Akassato : le futur marché de gros du Bénin promet une révolution économique !

Abomey-Calavi, un futur pôle économique en gestation : visite ministérielle au marché de gros d’Akassato

Abomey-Calavi, 28 mai 2025 – Le quartier Zopah d’Abomey-Calavi s’est animé d’une ferveur particulière le 27 mai. En effet, sous la conduite éclairée de Janvier Yahouédéhou, coordonnateur du Collège des Ministres Conseillers, une délégation de haut rang a arpenté le chantier du marché de gros d’Akassato, un projet pharaonique destiné à redessiner les contours de l’économie béninoise. Par ailleurs, accueillis par le préfet de l’Atlantique, Jean-Claude Codjia, et les autorités locales, les visiteurs ont contemplé une infrastructure achevée à 92 %, promesse d’une mise en service imminente, prévue pour décembre 2025. Ce joyau, érigé sur 168 hectares, incarne l’ambition d’un Bénin résolument tourné vers la modernité et la prospérité.

Une infrastructure de pointe au service de l’avenir

Guidée par les responsables de la Société immobilière et d’aménagement du territoire (SImAU), la délégation a exploré les cinq lots du projet, dévoilant une vision méticuleuse. Des hangars de stockage spacieux aux entrepôts frigorifiques, en passant par un abattoir ultramoderne, des voies d’accès fluides, des blocs sanitaires impeccables et un système d’assainissement ingénieux, chaque détail reflète un souci d’excellence. D’ailleurs, les dispositifs de sécurité et d’hygiène, conformes aux normes internationales, ont particulièrement impressionné, augurant un espace commercial à la fois fonctionnel et durable. « Ce marché n’est pas qu’un lieu d’échange ; c’est un catalyseur de transformation régionale », a souligné un ingénieur sur place.

Un levier stratégique pour la croissance économique béninoise

Conçu pour décongestionner le marché Dantokpa de Cotonou, ce pôle agroalimentaire, d’un coût de 135 milliards de FCFA, ambitionne de repositionner le Bénin comme une plaque tournante du commerce ouest-africain. En fluidifiant la logistique et en modernisant les conditions de travail des commerçants, il promet ainsi de doper les échanges avec le Nigeria, le Togo et les pays de l’hinterland. Les restaurants, les péages et les guérites, déjà en phase de finition, témoignent d’une infrastructure pensée pour répondre aux besoins des opérateurs économiques, tout en attirant les investisseurs étrangers, séduits par la vision audacieuse du Programme d’actions du gouvernement.

Le futur marché de gros d'Akassato, achevé à 92%, promet de transformer l'économie béninoise en devenant un pôle agroalimentaire régional majeur d'ici fin 2025.Une visite empreinte d’optimisme et de détermination

Alors que la visite s’achevait, Janvier Yahouédéhou n’a pas caché son enthousiasme : « Ce que nous avons vu ici est la preuve que le Bénin s’élève, porté par une ambition sans faille. » Les échanges avec les parties prenantes, dont les entreprises Jet Contractors et SImAU, ont permis d’identifier les ultimes ajustements avant l’inauguration. Le préfet Codjia, quant à lui, a salué l’engagement du président Patrice Talon, dont la détermination à ériger des infrastructures durables résonne dans chaque pan de ce projet colossal.

Vers un horizon de prospérité : Akassato, symbole du renouveau

Alors que le soleil déclinait sur Zopah, cette visite a scellé une certitude : le marché de gros d’Akassato, dont l’ouverture est prévue le 16 décembre 2025, deviendra un moteur de croissance essentiel pour Abomey-Calavi et au-delà. En offrant un cadre moderne aux commerçants et en renforçant l’attractivité économique du Bénin, ce pôle s’annonce comme un symbole puissant de renouveau, prêt à écrire une nouvelle page dans l’histoire du commerce régional.

Porto-Novo : le nouveau siège de l’Assemblée nationale se dévoile !

Porto-Novo s’érige en symbole de renouveau : les partis politiques découvrent le futur siège de l’Assemblée nationale

Porto-Novo, 28 mai 2025 – La capitale politique du Bénin, Porto-Novo, a vibré d’une effervescence singulière ce 28 mai.  En effet, sous l’égide du Ministre conseiller aux Infrastructures, Jacques Ayadji, une délégation de représentants des partis politiques a convergé vers le chantier du nouveau siège de l’Assemblée nationale, dans le quartier Ouando. Par ailleurs, cette visite, orchestrée en réponse aux interrogations soulevées par Guy Mitokpè, secrétaire national à la communication du parti Les Démocrates, a transcendé la simple inspection pour devenir un acte de transparence et d’unité autour d’un projet emblématique pour la démocratie béninoise.

Le nouveau siège de l'Assemblée nationale du Bénin à Porto-Novo, achevé à 53%, est dévoilé aux partis politiques, marquant une étape clé pour la démocratie et la modernisation du pays.Siège de l’Assemblée nationale : Une ambition architecturale au service de la démocratie

Dès leur arrivée, les visiteurs, parmi lesquels des figures des partis Union Progressiste Le Renouveau, Bloc Républicain et Les Démocrates, ont été guidés à travers un chantier en pleine effervescence. Sous la houlette de Moïse Achille Houssou, directeur général de la Société immobilière et d’aménagement urbain (SImAU), la délégation a découvert un édifice en devenir, dont les contours promettent de redéfinir le paysage institutionnel béninois. Avec un taux d’exécution global de 53 % et des gros-œuvres achevés à 97 %, le projet avance à grands pas, porté par la société Jet Contractors, succédant à l’entreprise chinoise CSCEC. Les échantillons de béton teinté et l’esplanade en cours de réalisation ont captivé les regards, tandis que les plans de sonorisation, inspirés de l’hémicycle français, augurent une modernité fonctionnelle.

Une réponse aux doutes, un appel à la cohésion nationale

Cependant , cette visite répondait à une exigence de clarté. Les critiques de Mitokpè, pointant un prétendu ralentissement des travaux, ont trouvé écho dans l’invitation d’Ayadji, soucieux de dissiper les malentendus. « Ce chantier n’est pas celui d’un parti, mais celui de la nation », a-t-il déclaré, insistant sur l’engagement du gouvernement à livrer l’hémicycle d’ici décembre 2025, comme annoncé. Les représentants des partis, à l’image d’Aké Natondé, président du groupe parlementaire Union Progressiste Le Renouveau, ont salué cette transparence, voyant dans ce futur siège un symbole fort de la vitalité démocratique du Bénin.

Siège de l’Assemblée nationale : un legs durable pour Porto-Novo et au-delà

Niché dans la capitale historique, ce projet, initié sous l’ère Boni Yayi et relancé avec vigueur sous Patrice Talon, incarne aussi une volonté farouche d’éviter les « éléphants blancs ». Les finitions des bâtiments annexes, l’aménagement paysager et la viabilisation du site, détaillés par Houssou, témoignent ainsi d’un souci d’excellence. Ce siège, qui accueillera les 109 députés de la 9ᵉ législature, dont 28 femmes, promet d’être un écrin à la mesure des aspirations d’un peuple en quête de modernité et d’inclusion.

Un horizon de fierté nationale se dessine

En somme, en quittant le chantier, les échos des échanges résonnaient encore : ce futur hémicycle ne sera pas seulement un lieu de délibérations, mais un phare de la souveraineté béninoise. La visite, par son caractère fédérateur, a réaffirmé que l’avenir de la démocratie se construit dans la concertation et la confiance mutuelle. Porto-Novo, bientôt dotée d’un Parlement à la hauteur de ses ambitions, s’apprête à écrire une nouvelle page de son histoire nationale.

Bénin : Cotonou réinvente l’accès aux services publics avec le CIIEEL !

