Dialogue de Cotonou : L’avenir de la Jeunesse en concertation

Au cœur de la capitale béninoise, le Palais des Congrès de Cotonou s’est mué en un véritable carrefour d’idées et d’ambitions. Sous l’égide du Ministre d’État, Monsieur Abdoulaye BIO TCHANÉ, le Premier Dialogue Mondial de la Jeunesse a été inauguré, marquant ainsi le début d’une ère nouvelle dans la concertation globale sur les enjeux de population et de développement.

Le Premier Dialogue Mondial de la Jeunesse a été inauguré, marquant ainsi le début d’une ère nouvelle dans la concertation globaleLa Vision de la nouvelle génération : Un manifeste pour l’avenir de la Jeunesse

Des jeunes délégués de 130 nations, venant des quatre coins du globe, ont représenté une vision commune pour un avenir plus équitable. Ces représentants, porteurs d’espoir et d’ambition, ont uni leurs forces et leurs idées dans le but de façonner un monde où l’équité serait la norme. Leur collaboration symbolise un pas en avant vers la réalisation d’une société globale fondée sur la justice et l’égalité des chances pour tous.

Leur manifeste, articulé autour du thème central « La vision de la nouvelle génération sur la population et le développement », a résonné comme un appel à une prise en compte accrue de leurs aspirations par les sphères décisionnelles internationales.

Les échanges, d’une richesse incontestable, ont vu la participation active de mille jeunes. Ils ont abordé avec perspicacité des thématiques cruciales telles que la santé sexuelle et reproductive, l’éducation, et les défis posés par les changements climatiques, esquissant ainsi les contours d’une société plus inclusive.

Une reconnaissance unanime pour une initiative louable

La cérémonie de clôture a été l’occasion pour les jeunes de témoigner leur gratitude envers l’UNFPA et le Gouvernement du Bénin. Cette plateforme d’échange, saluée comme un espace privilégié, élabore des recommandations stratégiques pour guider les leaders mondiaux vers une meilleure prise en compte des jeunes dans l’élaboration des politiques publiques.

Le Professeur Fatou SOW SARR, représentant de la CEDEAO, a souligné l’importance de ces dialogues comme moyen pour les gouvernants de répondre aux préoccupations de la jeunesse. Dr Natalia KANEM, Directrice Exécutive de l’UNFPA, a quant à elle exprimé son enthousiasme face à l’engagement des jeunes pour leur futur et celui de la planète.

En conclusion, Monsieur Yacoubou AMADOU, prenant la parole au nom du Ministre d’État, a garanti l’écoute des voix des jeunes et l’intégration de leurs recommandations dans les prochaines discussions. Il a réitéré l’engagement du Bénin à soutenir les initiatives en faveur de la jeunesse, affirmant que les résultats prometteurs de ce dialogue sont le présage d’un avenir radieux, empreint de confiance, de patriotisme et d’espoir.

 

Dialogue: Les jeunes du Bénin et l’ONU œuvrent pour les ODD

Cotonou, 5 avril 2024 – Une rencontre sans précédent s’est tenue aujourd’hui entre les organisations de jeunesse du Bénin et Felipe Paullier, Sous-Secrétaire Général des Nations Unies pour la jeunesse. Cette session hybride, répartie entre les bureaux de l’UNICEF à Cotonou, Parakou et Natitingou, a permis à de nombreux jeunes de faire entendre leur voix et de discuter des moyens de renforcer leur engagement dans la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD) au Bénin.

Rencontre entre jeunes leaders béninois et l'ONU pour dynamiser l'engagement envers les Objectifs de Développement Durable.

En effet, Felipe Paullier a souligné l’importance de la jeunesse dans l’agenda mondial : “Nous avons le rôle de plaider la cause de la jeunesse et de s’assurer que leurs questions ont un écho  au plus haut niveau.” Il a annoncé le lancement imminent d’une lettre ouverte pour recueillir les préoccupations des jeunes et les porter au sommet du futur en cours d’organisation.

