAC, en tant qu’institution publique, accompagne la professionnalisation de la filière mode, en favorisant l’insertion, la formation et la structuration durable de l’écosystème.

De son côté, ORUN, acteur engagé dans la diplomatie culturelle, œuvre à connecter les talents africains aux grandes scènes internationales. En collaborant avec le Bénin pour la NYFW, l’organisation renforce aussi son engagement à faire émerger une Afrique créative, visible et influente.

En conclusion, cette présence à New York n’est pas qu’une affaire de mode ; elle est une affirmation d’identité, une stratégie d’influence et une preuve que la culture peut être un puissant moteur de développement économique. La scène de la Fashion Week de New York devient ainsi un tremplin pour l’industrie créative béninoise, laissant présager un avenir où les créateurs africains occuperont une place de plus en plus prépondérante sur la scène internationale.

Cotonou en vogue : le Bénin tisse son avenir créatif

Cotonou, symphonie de l’élégance : Le Mois de la Mode clôture en apothéose

Cotonou, 30 juillet 2025 – Ce week-end, Cotonou a vibré au rythme de la créativité et de l’élégance, clôturant en apothéose la septième édition du Mois de la Mode. Orchestré par le ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts, à travers l’Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC), cet événement s’est imposé également comme une vitrine éclatante du génie vestimentaire béninois, mêlant tradition, innovation et ambition économique.


La 7ᵉ édition du Mois de la Mode à Cotonou célèbre l’audace des créateurs béninois et affirme la mode comme levier stratégique de développement et de rayonnement international.

Le Dôme s’illumine : Quand la Mode béninoise raconte son histoire

 

Le grand final, marqué par un défilé spectaculaire samedi soir au jardin du dôme Sofitel, a captivé un public conquis. Sous les feux des projecteurs, de jeunes créateurs audacieux et des stylistes chevronnés ont dévoilé des collections qui célèbrent l’âme du Bénin. En effet, des tissus locaux, comme le coton et l’indigo, aux coupes modernes et audacieuses, chaque pièce racontait une histoire d’héritage et de modernité. « La mode, c’est notre identité en mouvement », a déclaré William Codjo, directeur de l’ADAC, soulignant l’importance de cet événement pour révéler la créativité béninoise au monde.

« Racines et Futur » : Plus qu’un thème, une feuille de route pour l’industrie

 

Cette édition, placée sous le thème évocateur « Racines et Futur », a transcendé la simple esthétique pour incarner une vision stratégique. Pendant quatre jours, du 23 au 26 juillet, Cotonou s’est transformée en un carrefour d’échanges et d’apprentissage. Ainsi, des visites des infrastructures textiles de la Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) aux panels sur la structuration de la filière mode, en passant par des masterclasses à Ouidah sur la création de marques responsables, le programme a subtilement allié inspiration et professionnalisation. Une exposition intitulée Trames & Talents a également mis en lumière le savoir-faire artisanal, des tisserands aux accessoiristes.

Olouwa G : Le maître d’œuvre d’une mode qui voyage

 

Le styliste Olouwa G, ambassadeur de cette édition, a joué un rôle clé en incarnant le pont entre tradition et modernité. « Cet événement n’est pas qu’un défilé, c’est une tribune où nos rêves prennent forme », a-t-il affirmé, fier de porter les couleurs du Bénin sur la scène internationale. Par ailleurs, ses créations, mêlant influences africaines et collaborations avec des maisons comme Valentino ou Hermès, ont électrisé le public lors de la très attendue Nuit de la Mode.


La 7ᵉ édition du Mois de la Mode à Cotonou célèbre l’audace des créateurs béninois et affirme la mode comme levier stratégique de développement et de rayonnement international.

Le luxe en tissus : Quand l’art devient moteur économique

 

Au-delà de la fête, le Mois de la Mode 2025 a réaffirmé l’engagement du gouvernement à faire de la mode un moteur de développement. Le ministre Jean-Michel Abimbola a rappelé que ce secteur, loin d’être uniquement artistique, est « un levier économique, un vecteur d’emplois et un ambassadeur de notre identité ». Par conséquent, les initiatives comme la formation des jeunes créateurs ou la structuration du marché textile visent à positionner le Bénin comme un pôle créatif de référence en Afrique de l’Ouest.

L’événement, accessible sur invitation ou inscription via les plateformes de l’ADAC, a rassemblé professionnels, médias et passionnés, créant un espace de réseautage unique. Samir Sabé, créateur béninois basé à Paris, a également marqué les esprits par son regard interculturel, renforçant le dialogue entre la diaspora et la scène locale.