Cotonou : le Centre CIIEEL, un élan novateur pour la modernisation administrative du Bénin

Cotonou, 22 mai 2025 — Dans le tumulte vibrant de la capitale économique béninoise, un projet d’envergure s’apprête à redéfinir l’accès aux services publics. Le Centre d’Identification, d’Immigration et d’Élections (CIIEEL), approuvé lors du Conseil des ministres du 21 mai 2025, s’érigera bientôt à Cotonou comme un phare de la modernisation administrative. En effet, ce complexe, réunissant sous un même toit quatre institutions cardinales – la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA), l’Agence Nationale d’Identification des Personnes (ANIP), la Direction de l’Émigration et de l’Immigration (DEI) et la Direction des Affaires Consulaires et des Béninois de l’Extérieur (DACBE) –, incarne l’ambition d’un État résolu à fluidifier les démarches citoyennes tout en renforçant l’efficacité de sa gouvernance.

CIIEEL : une architecture au service de l’efficience administrative 

Pensé comme un hub administratif, le CIIEEL regroupera des entités essentielles dans une configuration optimisée. D’ailleurs, la CENA, chargée de l’organisation des scrutins, occupera un édifice de quatre niveaux, tout comme l’ANIP, fer de lance de l’identification biométrique, et la DEI, garante des politiques migratoires.En plus, la DACBE, dédiée au suivi des Béninois de la diaspora, s’installera dans un bâtiment de deux étages. Cette centralisation, saluée  comme un « pas vers la modernité », vise à simplifier les démarches pour les citoyens, souvent confrontés à des services dispersés.

Inclusion et sécurité : le CIIEEL répond aux défis du Bénin !

Par ailleurs, le projet s’inscrit dans la continuité des réformes entamées sous le Plan d’Action du Gouvernement (PAG II, 2021-2026), qui mise sur la dématérialisation et l’inclusion. L’ANIP, créée en 2019, a révolutionné l’état civil avec des actes sécurisés et le Recensement à Vocation d’Identification des Personnes (RAVIP), touchant près de 6 millions de citoyens via le programme WURI, soutenu par la Banque mondiale. La DEI, quant à elle, gère un flux migratoire complexe, notamment via l’e-visa et le contrôle des frontières, dans un contexte où le Bénin, hôte de communautés ouest-africaines, exempte les ressortissants africains de visa. La centralisation de ces services dans le CIIEEL permettra aussi de réduire les délais – souvent de plusieurs semaines – et de renforcer la transparence, un enjeu crucial après les récentes controverses liées à la corruption, comme l’affaire du parti Le Libéral.

Un chantier sous haute surveillance pour un Bénin moderne 

Le Conseil des ministres, présidé par Patrice Talon, a donné son aval à la contractualisation avec des cabinets spécialisés pour la maîtrise d’œuvre et le contrôle technique, garantissant une exécution rigoureuse. Ce choix reflète l’engagement du gouvernement à aligner le projet sur les standards internationaux, tout en respectant les délais. Bien que le coût et le calendrier précis n’aient pas été divulgués, des sources estiment que le chantier, situé dans une ville en pleine expansion urbaine, pourrait s’achever d’ici à 2027, à temps pour les échéances électorales. La proximité de Cotonou avec les infrastructures portuaires et aéroportuaires renforce son rôle de hub administratif, facilitant l’accès des citoyens et des expatriés aux services du CIIEEL.

Le Centre d’Identification, d’Immigration et d’Élections : symbole d’avenir et d’efficacité pour le Bénin 

Ce projet incarne une vision d’un Bénin moderne, où la technologie et la gouvernance se conjuguent pour servir le citoyen. En effet, en regroupant des institutions clés, le CIIEEL ne se contente pas de rationaliser les processus : il renforce la confiance dans l’État, dans un pays où la transition démocratique, initiée en 1990, reste un modèle continental. À l’heure où Cotonou s’impose comme un carrefour économique ouest-africain, ce centre pourrait devenir un étendard de l’efficacité administrative, au service des 13 millions de Béninois et de leur diaspora.

Dans les rues animées de Cotonou, où le marché Dantokpa pulse au rythme des échanges, le CIIEEL se profile comme une promesse : celle d’un État plus proche, plus agile, prêt à porter les aspirations d’une nation en marche vers un avenir résolument connecté.

Kouandé : le marché de Chabicouma en pleine mutation

Une renaissance commerciale à Kouandé : le marché de Chabicouma se réinvente, un nouveau souffle pour l’économie locale !

Dans la commune de Kouandé, nichée au cœur du département de l’Atacora au Bénin, une effervescence palpable anime les préparatifs d’un projet d’envergure. En effet, le marché de Chabicouma, poumon économique de cette localité rurale, s’apprête à connaître une métamorphose salutaire sous l’égide du Fonds National d’Aménagement du Territoire (FNA-MDGL) et du Programme de Développement des Infrastructures Économiques (PEDIEM3). Loin d’être une simple réfection, cette initiative ambitionne de redonner souffle et dignité aux acteurs du commerce local, tout en érigeant un modèle de durabilité et de modernité.

Des blocs de terre pour un avenir durable : l’innovation au cœur du nouveau marché

Les travaux, dont les prémices se dessinent déjà sur le terrain, reposent sur une vision architecturale aussi pragmatique qu’écologique. L’emploi de blocs de terre comprimée (BTC), matériau à la fois robuste et ancré dans le terroir, constitue le socle de cette entreprise. Selon des informations glanées auprès d’une source locale, le projet prévoit l’édification d’un ensemble harmonieux : un module de 16 boutiques en rez-de-chaussée, couronné d’un portique d’entrée majestueux, et six hangars aux capacités variées. Ces derniers se déclinent en trois unités de 20 places, deux de 16 places et une dernière de 20 places intégrant un espace de restauration et un bloc sanitaire. Par conséquent, ces aménagements, pensés pour conjuguer fonctionnalité et confort, promettent de répondre aux aspirations des commerçants tout en élevant les standards d’hygiène et de sécurité.

Des millions de CFA pour un projet structurant : un investissement stratégique pour Kouandé

L’assise financière de cette entreprise témoigne d’une planification rigoureuse. Premièrement, un montant de 38,135 millions de francs CFA est consacré à la fabrication et à la préservation des BTC, garantissant la pérennité des structures. Deuxièmement, à cela s’ajoutent 16,949 millions pour le gerbage de terre et son acheminement, une étape cruciale mobilisant les savoir-faire locaux. Ensuite, le suivi et le contrôle des travaux, dotés de 33,474 millions, assurent une exécution irréprochable. Enfin, la somme colossale de 368,644 millions de francs CFA est dédiée à la construction elle-même. En définitive, cette répartition minutieuse reflète une volonté de conjuguer efficacité économique et valorisation des ressources humaines de la région.

Bien plus qu’un marché : le renouveau économique et social de Kouandé en marche !

Plus qu’une simple infrastructure, le marché rénové de Chabicouma se profile comme un levier de dynamisation pour l’économie locale. En effet, les commerçants, souvent contraints par des conditions précaires, y verront une opportunité d’épanouissement, tandis que les visiteurs bénéficieront d’un cadre plus salubre et accueillant. « C’est une délivrance pour nous qui luttons quotidiennement pour attirer la clientèle dans un espace vétuste », confie une vendeuse de longue date, dont les mots résonnent comme un écho des espoirs collectifs. Par ailleurs, les autorités locales, quant à elles, saluent une avancée décisive dans la modernisation des infrastructures marchandes, un pas vers une structuration plus cohérente du commerce dans l’Atacora.

