Éclat inaugural des « Vodun Days » à Ouidah avec la Caravane brésilienne

Ce samedi 6 janvier 2024, la ville emblématique de Ouidah a vibré au rythme des festivités inaugurales des « Vodun Days », un événement attendu avec ferveur. Les festivités, qui se prolongeront jusqu’au 10 janvier 2024 avec une série de Side-Évents, ont débuté de manière spectaculaire avec la colorée Caravane brésilienne, portée par le dynamique Groupe Bantu Afro Brasileiros.

La caravane du Groupe Bantu Afro Brasileiros.

Le Fort Portugais a été le point de départ de cette procession haute en couleurs, traversant les ruelles historiques de la ville avant de culminer dans la cour de la Mairie de Ouidah. Cet événement inaugural a réuni une assemblée distinguée, comprenant le Conseiller Spécial du Président de la République, M. Johannès DAGNON, le Ministre du Tourisme du Bénin, Jean-Michel ABIMBOLA, le Préfet de l’Atlantique, Monsieur Jean-Claude CODJIA, le Maire de la ville, M. Christian HOUETCHENOU, ainsi que d’éminents élus et cadres locaux.

Les moments captivants de la Caravane, en parfaite harmonie avec les traditions vodun, ont été capturés à travers des photographies mémorables disponibles en téléchargement sur le compte Flickr officiel de la Présidence du Bénin. Ces images reflètent la fusion unique entre la spiritualité locale et l’énergie contagieuse apportée par le Groupe Bantu Afro Brasileiros.

Cette ouverture en fanfare des « Vodun Days » annonce avec éclat la suite des réjouissances, avec les Side-Évents qui promettent de plonger les participants dans une expérience culturelle encore plus profonde. Ouidah, berceau du vodun, célèbre ainsi son héritage avec une élégance éblouissante, offrant à tous une opportunité exceptionnelle de s’immerger dans la richesse de cette tradition séculaire.

 

Consolidation du Partenariat entre l’ARS et l’OMS : Un Pas Décisif Franchi

La concrétisation d’une alliance solide entre l’Autorité de Régulation du secteur de la Santé (ARS) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a franchi un jalon crucial le 29 décembre 2023, suite à une visite stratégique initiée à la suite de la prise de contact entre le Président de l’ARS, le Dr Lucien Dossou-Gbété, et le Représentant Résident par intérim de l’OMS, le Dr Jean Kouamé Konan, le 18 octobre 2023.

La journée a débuté par une rencontre intimiste entre les deux leaders, évoluant rapidement vers une séance de travail regroupant des membres éminents du Collège de l’ARS et des cadres de l’Institution. Le Dr Lucien Dossou-Gbété a exprimé sa satisfaction quant à l’envergure prise par cette collaboration, soulignant la responsabilité politique de l’ARS et l’impératif d’une collaboration sans faille. En réponse, le Dr Jean Kouamé Konan a salué l’excellence du travail de l’ARS, adoptant une approche pragmatique pour renforcer cette coopération.

Les attentes de l’ARS pour l’année 2024 ont été scrupuleusement examinées au cours de cette séance. Elles englobent l’amélioration continue de la qualité des soins, la rédaction du rapport annuel sur l’état du secteur de la santé, l’établissement d’une carte sanitaire nationale, le développement de la santé numérique avec un accent particulier sur la régulation, et la mise en œuvre de l’assurance maladie obligatoire. La question cruciale des ressources humaines qualifiées en santé a également été au cœur des discussions.

L’OMS a réaffirmé son engagement indéfectible à soutenir l’ARS dans sa mission. Le Dr Jean Kouamé Konan a encouragé l’ARS à s’inspirer des avancées du secteur privé de la santé tout en préservant les acquis. Des contributions tangibles ont été apportées, notamment la promesse de partager le modèle de rapport annuel sur l’état de la santé pour la Région Africaine.

Convaincu de la qualité des compétences au sein de l’ARS et de leur détermination, le Représentant Pays de l’OMS par intérim s’est engagé à mobiliser l’ensemble des Partenaires Techniques et Financiers en faveur de l’Instance de Régulation. Cette étape marque un progrès significatif vers un partenariat prometteur entre l’ARS et l’OMS, dédié à l’amélioration continue et durable du secteur de la santé.

 

Réforme électorale imminente : La Cour constitutionnelle ordonne la révision du code

La Cour constitutionnelle a examiné avec attention, le jeudi 4 janvier 2024, un recours portant sur des dysfonctionnements institutionnels liés aux parrainages pour l’élection présidentielle de 2026. Dans sa décision, la haute juridiction a préconisé des modifications essentielles au code électoral pour garantir l’équité et la conformité aux dispositions constitutionnelles.