Nancylie Gbaguidi, membre actif de la communauté UReport Bénin, a appelé à une plus grande inclusion des personnes handicapées et des minorités sexuelles dans les programmes d’actions de l’ONU. “Il est essentiel d’offrir aux jeunes des opportunités de renforcement de capacités et d’emploi, sans discrimination”, a-t-elle déclaré.

Rencontre entre jeunes leaders béninois et l'ONU pour dynamiser l'engagement envers les Objectifs de Développement Durable.

Toko Chabi Kifayath, un autre jeune leader, a insisté sur l’amélioration du mécanisme de redevabilité de l’ONU et des engagements pris par le gouvernement béninois. “Cela permettra aux organisations de jeunes de mieux suivre ces engagements et de les faire respecter grâce à des actions de plaidoyer efficaces”, a-t-il ajouté.

En somme, cette rencontre marque un tournant dans l’implication des jeunes dans les politiques de développement durable au Bénin et ouvre la voie à un dialogue continu et constructif entre les jeunes et les décideurs mondiaux.

 

Un nouvel horizon pour les droits des enfants agropastoraux

Cotonou, 5 avril 2024 – Dans un engagement historique pour les droits des enfants au Bénin, Mahonde Djanabou, Représentante de l’UNICEF Bénin, et Dr Adamou MAMA SAMBO, Haut-Commissaire à la Sédentarisation des Éleveurs, ont signé un accord crucial le 5 avril 2024. Cette collaboration marque le début d’une ère nouvelle dans le cadre du programme de coopération Bénin – UNICEF pour la période 2024-2026.

En effet , l’accord signé vise à unir les forces de l’UNICEF et du Haut-Commissariat à la Sédentarisation des Éleveurs pour assurer la protection et la promotion des droits des enfants au sein des communautés agropastorales, souvent parmi les plus vulnérables. L’initiative mettra un accent particulier sur l’éducation, la santé, et la protection sociale, en s’assurant que les enfants de ces communautés aient accès aux services de base.

Accord Bénin-UNICEF : Engagement conjoint pour les droits et le développement des enfants des communautés agropastorales.

Mahonde Djanabou a exprimé son optimisme quant à l’impact de cette collaboration : “Cet accord représente un pas significatif vers la garantie d’un avenir meilleur pour les enfants du Bénin, en particulier ceux issus des communautés agropastorales. Ensemble, nous pouvons faire une différence tangible dans leurs vies.”

Dr Adamou MAMA SAMBO a souligné l’importance de l’accord pour les communautés éleveurs : “La sédentarisation des éleveurs est un processus complexe qui nécessite une approche holistique. En collaborant avec l’UNICEF, nous pouvons mieux adresser les besoins spécifiques des enfants et de leurs familles, leur offrant ainsi de réelles opportunités de développement.”

La signature de cet accord est le fruit de longues discussions et reflète l’engagement des deux parties à travailler main dans la main pour le bien-être des enfants. Avec la mise en œuvre de ce programme, le Bénin et l’UNICEF espèrent établir un modèle de coopération qui pourra être reproduit dans d’autres régions du pays et au-delà.

Élan pour l’Égalité : L’Initiative CARE pour les Femmes en Politique

Dans l’écrin verdoyant de la préfecture de Bas-mono, une cérémonie d’une portée symbolique et pragmatique s’est tenue ce mercredi 27 mars 2024. CARE Bénin/Togo, en synergie avec ses partenaires, a inauguré une série de programmes de coaching destinés aux jeunes femmes aspirant à des carrières politiques. Cette initiative a coïncidé avec la célébration de la Journée Internationale des droits de la Femme, sous un thème évocateur : ‘Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme’.

L'initiative CARE au Togo vise l'autonomisation politique des femmes, offrant un coaching aux participations décisionnelles accrues.Une assemblée de dignitaires pour une cause noble

En effet, l’événement a rassemblé un aréopage de personnalités : autorités locales, figures de l’action sociale, représentants de l’Union européenne, et bien sûr, la population des localités concernées par le projet. Un tableau vivant de l’engagement collectif pour l’avancement des droits féminins.