Chabicouma : un chantier, mille promesses pour l’avenir de de la commune

Alors que les premiers coups de pioche s’annoncent, le projet de Chabicouma incarne une ambition plus vaste : celle d’insuffler une nouvelle vitalité à Kouandé. Entre durabilité écologique, amélioration des conditions de vie et essor économique, ce marché réinventé pourrait bien devenir un phare pour les communes environnantes. Ainsi, dans ce coin reculé du Bénin, où la tradition et le progrès se rencontrent, une page se tourne, portée par la promesse d’un avenir plus prospère.

OUIDAH : un  terrain de GOLF aux standards mondiaux

Avlékété : un golf d’exception pour propulser le Bénin sur la scène touristique mondiale

Ouidah, Bénin, 7 mai 2025 – À l’ombre des palmiers caressés par la brise atlantique, un ambitieux projet prend forme sur les terres lagunaires d’Avlékété, dans la commune historique de Ouidah. En effet, l’Avlékété Golf Course, un parcours de golf de 18 trous aux standards internationaux, s’annonce comme une pièce maîtresse de la stratégie touristique béninoise. Initié par le gouvernement et orchestré par l’Agence Nationale de Promotion des Patrimoines et du Développement du Tourisme (ANPT), ce chantier, démarré en mai 2024, devrait s’achever d’ici mai 2026, après 24 mois de travaux. Prévu pour ouvrir ses greens au public début 2027, ce complexe promet de faire du Bénin une étoile montante du tourisme et des affaires en Afrique de l’Ouest.

Monumental et innovant : un parcours de 18 trous entre océan et lagune

S’étendant sur 45 hectares entre l’océan Atlantique et la lagune d’Agouin, l’Avlékété Golf Course n’est pas qu’un terrain de sport : c’est une ode à l’élégance et à l’innovation. Conçu par l’architecte britannique Jeremy Pern et réalisé par la firme Gregori International, le parcours de 18 trous s’intègre harmonieusement au paysage lagunaire, respectant les écosystèmes locaux tout en offrant un défi digne des plus grands championnats. Un club-house haut de gamme, doté de commodités luxueuses, accueillera les visiteurs, tandis qu’un ponton inédit permettra d’accéder au site par bateau, une touche d’originalité qui séduira les voyageurs en quête d’expériences uniques.

Le projet, intégré au programme « Bénin révélé », s’inscrit dans une vision plus large de développement touristique durable. En plus,  il jouxte une station balnéaire d’exception, portée par un partenariat avec Club Med, comprenant 330 chambres et des équipements de loisirs haut de gamme. « Ce golf est une invitation au monde à découvrir le Bénin, non seulement comme un haut lieu de mémoire, mais comme une destination de prestige », a déclaré Edmond Toli, directeur général de l’ANPT, lors d’une visite de chantier en février 2025.

Plus qu’un Green : le pari social et environnemental d’un développement inclusif

L’Avlékété Golf Course se distingue par son engagement envers la communauté locale. Ainsi , le village de pêcheurs voisin, loin de rester dans l’ombre, s’intègre harmonieusement au projet. Les autorités ont reconstruit les infrastructures publiques affectées et indemnisé les populations concernées, selon un rapport gouvernemental de 2023. Elles prévoient également des formations pour permettre aux habitants d’accéder aux emplois créés – environ 450 directs et autant d’indirects, d’après les estimations de l’ANPT. « Ce projet ne se limite pas à attirer les golfeurs ; il rehausse le niveau de vie local », a affirmé le maire de Ouidah, Christian Houétchénou.

Le respect de l’environnement est au cœur du chantier. En effet, avec une certification BREEAM visée au niveau « very good » et une ambition de labellisation Green Globe, le complexe s’engage à minimiser son empreinte carbone, à préserver la biodiversité lagunaire et à optimiser les ressources énergétiques. Ces efforts s’alignent sur la philosophie de tourisme durable prônée par le président Patrice Talon, qui voit dans Avlékété un modèle pour l’Afrique.

Ouidah, futur pôle majeur : 80 millions d’euros investis, le chantier avance vite

L’Avlékété Golf Course s’inscrit dans une dynamique plus vaste de valorisation de Ouidah, berceau du tourisme mémoriel et spirituel. Par ailleurs, à quelques kilomètres, la réhabilitation du Fort Portugais et la construction du Musée International de la Mémoire et de l’Esclavage (MIME), prévu pour ouvrir en 2026, attirent déjà l’attention internationale. Le golf, quant à lui, cible une clientèle d’affaires et de loisirs, notamment les passionnés de ce sport prisé par une élite mondiale. « Le golf attire un tourisme de prestige, vecteur de retombées économiques majeures », a affirmé Gilles Gbaguidi, président de la Fédération béninoise de golf, en mai 2023.

Avec un investissement global de 80 millions d’euros, financé à 55 % par des fonds privés, le projet témoigne de la confiance des partenaires internationaux, tels que Club Med et Banyan Tree, dans le potentiel béninois. Les travaux, menés par Gregori International, avancent à un rythme soutenu : en mars 2025, 30 % du parcours était déjà tracé et les fondations du club-house posées, selon une mise à jour de l’ANPT.

L’horizon 2027 : Ouidah prête à rayonner sur la scène touristique mondiale

À l’horizon 2027, lorsque les premiers golfeurs fouleront les greens d’Avlékété, le Bénin aura franchi un cap. Ce complexe, ouvert toute l’année, ne sera pas seulement un lieu de sport, mais un carrefour sur lequel se croisent culture, nature et ambition. De 8 h 00 à 18 h 00, les visiteurs pourront s’adonner à leur passion, avant de rejoindre les plages aménagées ou les circuits mémoriels de Ouidah, à l’image de la Porte du non-retour. En posant cette pierre angulaire, le Bénin ne se contente pas de rêver grand : il bâtit un avenir dans lequel tourisme, économie et patrimoine s’entrelacent pour faire rayonner la « perle de l’Atlantique » sur la scène mondiale.

 

Nikki : Le CEG 3 retrouve son éclat après la tempête, grâce à un élan solidaire

Après la tempête dévastatrice : miracle anonyme à Nikki, le CEG 3 retrouve un toit et l’espoir !

Dans la commune de Nikki, nichée au cœur du département du Borgou, le Collège d’Enseignement Général (CEG) 3 célèbre une renaissance. Dévasté le 10 avril 2025 par une tempête d’une rare violence, l’un de ses bâtiments, privé de sa toiture, menaçait l’avenir scolaire de centaines d’élèves. Mais, en l’espace de quelques jours, un souffle d’espoir a balayé les stigmates de la catastrophe. Grâce à la générosité d’un bienfaiteur anonyme, le module de classes, désormais coiffé d’une toiture neuve, a retrouvé sa vocation pédagogique. Ce geste, né des appels désespérés de la direction, illustre la résilience d’une communauté déterminée à préserver l’éducation, pilier de l’avenir de cette région du nord-est béninois.

Sous les vents furieux : La tempête qui a laissé le CEG 3 à ciel ouvert

Le 10 avril 2025, Nikki, située à 529 km de Cotonou et à une vingtaine de kilomètres de la frontière nigériane, a été frappée par des vents furieux. Selon La Chaîne Météo, la région, perchée à 406 mètres d’altitude, a subi une pluviométrie exceptionnelle cette année, marquée par des tempêtes d’une intensité inhabituelle. Au CEG 3, un bâtiment essentiel, abritant plusieurs salles de classe, a vu sa toiture arrachée, exposant élèves et enseignants aux intempéries. « Les manuels étaient trempés, les bancs inutilisables », confiait un enseignant. Face à cette urgence, la direction de l’établissement a lancé un appel vibrant, relayé par les ondes locales et les réseaux sociaux, où des posts sur X dénonçaient : « Nos enfants ne peuvent pas étudier sous la pluie ! »

Un souffle de générosité anonyme : la réparation express qui rallume l’espoir

L’écho de cet appel a trouvé une réponse aussi inattendue que salvatrice. En quelques jours, un donateur anonyme, dont l’identité reste voilée, a pris en charge l’intégralité des travaux de réhabilitation. Selon des sources proches de la mairie, la réfection a mobilisé des artisans locaux et des matériaux robustes pour garantir une toiture durable, capable de résister aux caprices climatiques. Ce chantier express, achevé en un temps record, témoigne d’une coordination efficace entre la direction du CEG, les autorités communales et le mystérieux mécène. « C’est un miracle discret », a déclaré le maire de Nikki, soulignant l’impact de cette solidarité sur les 15 000 habitants de la commune.