Le requérant, Codjo Gbeho, a mis en lumière une incohérence temporelle entre les élections législatives et communales, les installations des élus, et le dépôt des candidatures présidentielles. Il a souligné que cette situation pouvait entraîner une rupture d’égalité devant la loi, principalement en ce qui concerne les délais impartis pour les parrainages.

Selon les articles 44 et 132 de la Constitution et du Code électoral, le requérant a argué que les députés en mesure de parrainer les candidats à la présidentielle 2026 seraient ceux de la 9è législature, dont les mandats sont politiquement échus. Cette situation créerait une période de 72 heures entre la délivrance des parrainages et l’installation des nouveaux élus.

En réponse à ces préoccupations, le président de l’Assemblée nationale, le président de la République et le président de la CENA ont concédé la validité des difficultés soulevées par le requérant, appelant la Cour à intervenir pour assurer le bon fonctionnement du processus électoral.

Le conseiller rapporteur de la Cour, le professeur Dorothée Sossa, a recommandé à la Cour de rejeter le recours, soulignant que le pouvoir régulateur de la Cour ne pouvait être sollicité que par un membre d’une institution de la République. Toutefois, il a suggéré à la Cour de se prononcer d’office sur la situation, appelant l’Assemblée nationale à ajuster le code électoral pour garantir le droit de tous les maires à parrainer les candidats et pour aligner les dispositions du code avec la Constitution.

Dans sa décision, la Cour a suivi les recommandations du conseiller-rapporteur, ordonnant la modification de certaines dispositions du code électoral. La responsabilité de cette révision incombe désormais au Parlement, qui devra veiller à garantir la cohérence et la conformité des lois électorales avec la Constitution.

Cette décision marque une étape significative vers la préservation de l’équité et de la légitimité du processus électoral en vue de l’élection présidentielle de 2026.

 

Cap sur 2024 : Les Axes Stratégiques de la Loi des Finances

Dans une annonce radiodiffusée captivante sur les ondes de la Radio nationale le mercredi 3 janvier 2024, Monsieur Nicolas Yenoussi, directeur général des impôts, a levé le voile sur les contours stimulants de la loi des finances 2024, promettant une année exempte de nouveaux fardeaux fiscaux pour les entreprises.

L’annonce phare de cette déclaration réside dans la confirmation qu’aucun impôt additionnel ni augmentation des taxes n’est prévu pour l’année en cours. Une orientation stratégique, selon M. Yenoussi, visant à intégrer les entreprises évoluant dans l’ombre des services fiscaux et à élargir l’assiette fiscale. De manière précise, la loi n’envisage pas seulement l’absence de nouvelles charges, mais elle exonère également les entreprises informelles des amendes et pénalités. Les propriétaires fonciers, confrontés à des arriérés d’impôts, ont également la possibilité de bénéficier de dispenses s’ils s’acquittent de leurs obligations tout au long de l’année.

Une avancée significative dans cette législation réside dans l’élimination des démarches administratives fastidieuses pour les petites et moyennes entreprises n’incluant ni dans le Code des investissements ni dans un régime dérogatoire.

Les mesures d’encouragement aux importations d’équipements destinés aux usines ou aux unités de production, sans droits de douane ni TVA, demeurent un élément majeur reconduit par la loi des finances 2024.

Le secteur agricole, quant à lui, est le bénéficiaire privilégié avec des mesures d’exonération considérables, surpassant celles de la législation antérieure. Importation, production ou vente d’herbicides, de machines agricoles, d’unités de transformation et de conservation des produits agricoles sont parmi les activités exemptées de taxes.

La loi des finances 2024 s’étend également à toutes les filières, incluant les véhicules neufs à quatre roues importés, fabriqués ou vendus à l’état neuf. Concernant les voitures d’occasion, une taxe minimale est désormais instituée pour les revendeurs, selon les clarifications du DG impôts.

En synthèse , cette déclaration du directeur général des impôts ouvre les portes d’une année fiscale novatrice, propice au développement des entreprises et à la croissance économique. La loi des finances 2024 s’impose comme une feuille de route audacieuse, offrant des opportunités et des exonérations stratégiques pour stimuler l’économie nationale.