En outre, les programmes proposés offrent un double avantage : une formation en leadership et un suivi personnalisé. Ils s’inscrivent dans le cadre plus large du Projet de Promotion et de Protection des Droits et Égalités de Genre au Togo, touchant les régions de la Maritime et de la Kara. Les préfectures de Vo, Bas-mono, Assoli et Binah se trouvent ainsi au cœur d’une transformation sociétale.

L'initiative CARE au Togo vise l'autonomisation politique des femmes, offrant un coaching aux participations décisionnelles accrues.CARE propose des parcours personnalisés pour des ambitions politiques

Par ailleurs , l’originalité de ces coachings réside dans leur approche sur-mesure. Les aspirantes, guidées par des coaches aguerries, élaboreront un plan de développement personnel fondé sur leurs aspirations spécifiques. Marielle DEGBOE, coordinatrice du Programme Genre et Justice Économique de CARE Bénin & Togo, souligne l’importance d’un accompagnement adapté à chaque parcours.

Les coaches, préalablement formées, se préparent à soutenir les aspirantes, certaines d’entre elles se lançant déjà dans la course aux prochaines élections législatives. Anayo Amivi, secrétaire générale de la commune Vo 4 et coach du programme, témoigne de l’impact positif du message de CARE sur son engagement.

Un fonds pour la visibilité des femmes en politique

Pour couronner ces efforts, le projet PPDE a établi un fonds dédié à la promotion d’une dizaine de femmes aspirantes-coaches, renforçant ainsi leur présence sur la scène politique.

En somme , L’objectif ultime du projet PPDE est de promouvoir l’équité et l’égalité de genre, l’autonomisation des femmes et leur participation effective à tous les niveaux du développement du Togo. Un partenariat étendu avec des ONG locales et internationales témoigne de l’ampleur et de la détermination derrière cette ambition.

Renforcement des liens sanitaires entre le Bénin et le Canada

 La coopération sanitaire entre le Bénin et le Canada connaît une impulsion remarquable, témoignant d’une résolution commune à propulser les indicateurs de santé vers de nouveaux sommets. Lors d’une visite officielle au Bénin, l’éminent Ministre du Développement International du Canada, l’Honorable Ahmed HUSSEN, a tenu des pourparlers le 2 avril 2024 avec le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, éminent chef du département de la santé béninois.

Une Réforme salutaire dans les domaines de la santé

En effet, le secteur de la santé béninois, engagé dans un processus de réformes transformatrices, vise à révolutionner l’expérience sanitaire des citoyens. En compagnie de l’Honorable HUSSEN, le Ministre HOUNKPATIN a dévoilé les contours d’une stratégie de développement sanitaire ambitieuse.

Ensemble, ils ont exploré des domaines de coopération stratégique, notamment la résilience climatique et l’amélioration des soins de santé primaires, tout en mettant l’accent sur la gouvernance et le développement des ressources humaines, notamment par l’établissement de centres de simulation.

Ces échanges prometteurs entre les deux dignitaires ouvrent la voie à des avancées significatives dans le partenariat entre les deux nations.

Un Engagement multisectoriel

Avant cette rencontre au sommet, le Ministre HUSSEN a visité le Centre Intégré de prise en charge des victimes de violences basées sur le genre (CIPEC-VBG) du CHUMEL, où il a pu constater les progrès accomplis dans l’offre d’une prise en charge holistique des victimes. Cette initiative s’inscrit dans une démarche multisectorielle visant à apporter une réponse globale à ce fléau contemporain.

En outre, lors d’une visite guidée du CIPEC-VBG, diverses personnalités, dont le Directeur de Cabinet du Ministre de la santé, l’Ambassadrice du Canada, et la Représentante résidente de l’UNICEF, ont salué l’excellence du travail réalisé, soulignant l’importance cruciale de cette institution et la nécessité d’un soutien conséquent pour accomplir sa noble mission.

La session de travail a également mis en lumière les performances des antennes départementales du CIPEC-VBG, avec un consensus sur l’urgence d’étendre la prise en charge à l’échelle nationale, garantissant ainsi une égalité des chances pour toutes les victimes et une amélioration des performances sanitaires du Bénin.