Nikki : Un donateur anonyme permet la réparation express du CEG 3 dévasté par une tempête, sauvant l'éducation locale et insufflant l'espoir.L’éducation, pilier inestimable : pourquoi le sauvetage du CEG 3 arrive à point nommé

Le CEG 3, l’un des établissements phares de Nikki, accueille des centaines d’élèves dans un département où l’éducation est un levier crucial pour contrer la pauvreté rurale. Avec 22 235 candidats au Certificat d’Étude Primaire dans le Borgou en 2019, la région mise sur la formation de sa jeunesse pour accompagner son développement. La réhabilitation du bâtiment arrive à point nommé, alors que les examens de fin d’année scolaire 2024-2025 approchent à grands pas. Les dégâts engendrés par la tempête menaçaient de creuser les inégalités d’accès à l’enseignement. Désormais, les salles de classe, baignées de lumière sous leur nouveau toit, résonnent à nouveau des voix des élèves et des craies sur les tableaux.

Nikki, une terre de résilience : comment la commune fait face aux défis climatiques et infrastructurels

Par ailleurs, cette victoire sur l’adversité s’inscrit dans un contexte plus large de défis climatiques et infrastructurels. En 2022, le ministre des Infrastructures, Hervé Hehomey, avait déjà lancé des travaux d’urgence sur l’axe N’Dali-Nikki, endommagé par des pluies diluviennes. Plus récemment, le Conseil des Ministres du 15 janvier 2025 a acté un programme de réfection de pistes rurales dans le Borgou, visant à rendre les routes carrossables en toutes saisons. Ces efforts, conjugués à l’élan solidaire autour du CEG 3, dessinent une commune résolue à transformer les épreuves en opportunités.

Un symbole fort pour l’avenir : l’éducation, racine de l’espoir face aux tempêtes

À Nikki, cet élan de générosité rappelle que l’éducation est le véritable moteur du progrès. Les élèves, de retour dans leurs classes, portent désormais l’espoir d’une communauté qui, face aux tempêtes, choisit de bâtir plutôt que de plier. Comme le dit un proverbe bariba : « Le vent peut souffler fort, mais l’arbre enraciné ne tombe pas. » À Nikki, ces racines, ce sont les enfants, et leur avenir, plus que jamais, s’écrit sous un toit solide.

55 milliards pour révolutionner le Mono, le Couffo et l’Atlantique

Quelle manne providentielle pour les habitants du Mono, du Couffo et de l’Atlantique ! Le gouvernement du Président Patrice TALON a décidé de leur tendre une perche dorée : une enveloppe faramineuse de près de 55 milliards de FCFA pour métamorphoser leur quotidien. À la clé ? Des infrastructures routières rutilantes et un cadre de vie embelli qui feront bientôt la fierté de ces départements. Par ailleurs, plus de 120 kilomètres de rubans asphaltés ou de pistes revigorées verront le jour d’ici à deux ans, promesse d’un avenir où les trajets deviennent une partie de plaisir et les horizons économiques s’élargissent. C’est un véritable élan de gaieté et de progrès qui s’annonce pour les populations locales !

Un vent de modernité souffle sur le Mono, le Couffo et l’Atlantique : 55 milliards de FCFA pour des routes flambant neuvesUne cérémonie éclatante pour un départ en fanfare

À cet effet, samedi dernier, le terrain de sports d’Azovê s’est transformé en une arène festive pour accueillir le coup d’envoi de ces travaux titanesques. Sous la houlette du Ministre des Sports, Monsieur Benoît DATO, dépêché par le Ministre d’État en charge de l’Économie et des Finances, l’événement a brillé par la présence d’un cortège prestigieux : députés, cadres, têtes couronnées, sages, notables et, bien sûr, une foule débordante d’allégresse. Les habitants, les yeux pétillants d’espoir, ont applaudi à tout rompre, conscients que leurs vœux les plus chers prenaient enfin forme grâce à la détermination du gouvernement.

« Mono-Couffo »: des artères vitales prêtes à pulser de vie

Dans le détail, ce chantier pharaonique se décline en plusieurs projets aussi ambitieux que réjouissants. D’abord, l’aménagement et le bitumage de la route Azovè-Houegamè-Klouékanmè (17,20 km) et la réhabilitation de l’axe RN2 (Mairie)-Sitex-IUT-RN2 Bis (3 km) offriront des voies lisses comme des miroirs, prêtes à accueillir voitures et motos dans un ballet fluide. Ensuite, l’aménagement en terre des tronçons Bopa-Lobogo-Tozounmè-Dogbo (34 km) et Bopa-Djidjozoun-Allada (35,30 km) viendra désenclaver des contrées jusque-là oubliées, pour un coût total de 31.441.995.620 FCFA. Ces nouvelles artères, véritables cordons ombilicaux du développement, promettent de relier les âmes et les marchandises avec une aisance inédite.

Mais l’élan ne s’arrête pas là ! Dans les communes d’Aplahouè (12 km), Comè (3 km), Dogbo (5 km), Djakotomey (6 km) et Grand-Popo (5 km), des travaux d’assainissement et de pavage de rues, pour un montant de 23.474.429.496 FCFA, vont parer les villes de parures asphaltées. Adieu les ruelles poussiéreuses ou gorgées d’eau après la pluie ! Ces chaussées modernisées inviteront à la flânerie et au commerce, tout en chassant les tracas sanitaires.

Un vent de modernité souffle sur le Mono, le Couffo et l’Atlantique : 55 milliards de FCFA pour des routes flambant neuves Une ambition débordante pour un avenir radieux

En plus, le Ministre Conseiller Jacques AYADJI, voix vibrante de ce projet baptisé « Mono-Couffo », a dévoilé des objectifs qui donnent le vertige tant ils débordent de promesses. Ces travaux visent à hisser les infrastructures routières à un niveau d’excellence, attirant comme un aimant voyageurs, investisseurs et curieux. Les véhicules, libérés des cahots et des ornières, verront leurs coûts d’entretien fondre comme neige au soleil. Les habitants, eux, gagneront un accès simplifié aux écoles, aux centres de santé et aux autres trésors communautaires. Les trajets, raccourcis, laisseront ainsi plus de temps pour cultiver, vendre ou simplement profiter de la vie. Les produits des champs s’écouleront sans peine vers les marchés, gonflant les bourses des paysans et dynamisant l’économie de la région, voire du pays tout entier. Un cercle vertueux, en somme, qui fera chanter les cœurs et prospérer les foyers !

« Mono-Couffo » : une vague d’enthousiasme chez les élus et les citoyens

Les maires et les préfets, conquis par cette pluie de bonnes nouvelles, n’ont pas boudé leur plaisir. Le Maire d’Aplahouè, M. Maxime ALLOSSOGBE, a lancé avec un sourire éclatant : « Le Président Patrice TALON est un bâtisseur hors pair, un homme qui joint le geste à la parole. » « Nous sommes tous prêts à retrousser nos manches pour que ce rêve devienne une éclatante réalité ! » Même son de cloche chez les Préfets Christophe MEGBEDJI et Bienvenu Dêdêgnon MILOHIN, qui ont applaudi cette initiative comme un souffle salvateur pour leurs administrés. Quant aux populations, elles dansent déjà au rythme de leur joie, impatientes de voir les engins vrombir et les routes s’épanouir.

