Eliminatoires CAN 2023 : le Bénin motivé à affronter le Sénégal

Pour sa première sortie aux éliminatoires de la CAN 2023- qui va se jouer en Côte d’Ivoire- le Bénin sera face au Sénégal à Dakar.

 

Revenu en sélection nationale du Bénin après une courte période d’absence, Michaël Pote a livré son opinion sur le Sénégal, le premier adversaire du Bénin dans ces éliminatoires de la CAN 2023. Pour lui, affronter le champion d’Afrique est une motivation supplémentaire pour le groupe.

Pour sa première sortie aux éliminatoires de la CAN 2023, le Bénin sera face au Sénégal à Dakar. Un déplacement qui s’annonce périlleux pour les Ecureuils du Bénin. Mais loin d’être une mission compliquée pour les Béninois, ils en font plutôt une motivation supplémentaire.

Cadre de la sélection nationale du Bénin, Michaël Pote est l’un des premiers à rejoindre le groupe à Cotonou. Son objectif est d’être prêt à répondre au défi du 4 juin prochain. « Ça se passe bien, le groupe revient petit à petit. Les joueurs reviennent de leur saison petit à petit. Ceux qui ont fini tôt comme moi on a commencé tôt histoire d’être au top au moment opportun.», a laissé entendre l’avant-centre des Ecureuils.

Si l’adversaire est de taille, le Bénin a démontré qu’il sait se défendre face aux gros du continent. Face aux champions d’Afrique en titre, les Ecureuils ont bien l’intention de le prouver encore à Dakar. « On se concentre au maximum. Il y a cette motivation en plus parce qu’on sait qu’on va jouer le champion d’Afrique en titre. Dans le même temps, contre les grosses écuries, nous avons démontré de belles choses », a rappelé Michaël Pote.

Affrontement entre militaires nigérians et policiers béninois à Kabo

Le bilan de cet accrochage fait état d’un mort dans les rangs des militaires nigérians et de plusieurs blessés des deux côtés.

 

C’est à un incident regrettable qui s’est produit mercredi 25 mai dernier à Kabo, une localité de Tchaourou frontalière avec le Nigéria. En effet, il y a eu une altercation entre les policiers béninois et les militaires nigérians. Le bilan de cet accrochage fait état d’un mort dans les rangs des militaires nigérians et de plusieurs blessés des deux côtés selon les informations rapportées par le quotidien La Nation. Mais que s’est-il vraiment passé ?

Des militaires nigérians sur le territoire béninois

La même source indique qu’il s’agit d’une course poursuite engagée par les agents de contrôle frontalier du pays voisin contre un homme transportant du riz sur sa moto. Cette course poursuite pour appréhender le contrebandier a amené les militaires nigérians sur le territoire béninois. Quand la police frontalière du Bénin a débarqué sur les lieux pour prendre connaissance de cette incursion et en informer la hiérarchie, les choses ont vite tourné au vinaigre avec des échanges de tirs entre les deux parties.

Le calme est revenu après cet incident. Les autorités béninoises et le chef traditionnel de Kabo ont notamment travaillé dans ce sens. Ce dernier et l’émir d’Okuta, la localité se trouvant de l’autre côté de la frontière, ont échangé des coups de fil afin de calmer les esprits. Il y a également eu des échanges entre les autorités des deux pays pour que la sérénité revienne enfin dans la zone.

Bénin : un répétiteur accusé d’abus sexuel sur son élève

Il a été mis sous mandat de dépôt après son passage devant le Procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

Dans la ville de Cotonou, une fillette de 06 ans a été abusée sexuellement par son répétiteur. Il aurait commencé à commettre son forfait selon une enquête ouverte depuis le mois de janvier dernier. Constamment intimidée par l’enseignant, la victime avait gardé le silence.

C’est la mère de la victime qui a découvert et a aussitôt alerté la brigade des mineures. C’est du moins ce rapporte 24hauBénin. Informée, la brigade a arrêté le mis en cause au cours d’une séance de cours de répétition.