Le Bénin, atelier du futur : La Mode, promesse d’un rayonnement sans précédent

 

En refermant ce chapitre, le Mois de la Mode 2025 laisse derrière lui un élan d’optimisme et de nouvelles perspectives. Le Bénin, avec ses talents bouillonnants et sa vision ambitieuse, s’affirme aussi comme une terre de création où la mode, bien plus qu’un art, devient un puissant levier d’avenir. Rendez-vous est déjà pris pour 2026, avec la promesse d’un rayonnement encore plus grand. En effet, en tissant des liens entre héritage culturel et innovation, le Bénin est en train de se positionner non plus seulement comme une destination touristique, mais comme un véritable laboratoire de tendances africaines, prêt à habiller le monde de son audace et de son authenticité.

Cotonou : Le Mois de la Mode Bénin 2025 lance « Racines & Futur » en grande pompe

Cotonou s’embrase pour le lancement du Mois de la Mode 2025 : un rendez-vous vibrant d’élégance et d’ambition

 

Cotonou, 23 juillet 2025 – Ce 23 juillet 2025, l’hôtel Sofitel de Cotonou a été le théâtre d’une cérémonie éclatante marquant le coup d’envoi de la 7ᵉ édition du Mois de la Mode Bénin. Orchestré par l’Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC) sous l’égide du ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts, cet événement promet quatre jours d’effervescence créative, du 23 au 26 juillet, sous le thème évocateur « Racines & Futur ». Dans une ambiance mêlant tradition et modernité, cette grand-messe de la mode béninoise a réuni professionnels, créateurs et passionnés, tous animés par une même ambition : faire rayonner le savoir-faire local sur la scène africaine et internationale.

Le tapis rouge est déroulé : Une inauguration sous le signe de l’identité et de la croissance

 

La cérémonie d’ouverture, tenue dans le cadre somptueux du Sofitel Cotonou, a donné le ton de cette édition 2025. Devant un parterre de figures influentes du secteur, le Ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, Jean-Michel Abimbola, a captivé l’audience par un discours vibrant. Il a souligné l’importance de la mode comme levier de développement économique et culturel, insistant aussi  sur la nécessité de valoriser l’héritage textile béninois tout en projetant le pays vers un avenir audacieux.

« La mode n’est pas qu’une question d’esthétique, c’est une affirmation de notre identité et un moteur de croissance pour notre nation », a-t-il déclaré, galvanisant les participants.

De plus, l’événement, soigneusement orchestré par l’ADAC, a également mis en lumière l’engagement du gouvernement béninois à structurer et professionnaliser la filière mode. Cette ambition s’inscrit dans une stratégie plus large visant à positionner le Bénin comme un pôle de créativité incontournable en Afrique.

Le Mois de la Mode Bénin 2025 démarre à Cotonou, mêlant création contemporaine et tradition textile pour affirmer le pays comme future capitale créative de l’Afrique.

Cotonou vibre : Une programmation riche entre tradition et innovation

 

Du 23 au 26 juillet, Cotonou vibrera au rythme d’une programmation dense et variée. Dès le premier jour, les participants auront l’opportunité de découvrir les infrastructures textiles de la Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), un symbole de l’innovation dans la production locale. Par ailleurs, des panels d’experts et des conférences se tiendront au Sofitel, abordant des thématiques cruciales telles que l’identité stylistique béninoise, les nouveaux modèles économiques et les défis de la durabilité dans la mode.

Un temps fort de cette édition sera la masterclass organisée à Ouidah, axée sur la création de marques responsables et éthiques. Cet atelier, destiné aux professionnels, mettra ainsi l’accent sur des pratiques respectueuses de l’environnement et ancrées dans les valeurs culturelles du Bénin.  En outre , le point d’orgue de l’événement, la « Nuit de la Mode », se tiendra le 26 juillet au jardin du Dôme du Sofitel. Ce défilé prestigieux promet de célébrer l’excellence créative béninoise, avec des collections mêlant audace contemporaine et héritage traditionnel.

Le Mois de la Mode Bénin 2025 démarre à Cotonou, mêlant création contemporaine et tradition textile pour affirmer le pays comme future capitale créative de l’Afrique.

Olouwa G et Samir Sabé : Des ambassadeurs de renom pour un rayonnement mondial

 

Cette 7ᵉ édition bénéficie en plus  du charisme et du talent d’Olouwa G, styliste béninois de renommée internationale, désigné ambassadeur officiel. Évoluant entre Cotonou et Paris, ce créateur, de son vrai nom Ibrahim Abdel Fadel, incarne le mariage parfait entre traditions africaines et modernité. Collaborateur de grandes maisons comme Valentino, Hermès et Prada, il a exprimé sa fierté de porter ce rôle :

« Le Mois de la Mode est une tribune unique pour célébrer nos racines tout en écrivant l’avenir de la création béninoise. »

À ses côtés, Samir Sabé, créateur et influenceur d’origine béninoise établi à Paris, apportera une perspective internationale. Son engagement pour la représentation des identités noires dans la mode promet aussi d’enrichir les débats et d’inspirer la jeune génération.