Des entreprises au taquet pour tenir la cadence

Pour donner vie à ce tableau enchanteur, deux acteurs de poids ont été mobilisés. L’entreprise QGMI, chargée des infrastructures routières, a 24 mois pour dérouler son savoir-faire, tandis que Fadil, maître d’œuvre des travaux d’assainissement et de pavage, dispose de 18 mois pour livrer des rues impeccables. Ces échéances serrées traduisent l’urgence d’un gouvernement décidé à ne pas faire lanterner ses citoyens.

Un vent de modernité souffle sur le Mono, le Couffo et l’Atlantique : 55 milliards de FCFA pour des routes flambant neuves Un Bénin en marche vers un horizon éclatant

Ces chantiers grandioses ne sont qu’un chapitre d’une saga plus vaste. Partout dans le pays, le gouvernement de Patrice TALON sème les graines d’un Bénin moderne, bardé de routes, de ponts, d’écoles et d’hôpitaux. Chaque projet, chaque pierre posée, est une marche de plus vers un avenir où le progrès et le bien-être ne sont pas de vains mots. Le Mono, le Couffo et l’Atlantique, avec ces 55 milliards de FCFA, goûtent aujourd’hui à cette ambition nationale et l’optimisme y fleurit comme jamais.

En somme, cette initiative est une ode au renouveau, une symphonie de bitume et d’espoir qui résonne dans le cœur des habitants. Grâce à ces investissements colossaux, le quotidien s’annonce plus doux, les opportunités plus nombreuses et le futur plus lumineux. Le Bénin, porté par la vision de son Président, avance à grands pas, et ces départements sont désormais en première ligne de cette belle aventure !

 

Benin : l’émergence d’un nouvel urbanisme social

Cotonou, 19 février 2025 — Alors que le soleil se lève sur les chantiers de Ouèdo, une révolution discrète s’imprime dans le paysage béninois. En effet, le gouvernement Talon, porté par une ambition sans précédent, vient de matérialiser l’une de ses promesses phares : la commercialisation de 20 000 logements économiques et sociaux, un projet titanesque destiné à redéfinir l’accès au logement décent pour des milliers de ménages. Une conférence de presse tenue lundi a levé le voile sur les modalités de cette initiative, qualifiée par le ministre José Tonato de colonne vertébrale du bien-être collectif.

20 000 logements : une utopie urbanistique devenue réalité

Par ailleurs, longtemps fantasmé, le rêve d’habitations abordables pour tous prend corps dans trois pôles stratégiques : Ouèdo, Porto-Novo et Parakou. La cité de Ouèdo, épicentre de cette métamorphose, se présente comme un modèle d’urbanisme vert. Conçue selon des normes environnementales rigoureuses, elle abrite 11 000 unités de type F4, chacune garantissant une sécurité foncière irrévocable. « Ces logements ne sont pas des murs, mais des écosystèmes de vie », a souligné le ministre Tonato, insistant sur l’intégration d’espaces communautaires et d’infrastructures durables.

Financement inclusif : briser le cercle de l’exclusion

L’innovation réside dans les mécanismes d’acquisition, pensés pour contourner les barrières économiques. Aucun apport initial n’est exigé pour une première fois dans la sous-région. Les ménages peuvent étaler leurs paiements sur 17 ans pour les logements économiques et 25 ans pour les logements sociaux, avec des mensualités plafonnées à 100 000 FCFA. « L’objectif est de substituer à la précarité un droit fondamental : celui de posséder son toit sans s’y ruiner », a expliqué Moïse Achille Houssou, directeur général de la SImAU. Pour éviter les engorgements, une commission indépendante attribuera les logements via une plateforme électronique, garantissant transparence et équité.

Ouèdo, laboratoire d’une citoyenneté renouvelée

Au-delà des chiffres, le projet incarne une philosophie : l’habitat comme vecteur de cohésion sociale. La cité de Ouèdo, conçue pour être autosuffisante, intègre écoles, centres de santé et espaces verts, rompant avec l’image des quartiers-dortoirs. « Nous ne vendons pas des appartements, mais des communautés », a martelé Houssou, détaillant un système de réservation accessible dès le 20 février, moyennant des frais de dossier symboliques de 50 000 FCFA. Une somme modique, mais stratégique, pour filtrer les engagements sérieux.

Un défi logistique et symbolique

Réaliser un tel programme dans un délai record relève de l’exploit. Le gouvernement, appuyé par des partenaires techniques et financiers, a dû surmonter des défis structurels : approvisionnement en matériaux, formation de main-d’œuvre locale et adoption de technologies de construction innovantes. « Ce projet est la preuve que l’audace politique, couplée à une gestion rigoureuse, peut transcender les scepticismes », a affirmé Tonato, rappelant que cette initiative s’inscrit dans un continuum de réformes visant à améliorer l’indice de développement humain.

Témoignages et attentes : entre espoir et vigilance

Si l’enthousiasme est palpable, certains citoyens expriment des réserves. Adélaïde Kpossou, vendeuse à Cotonou, salue l’initiative, mais s’interroge : « Les procédures électroniques ne risquent-elles pas d’exclure ceux qui ne maîtrisent pas le numérique ? » La SImAU rétorque en promettant des guichets d’assistance physique et des campagnes de sensibilisation itinérantes.

Le logement, nouveau pilier de la souveraineté nationale

En lançant ce programme, le Bénin ne construit pas seulement des logements : il érige les fondations d’une société plus équitable. Chaque pierre posée à Ouèdo, Porto-Novo et Parakou symbolise un rejet de la fatalité, une affirmation que le développement peut être à la fois massif et inclusif. Alors que les premières clés seront remises en février 2025, une question persiste : et si l’avenir des nations se jouait aussi dans la capacité à loger dignement chaque citoyen ? Le Bénin, en osant ce pari, offre au continent une feuille de route : celle où le progrès se mesure non à la hauteur des gratte-ciel, mais à la stabilité des foyers.

 

Grand-Nokoué : le PMPP ouvre la voie à une mobilité urbaine durable

La Société des Infrastructures Routières et de l’Aménagement du Territoire (SIRAT SA) vient de franchir une étape cruciale dans la mise en œuvre du Projet de Mobilité Urbaine Durable du Grand-Nokoué (PMUD-GN) en publiant le Plan de Mobilisation des Parties Prénantes (PMPP). En effet, ce document essentiel, conforme aux exigences des projets financés par la Banque Mondiale, ouvre la voie à une participation citoyenne active et éclairée dans la transformation de la mobilité urbaine de l’agglomération.

Un projet ambitieux pour un développement durable

Par ailleurs, le PMUD-GN, cofinancé par la Banque mondiale (IDA) et la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (AIIB), incarne une vision novatrice de la mobilité urbaine. Il ambitionne de doter le Grand-Nokoué d’un système de déplacement multimodal, intégré et durable, reflétant le bien-être des populations au cœur de ses préoccupations.

Le PMPP : un outil de concertation et d’engagement

D’ailleurs, le Plan de Mobilisation des Parties Prénantes (PMPP) constitue un instrument clé pour garantir l’adhésion et l’implication de tous les acteurs concernés par le projet. Il définit les modalités de participation des différentes parties prenantes, qu’il s’agisse des habitants, des associations, des collectivités locales ou des experts, tout au long du cycle de vie du PMUD-GN.

Une démarche participative et inclusive

En plus, la publication du PMPP témoigne de la volonté de la SIRAT SA d’adopter une approche participative et inclusive dans la mise en œuvre du PMUD-GN. En favorisant le dialogue et la concertation, ce plan permet de recueillir les avis, les préoccupations et les suggestions des différentes parties, afin d’enrichir le projet et de l’adapter au mieux aux réalités locales.