Les Démocrates appellent à l’unité nationale face aux enjeux constitutionnels

Le parti « Les Démocrates » prend la parole avec fermeté mais également avec un appel à l’unité, face aux récentes discussions autour de la révision constitutionnelle. À travers une déclaration de presse dirigée par le Secrétaire à la Communication, Guy Mitokpè, le parti exprime ses préoccupations tout en invitant à un dialogue constructif pour le bien de la nation.

Déclaration de presse

Unité et Dialogue : Les Démocrates face aux défis constitutionnels

3 janvier 2024 – Cotonou

Chères concitoyennes, chers concitoyens,

Le parti « Les Démocrates » souhaite partager ses réflexions sur les événements récents liés aux discussions sur une possible révision de la Constitution. À l’heure où le pays est confronté à des enjeux majeurs, le parti souhaite élever le débat et appelle à l’unité nationale.

La réunion du 22 décembre 2023, rassemblant les Présidents des Institutions de la République, a suscité des interrogations légitimes au sein de notre parti. Nous sommes préoccupés par la nécessité d’assurer la stabilité politique et la préservation de nos principes démocratiques.

Les déclarations faites lors de cette rencontre, notamment celles de Monsieur Louis Vlavonou, ont engendré des inquiétudes compréhensibles au sein de notre communauté. Cependant, plutôt que de céder à la polarisation, « Les Démocrates » appellent à un dialogue ouvert et inclusif pour surmonter ces défis.

Le terme « Assemblée Constituante » doit être compris avec prudence, étant donné sa charge historique et juridique. Il est impératif d’éviter toute manipulation des institutions et de garantir un processus démocratique transparent. « Les Démocrates » plaident en faveur d’un débat national constructif, où toutes les voix sont entendues.

Le Président du parti, le Dr Boni YAYI, a clairement exprimé l’opposition du parti à une révision opportuniste de la Constitution. Cependant, il souligne également la nécessité d’un dialogue politique national pour répondre aux préoccupations de tous les Béninois.

« Les Démocrates » réaffirment leur engagement envers la démocratie, l’état de droit et l’indépendance des institutions. Notre parti s’engage à travailler pour le bien-être de notre nation et à défendre les aspirations profondes de notre peuple.

En conclusion, « Les Démocrates » appellent à l’unité nationale, à la préservation des principes démocratiques et à un dialogue inclusif pour faire face aux enjeux constitutionnels. La stabilité et l’avenir du Bénin dépendent de notre capacité à travailler ensemble dans un esprit de compréhension mutuelle.

Pour le Parti,

Le Secrétaire National à la Communication,

Dr. Guy Dossou MITOKPE

L’ANM au Bénin Sévit contre les Stations aux Instruments Défaillants

l’agence nationale de normalisation, de métrologie et du contrôle qualité (ANM) au Bénin a récemment scellé quatre stations en raison d’irrégularités détectées au niveau de leurs instruments de mesure. Ces mesures draconiennes, prises par l’ANM, visent à assurer la précision et la fiabilité des mesures effectuées dans ces stations. Il est à noter que les promoteurs des stations en question ont été sommés de comparaître devant un comité de l’ANM afin d’examiner en détail les irrégularités constatées.

Cette décision de fermeture s’inscrit dans la continuité des actions de l’ANM, qui a pour mandat de mettre en œuvre et de surveiller la politique nationale de normalisation, de métrologie, de certification, de vérification des produits, et de promotion de la qualité. L’agence s’attache à ce que les instruments de mesure utilisés respectent scrupuleusement les normes et les exigences de qualité en vigueur.

Cette mesure réaffirme l’importance capitale accordée par l’ANM à la fiabilité des mesures dans les stations visées. En assurant la conformité des instruments de mesure aux normes établies, l’ANM participe activement à la protection des consommateurs et à l’instauration d’une confiance solide dans les transactions commerciales.

Par ailleurs, les responsables des stations scellées doivent travailler de manière proactive avec l’ANM afin de résoudre les problèmes liés aux irrégularités signalées. Assurer la conformité des instruments de mesure est crucial pour garantir l’équité et la transparence dans les transactions commerciales, ainsi que pour maintenir la qualité irréprochable des produits et services offerts aux consommateurs.

Indubitablement, l’ANM persévérera dans sa vigilance, surveillant étroitement la conformité des instruments de mesure à l’échelle nationale. Cette démarche incisive témoigne de l’engagement soutenu du gouvernement du Président Patrice TALON envers le maintien de normes élevées de qualité et de fiabilité dans tous les secteurs, réaffirmant ainsi son attachement à une gouvernance rigoureuse et axée sur l’excellence.

