Cotonou : une militaire en faction devant une banque, poignardée par un individu

Une militaire en faction devant une banque à Cotonou a été poignardée le 4 avril dernier par un individu. Grièvement blessée, elle s’est retrouvée en soins intensifs après avoir été transportée en urgence au centre de santé, renseigne le site d’information beninwebtv.

En effet, une jeune femme militaire en service devant une banque de la place a été agressée à l’arme blanche.

Le site d’information renseigne que selon les informations rapportées par les témoins, la jeune militaire était en faction ce dimanche quand elle a constaté des mouvements suspects d’un individu au niveau de la banque. Elle s’est donc approchée pour s’informer des intentions de cet individu suspect. Mais ce dernier la poignarda contre toute attente.

Grièvement blessée, elle a été transportée de toute urgence pour des soins intensifs. L’agresseur quant à lui a été maîtrisé et se retrouve entre les mains de la police républicaine.

Selon les dernières informations, elle est maintenant hors danger et poursuit les soins.

Badazouin : un homme brûlé vif après avoir tué son épouse à la hache

La population de médessèdji, une localité de l’arrondissement de Badazouin dans la commune de Bopa, a brûlé vif ce 30 mars, un homme de la quarantaine environ, qui, pour une dispute liée au refus de son épouse de faire la cuisine , a charcuté cette dernière, qui  a succombé aux environs de deux heures du matin, a appris l’ABP de source locale.

Selon les explications du chef de l’arrondissement de Badazouin, Toussaint Hounsounnouvi, relayées par la radio communautaire installée dans la localité, l’homme aurait sollicité sa femme, pour préparer  aux hommes et femmes qu’il a mobilisé pour la semence initialement prévue pour ce jour. La dame, apprend-t-on, « en toute humilité aurait suggéré à son époux de reporter les travaux de semence pour le mercredi ,sous prétexte qu’elle va au champs avec les mêmes personnes ». Cette proposition de l’épouse n’étant pas du goût du mari, a poursuivi le chef de l’arrondissement, « il a commencé par proférer des menaces à sa femme et attendu la nuit profonde pour commettre son forfait en charcutant la dame à l’aide d’une hache». Toujours selon Toussaint Hounsounnouvi, ce sont les cris du bébé de la victime qui a alerté, aux environs de deux heures une voisine de la concession où le drame s’est produit. Ce n’est qu’à ce moment a poursuivi l’élu local, que les dégâts ont été constatés.

Comme réponse du berger à la bergère, les populations sont passées à la vindicte populaire, pour en découdre avec le présumé assassin qui serait un repris de justice. Le couple laisse derrière lui sept (07) enfants dont un bébé de trois mois.

Ouidah : Un écolier meurt suite à l’agression d’un camarade de classe

Un malentendu entre deux écoliers s’est terminé en drame à l’école primaire publique de Ganvè, dans la commune de Ouidah, rapporte le site d’informations en ligne Beninweb.

Tout est parti d’un malheureux malentendu entre les deux élèves. L’un deux ayant accusé à tort le second d’avoir volé sa tenue d’Education physique et sportive (EPS). Fâché, l’élève de CE2 a enfoncé un stylo dans le cou de son camarade d’école.

Le garçon a succombé à sa blessure malgré l’intervention des responsables de l’établissement.

Toujours selon le média, la police républicaine s’est saisie du dossier pour les investigations nécessaires afin d’élucider les circonstances de ce drame.

Société : Une victime d’accident de la route dépouillée de 800.000 f Cfa à Allada

Un homme, victime d’accident ce mercredi de sur la voie inter État Sékou-Houégbo à hauteur d’Adimalè dans la commune d’Allada a été dépouillé  de la forte somme d’argent qu’il avait en sa possession  par des individus venus à sa rescousse, a appris l’agence Bénin Presse.

Près de 800.000 francs ont été subtilisés à la victime par les personnes venues le secourir dans la foulée de l’affolement général ayant précédé le choc. Ce dernier s’est rendu compte de la supercherie un moment après avoir retrouvé ses esprits.

Le motocycliste accidenté en provenance de Cotonou, apprend-t-on, allait ainsi sur un chantier dans cette commune où il devait procéder au paiement des ouvriers.

Bénin: Découverte d’un corps sans vie dans une brousse

Le corps sans vie d’un individu a été retrouvé ce vendredi 17 janvier 2020 dans la brousse à Ifangni, département du plateau. Selon certaines sources, il s’agit d’un agent de la police républicaine.