Un appel à l’engagement citoyen

La publication du PMPP est un appel à l’engagement citoyen. Chaque habitant, chaque acteur de la société civile est invité à prendre ainsi part à cette dynamique de transformation de la mobilité urbaine. En s’informant, en participant aux consultations et en faisant entendre sa voix, chacun peut contribuer à façonner un système de déplacement plus efficace, plus durable et plus inclusif pour le Grand-Nokoué.

Pour une mobilité urbaine durable et partagée

En somme, le PMUD-GN représente une opportunité unique de construire un avenir dans lequel la mobilité urbaine rime avec développement durable, bien-être et vivre-ensemble. La publication du PMPP marque une étape importante dans cette direction, en offrant à tous les citoyens la possibilité de devenir acteurs du changement et de contribuer à l’émergence d’une mobilité urbaine durable et partagée.

La Place du Souvenir : Un sanctuaire de la mémoire nationale, prêt à renaître

Cotonou, le 6 décembre 2024 Nichée au cœur du quartier Haie Vive, à l’angle de la rue 390 et de la route de l’aéroport, la Place du Souvenir, anciennement Place des Martyrs, est bien plus qu’un simple espace public. C’est un lieu chargé d’histoire, un sanctuaire dans lequel la mémoire collective du Bénin se perpétue.

La Place du Souvenir à Cotonou, symbole de la résistance béninoise, se modernise tout en préservant la mémoire des martyrs de 1977.La Place du Souvenir : Un hommage aux héros de 1977

Érigée en mémoire des sept Béninois tombés lors de l’agression mercenaire du 16 janvier 1977, dirigée par Bob Denard, la Place du Souvenir est un hommage poignant à ces héros qui ont sacrifié leur vie pour défendre leur patrie. Le monument, réalisé avec l’appui de la Corée du Nord et inauguré en 1979, est une œuvre d’art singulière qui mêle les codes de l’Antiquité et ceux de la révolution. Les trois statues, représentant deux hommes et une femme, saisies dans un élan de lutte, symbolisent la résistance du peuple béninois face à l’adversité.

Un renouveau pour un lieu emblématique

Si la Place du Souvenir est un lieu chargé d’histoire, elle est aussi en pleine mutation. Un vaste chantier de rénovation est en cours, promettant de redonner à cet espace emblématique tout son éclat. La nouvelle Place du Souvenir s’étendra sur 7663 m², offrant ainsi un espace généreux pour la promenade et la détente. Des bancs publics seront installés et une végétation luxuriante viendra égayer les lieux. Un luminaire moderne viendra quant à lui créer une ambiance conviviale et chaleureuse, invitant à la flânerie et à la contemplation.

Un lieu de mémoire et de partage

Au-delà de sa dimension historique, la Place du Souvenir est un lieu de partage et de rencontres. Elle est un espace dans lequel les Béninois peuvent se recueillir, se remémorer les événements du passé et transmettre les valeurs de la résistance et de la liberté aux générations futures. La rénovation de ce site est donc un projet d’envergure qui témoigne de l’attachement des autorités à préserver le patrimoine historique et culturel du pays.

Un symbole fort de l’identité béninoise

En somme, la Place du Souvenir est bien plus qu’un simple monument. C’est un symbole fort de l’identité béninoise, un lieu où se croisent l’histoire, la mémoire et l’avenir. En offrant un cadre rénové et accueillant, les autorités souhaitent faire de cet espace un lieu de vie et de partage, où les Béninois pourront se retrouver et célébrer leur histoire commune.

 

Cotonou, burlingue d’un nouveau poumon économique

Cotonou, le 29 novembre 2024 – Un nouveau souffle vient de naître au cœur de la Cité des Lacs. Un projet d’envergure, celui de la Cité financière, voit sa première phase se concrétiser, marquant ainsi une étape décisive dans la transformation de la capitale économique du Bénin.

Ce chantier colossal, lancé par le gouvernement, vise à créer un véritable pôle financier, un espace dédié aux institutions financières, un cœur battant de l’économie béninoise. L’idée est de regrouper en un même lieu les acteurs clés du secteur financier, favorisant ainsi les synergies, les échanges et l’innovation.

: La Cité Financière de Cotonou : un projet d'envergure qui redéfinit le paysage urbain et renforce l'attractivité économique du Bénin. Cité Financière : quatre gratte-ciel pour une nouvelle silhouette urbaine

Pour cette première phase, ce sont quatre gratte-ciel qui vont s’élever vers le ciel, dessinant ainsi une nouvelle silhouette urbaine. Ces bâtiments, aux lignes modernes et épurées, seront des vitrines de l’architecture véritable contemporaine.

  • Le premier bâtiment, un géant de sept étages, accueillera la Caisse des dépôts et consignations du Bénin et la Caisse autonome de gestion de la dette. Un choix judicieux qui permettra à ces institutions de mieux coordonner leurs actions et d’offrir des services plus efficaces aux citoyens.
  • Le deuxième bâtiment, de même hauteur, c’est-à-dire R+7, sera dédié à la Société immobilière et d’aménagement urbain (SIMAU), un acteur clé dans le développement immobilier du pays.
  • Le troisième bâtiment, un peu plus modeste avec ses cinq étages, abritera la Banque internationale pour l’industrie et le commerce (BIIC), un établissement financier majeur dans le paysage économique béninois.
  • Enfin, le quatrième bâtiment, avec ses six étages, accueillera l’Institut national de la statistique et de la démographie (INStaD), un organisme essentiel pour la collecte et l’analyse des données économiques et sociales du pays.

: La Cité Financière de Cotonou : un projet d'envergure qui redéfinit le paysage urbain et renforce l'attractivité économique du Bénin.Cotonou : un nouveau visage moderne et ambitieux

Ces quatre tours, symboles d’un Bénin en marche, ne sont que le début d’un projet plus vaste. La Cité financière, une fois achevée, sera un catalyseur de développement, attirant véritablement les investissements, créant des emplois et renforçant le rayonnement international du Bénin.

Cotonou, ville dynamique et en constante évolution, s’offre ainsi un nouveau visage, plus moderne, plus ambitieux. La Cité financière dépasse largement le simple assemblage de bâtiments : c’est un véritable projet de société, un témoignage de la volonté du gouvernement de faire du Bénin un acteur majeur de l’économie africaine.

En somme, ce projet est une véritable prouesse architecturale et un symbole fort de l’ambition du Bénin de se positionner comme un hub financier en Afrique de l’Ouest.

 

Cotonou se dote d’une Cité ministérielle : Un projet pharaonique

Le Bénin franchit une nouvelle étape dans la modernisation de son administration. En effet, la construction d’une Cité ministérielle à Cotonou, un projet ambitieux et novateur, est en voie d’achèvement. En effet, ce complexe immobilier ultra-moderne, qui regroupera une vingtaine de ministères, promet de révolutionner le fonctionnement de l’État béninois.

Cotonou dévoile sa cité ministérielle : un complexe immobilier de 60 000 m² qui centralise 20 ministères et offre un environnement de travailUn projet d’envergure nationale

Située sur le Boulevard de la Marina, en face du Palais des Congrès, la Cité ministérielle se dresse comme un symbole de la volonté du gouvernement béninois de doter ses agents d’un cadre de travail optimal. Ce projet, d’une valeur de plusieurs milliards de francs CFA, a été conçu pour répondre à plusieurs objectifs :

  • Centralisation administrative : regrouper les différents ministères sur un même site permettra de faciliter les échanges, de rationaliser les procédures et d’améliorer la coordination entre les différents services.
  • Réduction des coûts : en mettant fin aux multiples baux commerciaux, l’État réalise d’importantes économies sur le long terme.
  • Modernisation des infrastructures : les bâtiments de la Cité ministérielle sont conçus selon les normes les plus récentes en matière de construction et d’efficacité énergétique.
  • Amélioration des conditions de travail : les agents de l’État bénéficieront d’un environnement de travail moderne et fonctionnel, favorisant une meilleure productivité.