Présenté au Procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) le jeudi 19 mai, le répétiteur a été mis sous mandat de dépôt. Il sera jugé en juin prochain.

Bénin-éliminatoires CAN 2023 : les écureuils seront face aux Lions de la Térange

Les deux équipes vont s’affronter les 04 et 07 juin prochain, dans le cadre de la phase éliminatoires de la CAN 2023.

 

L’équipe nationale de football du Bénin va jouer contre celle du Sénégal les 4 et 7 juin 2022. Ces deux rencontres vont compter pour la première et deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations. Cette compétition va se tenir en Côte d’Ivoire en 2023.

Le sélectionneur intérimaire du Bénin, Moussa Latoundji, a convoqué trois nouveaux parmi les 26 joueurs retenus pour affronter le Sénégal et le Mozambique. Le sélectionneur intérimaire du Bénin, Moussa Latoundji, a déjà dévoilé la liste des 26 entrants.

Les Écureuils ont la charge de sortir de ces éliminatoires avec le billet qualificatif s’ils veulent participer à la CAN 2023 en Côte d’Ivoire.

Bénin : vers un retrait des troupes de la Minusma

Le Bénin va retirer ses troupes engagées au sein de la mission des Nations Unies au Mali (Minusca) d’ici novembre 2023.

C’est officiel ! Les troupes béninoises engagées au sein de la Minusma vont quitter le Mali. L’annonce a été faite par le ministre des affaires étrangères, Aurélien Agbénonci. Cette décision a été motivée par la situation sécuritaire inquiétante du fait des actes de terrorisme orchestrés à ses frontières nord par des hommes armés non identifiés.

«Le Bénin va d’ici novembre prochain retirer ses 140 hommes qui composent une base de la police à Kidal, dans le nord du Mali. Ensuite, les 250 militaires qui constituent un régiment de l’infanterie basés à Sénou, en périphérie de la capitale malienne Bamako, seront rapatriés en novembre 2023», a-t-il annoncé.

Afin de faire face à la menace, il urge que le Bénin déploie toutes les compétences humaines, matérielles et logistiques requises. C’est du moins ce qu’a expliqué ce membre du gouvernement. Réputé pour sa stabilité, le Bénin, voisin du Nigeria, du Niger, du Faso et du Togo est la nouvelle cible des groupes armés qui opèrent déjà dans ces pays.

Eliminatoires de la CAN 2023 : Charbel Gomez absent des 23 convoqués

Le sélectionneur intérimaire des Écureuils du Bénin, Moussa Latoundji, a communiqué ce mardi sa liste des joueurs convoqués pour les rencontres contre le Sénégal et le Mozambique.

 

L’attaquant d’Amiens est absent de la liste des 23 joueurs convoqués pour affronter les équipes du Sénégal et de la Mozambique. Une absence qui s’est très vite faite remarquée. Face à la presse mardi 17 mai, le sélectionneur intérimaire Moussa Latoundji a justifié la non présence de Charbel Gomez sur la liste des joueurs appelés.

Pour le technicien Moussa Latoundji, l’attaquant d’Amiens est porté disparu. Ce sont 26 Ecureuils qui ont été convoqués pour prendre part aux deux rencontres comptant pour les deux premières journées des éliminatoires de la CAN 2023.

Dans la liste des 26 joueurs certaines têtes habituelles y figures notamment Saturnin Allagbé, Sessi d’Almeida, Cebio Soukou ou encore Steve Mounié. De nouvelles têtes font également leur apparition dans cet effectif. Il s’agit de l’ailier droit du club allemand de Würzburger Kickers, Ryan Adigo, du milieu de terrain de Coton FC, Bawa Salim et le gardien de but d’Harmmaby IF en Suède, Lookman Farou Moussa

Le technicien béninois n’a cependant pas appelé Cédric Hountondji et Charbel Gomez. Si le premier est écarté de la liste pour un choix technique du sélectionneur, le second est porté disparu. En effet, face à la presse, Moussa Latoundji a confié que l’attaquant d’Amiens n’a plus donné de ses nouvelles depuis les dernières rencontres qualificatives de la CAN 2022.