Disparu depuis le 14 novembre 2020 dans des conditions non encore élucidées, c’est le cadavre fonctionnaire de la police qui a été retrouvé et dans un état de décomposition avancée.

Il faut souligner que l’agent en fonction dans le département serait affecté au nord du pays. Attendu pour prendre service, il ne s’y est jamais rendu avant la découverte de son corps sans vie les enquêtes sont en cours pour élucider le drame

Sinistre : Une dizaine de morts et un rescapé dans un accident de circulation à Boko (N’Dali)

Au total neuf (09) morts et un blessé grave ont été dénombrés des suites d’un accident de circulation survenu dans la matinée de ce vendredi sur la Route inter-Etat (RNIE) N°2 à la hauteur de Boko, un village de l’arrondissement de Sirarou, dans la commune de N’Dali, a appris l’ABP des sources policières.

 

A l’origine, un véhicule de transport de personnes Toyota ‘’Pique-nique’,’ en provenance de Sinendé à destination de Parakou ayant à bord 10 passagers qui est entré sous la remorque d’un camion gros porteur en stationnement sur la chaussée pour raison de panne, a indiqué Marcellin Gbéto, Commissaire de l’arrondissement de Sirarou. Le seul rescapé, grièvement blessé, informe-t-on, a été évacué sur le Centre hospitalier universitaire départemental (CHUD) Borgou. Les corps des personnes décédées, ont été confiés au commissariat de l’arrondissement de Sinendé chargé de les remettre aux parents des victimes sur instruction du procureur, a aussi dit l’agent de Police.

En plus du non-respect du code de la route, les causes de cet accident sont entre autres liés à l’excès de vitesses, au stationnement défectueux et au défaut de signalisation.

 

Drame : Naufrage d’une barque

Chaque veuille de la Noël qui est la fête chrétienne qui célèbre la naissance de Jésus de Nazareth, il est organisé un grand pèlerinage de l’Eglise du Christianisme Céleste à Sèmè au Bénin. Ce rendez-vous religieux regroupe tous les fidèles du christianisme céleste du monde. Du moins, ceux qui peuvent s’y rendre.

Pour le compte de cette année 2019, un drame est survenu. En effet, les célestes en provenance du Nigéria pour se rendre à la Convention annuelle de l’Eglise du Christianisme Céleste ont trouvé la mort par noyade. Dans la nuit du 21 au 22 décembre, la barque qui leur servait de moyen de transport pour l’occasion a chaviré. Plusieurs morts sont dénombrés.

Le gouvernement du Bénin a témoin sa compassion à l’église du christianisme céleste. Selon un communiqué en date du mardi 24 décembre signé du ministre porte-parole, « des dispositions sont d’ores et déjà prises afin que les causes de cette tragédie soient identifiées et les responsabilités situées ». . Il témoigne « toute sa compassion aux familles des disparus, à l’Eglise du Christianisme Céleste ainsi qu’à toute la nation endeuillée ».

Drame : un enfant retrouvé mort sans tête

Un crime rituel ? Un acte de sorcellerie ou de banditisme ? Personne ne le sait. Les populations se posent des questions sans réponse à la découverte macabre  extraordinaire qui a été faite dans la commune d’Adjohoun.  En effet, dans l’un des villages de cette commune les parents ont remarqué la disparition de leur garçon de 10 ans dans la soirée du vendredi 20 décembre 2019. Ils se sont donc  mis à sa recherche avec l’aide des populations de la localité. C’est ainsi qu’à bord du fleuve Ouémé ils ont découvert un cadavre sans tête qui se trouve être celui de l’enfant disparu.

Dans la stupéfaction et surtout sans connaitre les causes, les auteurs de ce crime, les spéculations vont dans tous les sens. Pour certains ces serait l’œuvre des féticheurs qui auraient b besoin de crane humains pour leurs rituels de fin d’année. Pour d’autres c’est peut-être des bandits qui ont décapité le petit garçon pour utiliser sa tête à des fins occultes.

Le commissariat de police de la localité a ouvert une enquête pour élucider le drame, appréhender les présumés coupables de ce meurtre et les présenter au procureur de la république.