Les caractéristiques de la Cité ministérielle

Par ailleurs, la Cité ministérielle s’étend sur cinq hectares et comprend :

  • Dix bâtiments de cinq étages offrant plus de 60 000 m² de bureaux.
  • Un bloc dédié à la restauration et aux services communs.
  • Un parking pouvant accueillir plus de 500 véhicules.
  • De vastes espaces verts aménagés.

Un partenariat public-privé réussi

La réalisation de ce projet a été confiée à la Société Immobilière et d’Aménagement Urbain (SImAU), qui a mis en place un partenariat public-privé innovant. Ce modèle permet à l’État de bénéficier d’un financement privé tout en conservant la propriété des bâtiments à terme.

Les impacts attendus

La mise en service de la Cité ministérielle devrait avoir des retombées positives à plusieurs niveaux :

  • Amélioration de l’efficacité administrative : la centralisation des services et la modernisation des infrastructures devraient permettre de gagner en efficacité et en réactivité.
  • Dynamisation de l’économie locale : le projet a créé de nombreux emplois pendant la phase de construction et continue à générer des activités économiques grâce à son exploitation.
  • Renforcement de l’attractivité du Bénin : la Cité ministérielle est un symbole du dynamisme et de la modernité du pays.

En conclusion, la Cité ministérielle de Cotonou est bien plus qu’un simple complexe immobilier. C’est un projet structurant qui marque une nouvelle étape dans la modernisation de l’administration béninoise. En offrant un cadre de travail optimal à ses agents, l’État béninois pose ainsi les fondements d’une administration plus efficace, plus transparente et mieux au service des citoyens.

Abomey : Le patrimoine royal retrouve son éclat

Abomey, le 20 septembre 2024 – Un nouveau chapitre s’écrit pour le patrimoine béninois ! Lors d’une cérémonie officielle marquée par la présence de sénateurs français, les clés des nouveaux locaux des conseils royaux d’Abomey ont été remises au roi du Danxomè. En effet, Cet événement marque une étape clé dans la restauration du site palatial d’Abomey, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Ce projet de grande envergure, fruit d’un partenariat entre l’Agence Nationale pour la Promotion du Tourisme (ANPT) du Bénin et l’Agence Française de Développement (AFD), vise à redonner vie à ce joyau historique. Outre la rénovation des bâtiments royaux, la construction d’un Musée Régional d’Art et d’Archéologie (MuRAD ) est également en cours. Ce futur musée accueillera des collections d’objets d’art et d’archéologie témoignant de la riche histoire du royaume du Dahomey.

Lors d'une cérémonie officielle, le roi du Danxomè a reçu les clés des nouveaux locaux des conseils royaux d'Abomey,Un symbole fort de la coopération franco-béninoise

La présence de sénateurs français lors de cette cérémonie souligne l’importance de ce projet dans le cadre de la coopération bilatérale. Ce partenariat entre la France et le Bénin témoigne de l’attachement des deux pays à la préservation du patrimoine culturel africain.

Un nouvel élan pour le tourisme culturel

Par ailleurs, la restauration du site palatial d’Abomey et la création du MuRAD devraient donner un nouvel élan au tourisme culturel au Bénin. En offrant aux visiteurs un cadre immersif pour découvrir l’histoire et les traditions du royaume du Dahomey, ces projets contribueront à renforcer l’attractivité touristique du pays.

En bref, les travaux de rénovation et de construction se poursuivent à un rythme soutenu. L’ouverture  prochaine du MuRAD marquera l’aboutissement d’un projet ambitieux qui permettra de valoriser le patrimoine culturel du Bénin et de le faire connaître au monde entier.

Bénin : Une nouvelle ère pour le secteur de la construction

Cotonou, le 12 septembre 2024 – Le gouvernement béninois vient de poser une pierre angulaire pour réformer en profondeur le secteur de la construction. Lors d’un conseil des ministres exceptionnel, un projet de loi-cadre sur la construction et l’habitation a été présenté, marquant un tournant décisif pour le secteur immobilier du pays.

En effet, ce texte législatif ambitieux vise à instaurer un cadre réglementaire plus strict et plus transparent pour garantir la qualité et la sécurité des constructions au Bénin. Fini les bâtiments qui s’effondrent et les investissements immobiliers hasardeux ! Le gouvernement entend mettre en place des normes rigoureuses pour protéger les citoyens et stimuler également un développement urbain durable.

Les principaux axes de cette réforme dans le secteur de la construction

  • Régulation renforcée des acteurs du secteur : Constructeurs et promoteurs seront soumis à des contrôles plus stricts pour assurer la qualité de leurs réalisations.
  • Soutien au logement social : Le gouvernement s’engage à faciliter l’accès au logement pour tous les Béninois, en particulier les plus démunis.
  • Transparence et lutte contre la corruption : La déclaration de patrimoine obligatoire pour les hauts fonctionnaires témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer la transparence et la bonne gouvernance.

Un pas de géant vers un Bénin moderne

L’adoption de ce projet de loi représenterait une avancée significative pour le Bénin, rappelant l’importance du permis de construire et imposant des garanties solides aux acteurs de l’immobilier. Le logement social, en particulier, deviendrait une priorité étatique, reflétant une prise de conscience et une responsabilité accrues envers les besoins des citoyens.

Les ministres concernés ont reçu pour instruction de défendre vigoureusement ce projet devant la Représentation nationale, soulignant l’engagement du gouvernement à concrétiser ces réformes. En parallèle, le conseil a également adopté un décret établissant la liste des autorités et agents publics tenus à une déclaration de patrimoine, ainsi qu’une approbation pour les statuts révisés de l’Agence nationale de la Maintenance hospitalière, renforçant ainsi la transparence et la responsabilité au sein de l’administration publique.

Un signal fort pour les investisseurs

En outre, cette réforme est un signal fort pour les investisseurs, tant nationaux qu’étrangers. En offrant un cadre juridique sécurisé et transparent, le Bénin ambitionne de devenir une destination attractive pour les investissements immobiliers.

Les défis à relever

L’application de cette nouvelle loi ne sera pas sans défis. La mise en place d’un système de contrôle efficace et la formation des acteurs du secteur seront essentielles pour garantir le succès de cette réforme.

En bref, cette réforme ambitieuse marque un tournant décisif pour le secteur de la construction au Bénin. En instaurant des normes plus strictes et en favorisant le logement social, le gouvernement pose les fondements d’un avenir meilleur. Mais de nombreux défis restent à relever : comment financer la rénovation des quartiers insalubres ? Comment encourager la construction de logements écologiques ? Comment garantir l’accès au logement pour tous les Béninois ? Les réponses à ces questions détermineront en grande partie le succès de cette réforme.

Dassa-Zoumè se modernise sous l’impulsion du gouvernement Talon

Nichée au cœur du Bénin, la ville de Dassa-Zoumè, chef-lieu du département des Collines depuis 2016, connaît une profonde mutation. Sous l’impulsion du gouvernement du Président Patrice Talon, cette cité de plus de 112 000 habitants, s’étend sur 1711 km² et se distingue par ses 41 collines, dont la célèbre grotte mariale.