« (…) En tant que sélectionneur si vous appelez un joueur et qu’il ne décroche pas, que feriez-vous ? Si un joueur change de numéro de téléphone, la moindre des choses c’est de le signaler à son sélectionneur. Même ses coéquipiers, « personne, n’a de ses nouvelles», a lâché Moussa Latoundji.

« J’ai eu la chance de rencontrer son ex manager à Paris. Lui aussi n’a pas de ses nouvelles. Pour le moment je ne peux rien dire sur Charbel.», a-t-il ajouté.

Bénin : l’ex-maire de Calavi libéré de prison

Liamidi Houénou de-Dravo, ex-maire de Calavi a bénéficié d’une remise en liberté provisoire ce lundi 16 mai 2022.

 

Il était en détention préventive depuis le 11 février 2022. L’ancien maire de la commune d’Abomey-Calavi, Liamidi Houénou de-Dravo vient de bénéficier d’une remise en liberté provisoire à l’issue d’une audience.

Il était en prison pour une affaire de double dédommagement. L’ancienne autorité communale et d’autres personnes sont poursuivies pour faux et usage de faux, complicité d’escroquerie et complicité de faux et usage de faux.

Bénin : les forces armées repoussent une attaque à Porga

Des éléments de l’armée béninoise en position à Porga ont affronté des individus armés, identifiés comme des terroristes.

 

Une position des Forces armées béninoises (Fab) a été attaquée dans la nuit du samedi 07 au dimanche 08 mai 2022. Cette nouvelle attaque terroriste est survenue au Nord du Bénin, dans la localité de Porga.

Le bilan de cette énième provocation des hommes identifiés comme des terroristes n’est pas encore connu. Il faut également préciser que pour l’heure, aucune source officielle n’a évoqué le sujet.

Notons qu’au Bénin, les attaques terroristes ont déjà fait environ une quinzaine de morts depuis décembre 2021. Les attaques les plus sanglantes sont celles qui s’étaient produites dans le Parc national W, le Parc Pendjari et au commissariat de Monsey à Karimama.

Bénin : le GSIM revendique l’attaque du commissariat

L’annonce a été faite, ce lundi, par Menastream, un groupe de conseil surveillant l’activité terroriste dans le Sahel à travers un tweet.

L’attaque perpétrée le 26 avril 2022, au commissariat de Monsey, dans la commune de Karimama, au Bénin vient d’être revendiquée. La revendication a été faite par le GSIM, dans un audio dont le contenu est rendu public par Menastream.

Notons que quelques jours après le drame du commissariat de Monsey, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) ou JNIM suivant la définition arabe, a revendiqué l’attaque. L’annonce de cette revendication a été faite, ce lundi, par à travers un tweet : « Dans un audio non officiel, JNIM a revendiqué l’attaque du 26 avril contre un poste de police à Monsey (Karimama), Alibori ».

Toujours selon Menastream, le groupe djihadiste affirme avoir saisi des armes et des munitions. Au total, 15 AKM, 2 armes de poing, environ 100 chargeurs AKM, 2 boîtes de munitions ainsi qu’une grosse somme d’argent auraient été emportés par les assaillants. Issu, en 2017, de la fusion d’Ansar Dine, des forces d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans le Sahel, de la katiba Macina et de la katiba Al-Mourabitoune, le GSIM s’est illustré dans plusieurs attaques au Mali, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire.

L’attaque revendiquée par ce groupe djihadiste au Bénin a eu lieu aux environs de 3 heures du matin. Des éléments du commissariat de Monsey ont été attaqués par des hommes armés venus à motos. Les échanges de tirs ont fait un mort et des blessés du côté de la police béninoise. De même, le commissariat a été incendié par les assaillants qui ont réussi à se replier après leur forfait. Aux dernières nouvelles, le commissaire de Monsey a été relevé de ses fonctions et remplacé.