Tony O. Elumelu en visite au Bénin pour fortifier les liens et ambitionner l’essor de UBA

La journée du mercredi a marqué une rencontre significative entre le président de la République, Patrice Talon, et le président du conseil d’administration du Groupe UBA et du Groupe Transcorp, M. Tony O. Elumelu, en visite d’amitié et d’affaires au Bénin. Cette visite stratégique de 24 heures a été orchestrée pour consolider les relations d’affaires entre le Bénin et le Groupe Transcorp, tout en explorant le potentiel de faire de UBA Bénin la banque prééminente du pays.

SEM .Partice TALON /M.Tony Elumelu/ P.D Mme Claudine Talon/ Photo: La présidence

Elumelu a débuté sa journée par des rencontres à la Fondation Claudine Talon, suivies d’entretiens approfondis avec le chef de l’État à son domicile. Des échanges constructifs avec les membres du Conseil d’administration de UBA Bénin ont également enrichi le programme chargé de M. Elumelu lors de sa visite à Cotonou.

Le Groupe Transcorp, partenaire de choix du Bénin dans le secteur de l’énergie électrique, a été au cœur des discussions, soulignant l’importance cruciale de cette collaboration. M. Elumelu, devant la presse, a salué les liens privilégiés avec la Fondation Claudine Talon et a exprimé sa reconnaissance envers les clients et les parties prenantes de UBA Bénin pour leur soutien constant.

 

Lors de son intervention, M. Elumelu a partagé les avancées notables de la filiale béninoise, avec une augmentation des revenus de 28% l’année précédente. Il a souligné l’appui de la banque au programme d’action du gouvernement et a annoncé des perspectives ambitieuses pour l’avenir, affirmant la volonté de faire de UBA la banque incontournable pour tous les Béninois.

M. Tony O. Elumelu à la Banque UBA

En signe d’engagement concret, le président du conseil d’administration a dévoilé la création prochaine d’un siège au Bénin pour la filiale de UBA, renforçant ainsi la présence du groupe dans le pays. M. Elumelu a conclu son adresse aux médias en revenant sur les réussites de la Fondation Tony Elumelu au Bénin, rendant hommage à l’agence gouvernementale Sèmè-City pour son rôle essentiel dans le succès du programme TEF.

De Cotonou, M. Tony Elumelu a lancé un appel inspirant aux entrepreneurs africains, les encourageant à la persévérance, la discipline et l’épargne pour bâtir un avenir prospère. Il a souligné que le succès de l’Afrique repose entre leurs mains, appelant les jeunes entrepreneurs à saisir les nombreuses opportunités offertes par le pays.

Bénin: Le rejet historique de la Loi d’Amnistie à l’Assemblée Nationale

 Cette journée mémorable du 3 janvier 2024, l’histoire politique du Bénin s’est façonnée par le refus retentissant de la proposition de loi spéciale d’amnistie, déposée avec ferveur par les éminents députés du parti Les Démocrates. Lors d’une séance empreinte de tension, la commission des lois de l’Assemblée nationale a opposé un refus catégorique à cette initiative visant à octroyer l’amnistie aux personnalités détenues et à faciliter le retour des concitoyens exilés, scellant ainsi un verdict sans appel de 17 voix contre, contre seulement 6 voix en faveur.

Désormais, tous les regards convergent vers la plénière, où le destin de cette proposition controversée repose sur un fil ténu. Des sources bien informées suggèrent que les éminents membres du parti Les Démocrates, faisant face à ce revers, prévoient une réaction substantielle, ajoutant une dimension de suspense à ce récit politique.

En refusant avec vigueur la loi d’amnistie, les députés de la majorité présidentielle se rangent derrière le président Patrice Talon. Celui-ci, lors de récentes interventions médiatiques, a exprimé sans équivoque son opposition à toute idée d’amnistie, soulignant l’impossibilité de sélectionner arbitrairement des individus pour bénéficier d’une telle mesure.

Des interrogations émergent quant au rôle du président dans cette décision parlementaire. Les propos intransigeants de Patrice Talon lors d’une récente interview télévisée, affirmant qu’une telle loi ne pourrait être entérinée même par un Parlement entièrement démocrate, alimentent les spéculations sur d’éventuelles instructions données aux élus de la mouvance présidentielle.

La proposition de loi, exposée avec minutie par le député Nourénou Atchadé, président du groupe parlementaire Les Démocrates, se divise en deux volets majeurs. Le premier vise l’amnistie des personnalités politiques incarcérées, des détenus politiques, ainsi que ceux bénéficiant d’une liberté provisoire. Le second volet concerne l’amnistie ou l’abandon des poursuites judiciaires à l’encontre des personnalités politiques en exil.