Le Mois de la Mode Bénin 2025 démarre à Cotonou, mêlant création contemporaine et tradition textile pour affirmer le pays comme future capitale créative de l’Afrique.

La mode béninoise : Un levier stratégique pour l’économie nationale

 

Le Mois de la Mode 2025 s’inscrit dans une dynamique plus large de promotion des industries culturelles et créatives, un axe prioritaire de la politique culturelle du Bénin. En effet, en fédérant stylistes, mannequins, artisans, photographes et médias, l’événement vise à structurer un secteur en pleine effervescence et à encourager la consommation de productions locales. L’accès aux activités, réservé aux professionnels, se fait sur invitation ou inscription préalable via les plateformes officielles de l’ADAC, garantissant un cadre exclusif et propice aux échanges.

Le Bénin, future capitale de la mode africaine : L’ambition est lancée

 

Avec cette nouvelle édition, le Bénin réaffirme sa volonté de devenir une référence incontournable dans le paysage créatif africain. En conjuguant héritage culturel et innovation, le Mois de la Mode 2025 ne se contente pas de célébrer la mode : il pose également les jalons d’une industrie durable, inclusive et rayonnante.

Comme l’a souligné le ministre Abimbola, « le Bénin a tout pour devenir un carrefour de la créativité en Afrique. Cet événement est une étape majeure dans cette ambition. »

En somme, d’ici le 26 juillet, l’effervescence de Cotonou prouvera que le génie créatif béninois est prêt à conquérir le monde, affirmant la place du pays comme une puissance montante de la mode sur le continent et au-delà.

Bénin : U.S. Polo. Assn. propulser la mode béninoise en Europe

Cotonou, le 5 septembre 2024 – Le Bénin vient de franchiser une étape majeure dans son développement industriel. La Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) a annoncé ce jour avoir réalisé sa première exportation de vêtements « Made in Benin » à destination de l’Italie, pour le compte de la prestigieuse marque américaine U. S. Polo. Assn. de la mode.

Ce partenariat stratégique marque un tournant pour le secteur textile béninois. En effet, la GDIZ, qui ne cesse de gagner en attractivité, a réussi à convaincre un géant de la mode offre une large gamme de vêtements, accessoires, articles de voyage, montres et chaussures, disponibles dans plus de 130 pays de lui confier la production d’une partie de sa collection.

Ce contrat réalisée en partenariat avec Incom S.P.A, détenteur de la licence de U.S. Polo. Assn.  sur le marché européen, valant à plus d’un million de pièces sur les prochaines années, témoigne de la qualité et du savoir-faire des artisans béninois.

U. S .Polo. Assn. : Un tremplin pour l’économie béninoise

Cette première exportation d’une gamme de vêtements de haute qualité conçus selon les normes rigoureuses de U.S. POLO, à savoir des Sweat-shirts à capuche, des Polos et des T-shirts est une véritable fierté pour le Bénin.  Par ailleurs, cette réussite fait écho aux précédentes collaborations avec des géants de la mode tels que The Children’s Place et Kiabi, renforçant la position du Bénin en tant que partenaire commercial de choix dans l’industrie du vêtement.

Elle confirme également  le potentiel du pays à se positionner comme un acteur majeur de la production textile en Afrique. Létondji Béhéton, directeur général de la Sipi-Bénin, s’est félicité de cette réussite, soulignant qu’elle ouvre de nouvelles perspectives pour l’économie nationale.

« Ce partenariat avec U.S. Polo. Assn. est une reconnaissance de la qualité de notre production. Il va nous permettre d’attirer d’autres investisseurs et de créer de nouveaux emplois », a-t-il déclaré.

la mode : Une collaboration gagnant-gagnant

De son côté, Francesco Gozzini, directeur de production d’Incom Italie, a souligné la qualité des produits fabriqués au Bénin. « Nous avons été impressionnés par le savoir-faire des artisans béninois et par leur capacité à respecter nos normes de qualité. Ce partenariat est un véritable succès », a-t-il affirmé.

Les clés du succès

Plusieurs facteurs expliquent ce succès :

  • Une zone industrielle performante : La GDIZ offre des infrastructures modernes et des facilités douanières attractives pour les investisseurs.
  • Un savoir-faire reconnu : Les artisans béninois ont une longue tradition dans le domaine du textile et leur savoir-faire est de plus en plus reconnu à l’international.
  • Une politique gouvernementale favorable : Le gouvernement béninois a mis en place des mesures incitatives pour développer le secteur industriel, notamment le textile.

Et demain ?

Fort de ce succès, le Bénin ambitionne de devenir une plateforme régionale pour la production textile. De nouvelles entreprises sont attendues dans la GDIZ, créant ainsi de nouvelles opportunités d’emploi et de croissance.