 

Innovation médical : Un scanner avancé pour l’Ouémé

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Conseil des Ministres de la République s’est réuni ce mercredi 3 avril 2024, sous l’égide du Président Patrice TALON. L’ordre du jour était marqué par un engagement fort pour la santé publique : l’acquisition d’un scanner de pointe pour le Centre hospitalier départemental de l’Ouémé à Porto-Novo.

Cet équipement, un scanner 64 barrettes/128 coupes avec option cardio, représente une pierre angulaire dans la politique de modernisation des infrastructures médicales nationales. Après l’installation d’unités similaires au Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou MAGA et au Centre hospitalier universitaire départemental du Borgou, c’est au tour de l’Ouémé de bénéficier de cette technologie avancée.

La présence de ce scanner augmentera considérablement les capacités diagnostiques de l’établissement, permettant une identification plus précise et rapide des pathologies complexes. Les patients de la région, qui jusqu’à présent enduraient des démarches fastidieuses pour de tels diagnostics, verront leur parcours de soins grandement facilité.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté gouvernementale de réduire les inégalités d’accès aux soins de haute technicité. Par ailleurs, Le ministre de la Santé doit veiller à l’exécution rigoureuse et dans les délais impartis de cette contractualisation essentielle.

La population de l’Ouémé envisage désormais l’avenir avec sérénité, car elle sait que son centre hospitalier dispose des équipements nécessaires pour relever les défis médicaux de demain. C’est un pas de plus vers un système de santé robuste et équitable, garant de la dignité humaine et du droit à la santé pour tous.

L’Aube d’une ère agricole: Le plan quinquennal du Bénin

Dans l’enceinte solennelle du Conseil des Ministres, un air de renouveau souffle sur les aspirations agricoles de la nation. Le mercredi 3 avril 2024, le Président Patrice TALON a adopté un plan d’envergure qui promet de redéfinir le paysage agraire avec une vision stratégique s’étendant jusqu’en 2025.

En effet, Le Plan National d’Investissements Agricoles et de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle 2022-2025 se présente comme le phare guidant les actions à moyen terme. Avec une première phase couronnée de succès, l’heure est à la concrétisation de la seconde phase, fruit d’un processus méticuleux et d’une validation unanime des acteurs du secteur le 22 mars 2024.

Par ailleurs , Un dispositif de suivi-évaluation robuste soutient ce plan ambitieux, impliquant la synergie des acteurs publics et privés. Il vise à assurer un suivi rigoureux des progrès, permettant des ajustements stratégiques pour maximiser l’impact sur la population. La collecte et l’analyse de données nourriront les revues de performances et les sessions du Conseil National d’Orientation et de Suivi, assurant ainsi une transparence et une responsabilité accrues.

Les ministres concernés reçoivent mandat de veiller à l’application stricte de ce plan, gage d’un avenir prospère pour le secteur agricole, pilier de la sécurité alimentaire et du bien-être des citoyens.

Avec cette initiative, le gouvernement réaffirme son engagement envers une agriculture durable et performante, essentielle à la réalisation des objectifs de développement durable et à l’épanouissement de la nation.

Célébration du 30ème anniversaire de la CIPD

 Dans l’écrin prestigieux du Palais de la Marina, le Président Patrice TALON a accueilli avec déférence Madame Natalia KANEM, éminente Directrice Exécutive de l’UNFPA. Cette audience solennelle du 04 avril 2024 s’inscrit dans le cadre du Dialogue mondial des jeunes, un événement d’envergure internationale.

le Président Patrice TALON a accueilli avec déférence Madame Natalia KANEM, éminente Directrice Exécutive de l’UNFPAÀ l’issue de cette rencontre au sommet, Dr KANEM a exprimé sa gratitude envers le Chef de l’État pour son hospitalité et son soutien indéfectible à l’organisation de ce symposium mondial. Elle a également souligné l’exemplarité du Bénin dans la promotion de l’égalité des sexes, une pierre angulaire pour l’édification d’un avenir prospère.