L’appel des Démocrates à un soutien général de la société civile et des institutions se heurte brutalement au rejet massif de la proposition par la majorité parlementaire. Les prochains mois s’annoncent cruciaux pour déterminer la posture des députés de l’opposition et les répercussions politiques de cette décision inédite.

L’Éclatante Ascension Économique du Bénin: Un Mirifique Cap en 2024

Dans un panorama mondial instable, le Bénin se profile comme un phare d’espoir économique, anticipant une croissance exceptionnelle de 6,3% en 2024, transcendant les contours de l’ordinaire. Les projections du Fonds Monétaire International (FMI) évoquent une résilience économique éblouissante, hissant le pays d’une croissance de 5,5% en 2023 à des sommets inégalés.

Avec un PIB par habitant de 1 149 milliards de dollars en 2023, le Bénin se forge en véritable éclaireur au sein de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), s’inscrivant juste derrière la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

La maîtrise de l’inflation se dévoile comme une prouesse, visant une moyenne annuelle de 2,5% en 2024, dévoilant une gouvernance économique éclairée au milieu d’une moyenne inquiétante de 7% en Afrique subsaharienne.

Les indicateurs budgétaires révèlent une assise financière solide. Le solde budgétaire global (dons compris) se projette à 2,9%, surpassant avec élégance la moyenne régionale de 3,9%. De surcroît, le solde extérieur courant (dons compris) se dessine à -5,7%, dénotant une approche équilibrée et judicieuse face aux caprices économiques mondiaux.

La gestion responsable de l’endettement place le Bénin en éclatante lumière, avec un taux de dette publique totale de 52,4%, captivant les regards dans un panorama régional où la moyenne atteint 61,7%.

Ces prouesses découlent d’une politique visionnaire, inscrite dans des grands travaux et des investissements stratégiques. La zone industrielle de Glo-Djigbé, à 45 kilomètres de Cotonou, surgit comme l’apothéose de cette vision, destinée à couronner la transformation industrielle locale des produits agricoles et à catalyser des investissements majeurs dans le secteur hôtelier, selon les éclairages de Jeune Afrique.   

Le Bénin, porté par cette quête d’excellence, éclaire l’Afrique de l’Ouest d’une aura économique singulière, s’érigeant en 2024 comme une étoile resplendissante au firmament du progrès.

 

Bénin : Les Ambitions Raffinées de l’UP-R Sous la Loupe de Joseph Djogbenou

Dans un discours empreint de solennité et d’anticipation, Joseph Fifamè Djogbenou, éminence grise et président éclairé de l’Union Progressiste le Renouveau (UP-R), a révélé les contours stratégiques et les défis imminents qui émailleront le parcours du parti au cours de cette nouvelle année.

Au cœur de ses propos, le président Djogbenou a inscrit en tête des priorités l’impératif irréfragable d’achever le processus d’installation exhaustif des structures internes de l’UP-R. Cet édifice organisationnel, selon l’éminent leader politique, constitue la clé maîtresse pour entamer un dialogue politique éclairé avec les citoyens, offrant ainsi une plateforme propice à une participation démocratique accrue au sein du parti.

Parallèlement, dans une conjoncture nationale, régionale, et internationale d’une intricacité palpable, l’UP-R, sous la gouvernance perspicace de l’ancien président de la Cour Constitutionnelle, annonce son engagement à renforcer sa collaboration avec le gouvernement. Cette collaboration, empreinte d’une volonté palpable de contribuer de manière significative à la résolution des problèmes persistants, révèle un parti investi d’une responsabilité sociale et politique manifeste.

À moins de trois années des élections générales de 2026, Joseph Djogbenou met en lumière les défis substantiels qui attendent l’UP-R. Avec une représentation substantielle de 53 députés à l’Assemblée nationale, le parti, loin de se reposer sur ses lauriers, intensifie sa vigilance interne, consolidant ainsi ses fondations et affirmant sa détermination à préserver son empreinte politique.

L’année écoulée, selon le président Djogbenou, a redonné vie à l’enthousiasme et au courage des membres de l’UP-R, les incitant à défendre avec zèle les principes fondateurs du parti ainsi que les actions gouvernementales. Dans cette dynamique, l’UP-R s’affirme comme une force politique indomptable, prête à relever avec conviction les défis électoraux à venir, consolidant ainsi son engagement à maintenir une prédominance inébranlable sur l’échiquier politique béninois.