Dassa-Zoumè se modernise : grâce à un important investissement du gouvernement , la ville se dote d'une nouvelle cité administrative,Une cité administrative moderne au service des populations à Dassa-Zoumè

L’une des priorités du gouvernement béninois est de moderniser les infrastructures publiques et de rapprocher l’administration des citoyens. C’est dans cette optique que Dassa-Zoumè s’est dotée d’une toute nouvelle cité administrative.

Ce vaste complexe immobilier comprend un bâtiment R+2 pour la préfecture, quatre bâtiments R+1 pour les directions départementales, ainsi que des résidences pour le préfet et le secrétaire général. Au total, ce sont plus de 13 000 m² de bâtiments neufs qui ont été construits pour offrir des conditions de travail optimales aux agents de l’État et des services publics de qualité aux populations.

Dassa-Zoumè se modernise : grâce à un important investissement du gouvernement , la ville se dote d'une nouvelle cité administrative,Un investissement pour l’avenir

En investissant massivement dans la construction de cette cité administrative, le gouvernement Talon vise plusieurs objectifs :

  • Améliorer les conditions de travail des agents de l’État : Les nouveaux bâtiments sont conçus pour offrir un environnement de travail moderne et fonctionnel.
  • Moderniser le patrimoine bâti : Ces infrastructures contribuent à embellir la ville de Dassa-Zoumè et aussi à donner une image dynamique du Bénin.
  • Réduire les coûts : La construction de ces bâtiments permettra  également de réaliser des économies d’échelle sur les coûts des baux administratifs.
  • Rapprocher l’administration des citoyens : En concentrant les services de l’État dans un même lieu, les démarches administratives seront plus facile pour les populations.

Une dynamique qui s’inscrit dans une politique plus large

Par ailleurs, la construction de la cité administrative de Dassa-Zoumè s’inscrit dans un programme plus vaste de modernisation des infrastructures publiques engagé par le gouvernement béninois. L’objectif est de doter toutes les grandes villes du pays de cités administratives modernes afin d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de renforcer l’attractivité du pays.

En bref, Grâce à l’engagement du gouvernement béninois, Dassa-Zoumè se transforme en une ville moderne et dynamique. La nouvelle cité administrative est un symbole de cette transformation et un atout majeur pour le développement de la région.

Bénin : Un nouveau souffle pour le secteur maritime

Cotonou, le 26 août2024– Le Bénin s’apprête à franchir une nouvelle étape dans sa modernisation avec l’achèvement imminent du Centre des Affaires Maritimes. En effet, ce projet phare, porté par le gouvernement du Président Patrice Talon, vient bouleverser le paysage de la zone portuaire de Cotonou, longtemps synonyme de chaos et d’insalubrité.

Situé en bordure du boulevard de la Marina, ce complexe immobilier ultramoderne a nécessité un investissement de 46, 2 milliards de francs CFA. Il comprend trois bâtiments distincts, chacun dédié à une fonction spécifique : un pour les administrations publiques, un autre pour les entreprises privées du secteur maritime, et le dernier pour le Port autonome de Cotonou lui-même.

Un hub d’affaires au cœur du port maritime

En plus, ce nouveau centre n’est pas qu’un simple regroupement de bureaux. C’est un véritable écosystème d’affaires conçu pour stimuler la croissance économique et renforcer l’attractivité du port de Cotonou. Il abritera notamment :

  • Des espaces de coworking favorisent l’innovation et la collaboration entre les acteurs du secteur maritime.
  • Des locaux commerciaux accueillants banques, assurances, et autres services indispensables aux entreprises.
  • Un data center pour répondre aux besoins croissants en matière de stockage et d’échange de données.
  • Des salles de conférence équipées pour organiser des événements à grande échelle.
  • Un parking de 276 places pour faciliter les déplacements des employés et des visiteurs.

Une architecture au service du développement durable

Conçu selon les principes de l’architecture bioclimatique, le Centre des Affaires Maritimes intègre des espaces verts et des terrasses, offrant ainsi un cadre de travail agréable et propice à la créativité. Ce choix architectural s’inscrit dans une démarche globale de développement durable, en ligne avec les ambitions du gouvernement béninois.

Un levier pour le développement économique

En regroupant l’ensemble des acteurs du secteur maritime dans un même lieu, ce nouveau centre vise à :

  • Améliorer la fluidité des opérations portuaires et réduire les délais de traitement des marchandises.
  • Renforcer la compétitivité du port de Cotonou sur la scène internationale.
  • Créer de nouveaux emplois et stimuler l’activité économique locale.

Les travaux, qui ont débuté en 2022, sont désormais en phase de finition. En bref,  l’inauguration de ce projet emblématique est imminente et suscite de grandes attentes tant au Bénin qu’à l’échelle régionale.

Abomey : Une nouvelle ère pour les services publics

Abomey, cœur battant du département du Zou, se dote d’une infrastructure moderne et fonctionnelle. Au cœur du quartier Adandokpodji, une cité administrative majestueuse est en voie d’achèvement. En effet, ce projet d’envergure, inscrit dans le cadre du programme national de construction d’infrastructures publiques, marque une étape importante dans la modernisation de l’administration béninoise.

Abomey se dote d'une nouvelle cité administrative moderne pour améliorer les services publics et le cadre de travail des agents.Un complexe dédié au service public à Abomey

La modernisation administrative prend un nouveau visage dans le département du Zou avec l’achèvement prochain de sa nouvelle cité administrative. Ce joyau architectural, s’étendant majestueusement sur plus de 4500 m², est désormais le cœur battant de l’administration locale. La préfecture, pièce centrale de cette cité, promet d’offrir aux citoyens un service public de prestige, dans un environnement à la fois moderne et accueillant.

À quelques pas de là, un bâtiment flambant neuf de 3700 m² se dresse, conçu spécifiquement pour abriter les directions départementales. Cette proximité stratégique est la pierre angulaire d’une coordination sans faille et d’une efficacité accrue, répondant aux besoins de gouvernance du 21ème siècle.

Non loin, le préfet du département bénéficiera d’une résidence de fonction qui allie confort et sécurité, symbolisant la stature et l’importance de sa fonction. Ce complexe, qui est plus qu’une simple addition de bâtiments, est une déclaration d’intention, reflétant l’engagement du département du Zou envers l’excellence administrative et le bien-être des citoyens.

Abomey se dote d'une nouvelle cité administrative moderne pour améliorer les services publics et le cadre de travail des agents.Des avantages multiples pour les citoyens et les agents

La modernisation des infrastructures administratives est en marche avec la création d’un nouveau complexe qui promet de transformer l’expérience des citoyens et des agents de l’État. Cette initiative, qui vise à centraliser les services en un seul et même endroit, est une révolution dans la simplification des démarches administratives.

Les citoyens bénéficieront d’un accès plus rapide et plus aisé à divers services, réduisant ainsi le temps et les efforts habituellement nécessaires pour naviguer entre différents bureaux. Parallèlement, l’amélioration des conditions de travail pour les agents devrait se traduire par une augmentation significative de la qualité des services offerts.

En outre, cette centralisation est également synonyme de réduction des dépenses pour l’État, puisqu’elle permettra de réaliser des économies substantielles sur les coûts liés aux baux des bâtiments administratifs. Ce projet ambitieux est donc une avancée majeure vers une administration plus efficace et économique, au service des citoyens.

Abomey se dote d'une nouvelle cité administrative moderne pour améliorer les services publics et le cadre de travail des agents.Un projet exemplaire pour le Bénin

La construction de cités administratives dans tous les départements du Bénin, à l’exception du Littoral, témoigne de la volonté du gouvernement de moderniser l’administration publique et de rapprocher les services de l’État des citoyens. Ce projet ambitieux s’inscrit pleinement dans la dynamique de développement du pays.

En résumé, cette nouvelle cité administrative à Abomey est un symbole de la modernisation de l’État béninois. Elle permettra d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de renforcer l’attractivité du département du Zou.