Sous l’égide du Ministre d’État Abdoulaye BIO TCHANÉ, le gouvernement a accueilli la délégation de l’UNFPA dans ses hautes sphères. Cette démarche illustre l’engagement du Bénin à forger un partenariat durable avec la jeunesse, considérée comme le fer de lance du développement et de la paix.

En somme, L’année 2024 marque un jalon historique avec le 30ème anniversaire de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement. Cotonou devient ainsi le carrefour où des centaines de jeunes, venus de divers horizons, convergent pour réaffirmer leur rôle crucial en tant que partenaires et acteurs du changement dans le cadre du programme d’action de la CIPD.

 

Bénin : L’ère de la surveillance avancée

Dans une démarche résolue vers la modernisation de la sécurité publique, le Bénin a entamé l’installation de systèmes de vidéo-surveillance dans ses cités urbaines. Cette initiative, dictée par un décret gouvernemental établi en 2017, vise à endiguer les vagues de criminalité ciblant principalement les institutions administratives et les entreprises.

Le 16 février 2022, le Conseil des ministres a confirmé l’adoption de cette technologie avancée. Le système, qui s’étend aux espaces publics et aux infrastructures étatiques, est conçu pour la capture, le stockage et l’analyse d’images. Les citoyens perçoivent ce pas de géant vers une surveillance accrue comme un gage de tranquillité et considèrent cela comme un outil dissuasif contre le banditisme.

Le décret régissant la mise en œuvre de la vidéo-surveillance stipule clairement son application : un réseau de caméras déployé dans les lieux publics et les édifices d’importance, sous l’égide de l’État et des collectivités locales. Ce cadre légal assure une collecte et un traitement des données dans le respect des libertés individuelles, tout en fortifiant la sécurité collective.

En somme, le Bénin s’arme d’une technologie de pointe pour préserver l’ordre public et anticiper les menaces futures, marquant ainsi son entrée dans une nouvelle ère de vigilance proactive.

Initiative sanitaire 2024 : Vers une distribution équitable des soins

Dans une démarche résolue vers l’amélioration des services de santé publique, le Conseil des Ministres, présidé par Monsieur Patrice TALON, a annoncé une initiative audacieuse le mercredi 3 avril 2024. Cette initiative vise à pallier le déficit de personnel dans les formations sanitaires publiques par le recrutement de sept cent-quatre-vingt-seize (796) agents contractuels de droit public.

Un engagement continu pour la santé publique

Dans le cadre du Programme d’Action du Gouvernement 2021-2026, l’État avait déjà prévu le recrutement de 3.000 agents au sein du ministère de la Santé. Par ailleurs, le gouvernement  a consenti un effort particulier en mettant en place un recrutement spécial de 1.600 agents, ce qui a permis l’intégration de 1.331 professionnels de santé, y compris 234 médecins ainsi que 588 infirmiers et sages-femmes. Cette initiative a significativement renforcé les capacités du secteur de la santé, en augmentant le nombre de professionnels disponibles pour fournir des soins de qualité à la population.

Une réponse aux inégalités de répartition dans le domaine sanitaire

Malgré ces efforts, une iniquité dans la répartition des agents de santé persiste, entraînant une couverture insuffisante dans certaines communes. Pour remédier à cette situation, le Conseil a opté pour une stratégie innovante : le recrutement d’agents contractuels de droit public des collectivités territoriales décentralisées dès 2024.

Une stratégie de proximité dans le  domaine sanitaire

Ces agents, par leur statut, seront rattachés aux communes de leur recrutement, assurant ainsi une meilleure répartition des ressources humaines et une stabilité accrue du personnel dans les postes assignés. Cette mesure est une garantie de la couverture adéquate des besoins locaux en matière de santé.

Vers une Mise en Œuvre Rigoureuse

Le Conseil a instruit les ministres concernés de veiller à l’organisation méticuleuse de ce recrutement. L’année 2024 marquera donc le début de cette nouvelle phase cruciale pour le renforcement des capacités des formations sanitaires publiques, avec l’espoir d’une amélioration tangible de l’accès aux soins pour tous les citoyens.