Drame : Un élève tué par une de ses camarades dans un collège

Au Bénin, au Collège d’enseignement général (CEG1) de Bohicon, une affaire de tuerie défraie la chronique. En effet, dans ce lieu d’éducation et d’instruction, une rixe qui a opposé une fille à un de ses camarades s’est soldée par la mort de ce dernier ce mercredi 11 décembre 2019.

 

 

Selon les informations, une guéguerre est née depuis des jours au sujet de la constitution des groupes de classe entres les deux élèves. Le garçon serait turbulent, perturbateur et aucun de ses camarades ne l’aurait accepté dans un groupe. C’est ainsi que la fille, la meurtrière, lui aurait signifié ouvertement son envie de ne pas le voir faire partie de son groupe de travail alors que celui-ci insiste pour y avoir une place. Ce que le garçon n’aurait pas supporté. Les hostilités seraient déclenchées à ce moment et une première altercation aurait eu lieu brièvement.

Ne voulant pas s’en arrêter là les deux jeunes collégiens se seraient donnés rendez-vous le lendemain pour régler leur compte à la sortie des classes. Ce qui fût fatal à l’un d’entre eux, le garçon.

En venant à leur rendez-vous de boxe, le garçon se serait muni d’un compas et la fille de ciseaux. « La jeune élève, la vingtaine, se serait munie depuis son domicile de l’arme du crime, une paire de ciseaux avec laquelle elle a poignardé son camarade de classe. Après les altercations survenues la veille entre les deux élèves, l’auteur du crime, est revenue en furie ce mercredi dans la salle de classe et profitant de la pause de 10 heures, saisit le jeune élève par le col et lui enfonça les ciseaux tout droit dans le cœur, a-t-on témoigné. » Informe l’ABP.

Mise aux arrêts par la police, la meurtrière sera présentée au procureur. L’atmosphère de  psychose de ce drame est encore présente dans ce collège qui abrite plus de 3000 apprenants. Les autorités du collège, ses enseignants, les autorités locales de la commune sont appelés à prendre des mesures afin que ces gens d’événement ne se reproduisent plus.

 

 

 

Drame : Neuf morts dans un accident de circulation

Un accident de circulation fait neuf (09) morts sur la voie inter-état Cotonou-Malanville!
Le drame est survenu dans la soirée du Dimanche 17 Novembre 2019 à Béroubouay, un arrondissement de la commune de Bembéréké.
Le bilan fait état de 9 morts dont cinq sur place et les quatre autres à l’hôpital Evangélique de Bembéréké. Parmi les victimes, il y a un nourrisson, un enfant et deux femmes.
Pour l’instant, trois corps restent non-identifiés.
selon le Lieutenant Yamoussa Monli, commissaire de Béroubouay ce sont deux véhicules, un taxi et un personnel qui sont entrés en collision frontale. Le taxi et ses passagers ont quitté Parakou alors que le véhicule personnel a quitté Banikoara pour Parakou. On note cependant quatre survivants dans l’accident.

Source : FM MONSIA

Drame au commissariat de Mane à Boukoumbé

Un fait hors du commun a eu lieu au commissariat de Manta à Boukoumbé. Le lieu de sécurité serait devenu un camp de mort.

Dans la commune de Boukoumbé, département de l’Atacorat au nord du Bénin, un évènement qui n’est pas ordinaire s’est produit.  .En effet, selon certaines informations, un certain Combetti Fidel, interpellé et conduit au commissariat de Manta n’en est pas sorti vivant de ce lieu. L’affaire défraie la chronique depuis quelques jours.

A en croire le frère de la victime,  Combetti Koumba Ferdinard, Combetti Fidèle serait assassiné au commissariat de Manta par des personnes non encore identifiées. Dans son récit, il explique que Fidèle Combetti  qui avait été conduit au commissariat était gardé à vue pour que son dossier soit traité le lendemain.

En attendant qu’il fasse jour avant d’aller au chevet de son frère, on l’appelle à une heure tardive de la nuit pour lui annoncer la mort de son frère qui serait extirpé de sa cellule et abattu par des personnes non encore identifiées. En effet, des individus auraient attaqué le commissariat. Les agents de garde en sous-effectif auraient fui les lieux en abandonnait le détenu à son sort macabre.

A entendre le frère de la victime, la scène qu’il a vu au commissariat était celle d’un crime. Son frère gardé à vue aurait été extirpé de sa cellule avant d’être assassiné et gisant dans le sang. Le lieu de sécurité devient ainsi celui d’insécurité. Ce qui relance la question de la protection des biens et des personnes.