L’ascension de Gérard Sina : de beignets à empire au Rwanda

Nyangarama, Rwanda – C’est une histoire de détermination et de succès qui se raconte à Nyiangarama, où un groupe de jeunes leaders dynamiques a récemment eu l’honneur de rencontrer Gérard Sina, le PDG de Sina Gerard/Ese Urwibutso, une entreprise phare de l’industrie agroalimentaire rwandaise.

Aujourd’hui, Gérard Sina est à la tête d’un empire agroalimentaire qui non seulement emploie directement plus de 1500 personnes,

Devant son usine de jus, une Peugeot 207 symbolise les humbles débuts de l’entrepreneur. Cette voiture, témoin de ses premiers jours en tant que vendeur de beignets, occupe une place de choix devant le complexe industriel. Aujourd’hui, Gérard Sina est à la tête d’un empire agroalimentaire qui non seulement emploie directement plus de 1500 personnes, mais soutient également quelque 3000 familles agricoles à travers le pays.

Aujourd’hui, Gérard Sina est à la tête d’un empire agroalimentaire qui non seulement emploie directement plus de 1500 personnes,

Mais la réussite de Sina ne se mesure pas uniquement en chiffres. Elle s’apprécie aussi à travers l’impact social profond qu’il a généré. En effet, l’entrepreneur a investi dans l’éducation en créant des écoles, offrant ainsi aux jeunes leaders l’opportunité d’interagir avec des milliers d’élèves qui profitent directement des fruits de ses efforts.

Ces établissements scolaires ne sont pas seulement des lieux d’apprentissage ; ils sont le symbole d’un avenir prometteur, façonné par la vision et l’engagement d’un homme qui a su transformer des beignets en un empire, et des rêves en réalités tangibles pour toute une communauté.

Pour en savoir plus sur Gérard Sina et son impact sur le secteur agroalimentaire au Rwanda, suivez notre série de reportages sur les leaders qui façonnent l’Afrique de demain.

Égalité de genre : clé de la réussite en RPF et en conservation

Dans le cadre des efforts mondiaux pour la restauration des paysages forestiers (RPF) et la conservation, une prise de conscience s’élève quant à l’importance cruciale de l’intégration du genre. Cette intégration vise à incorporer les préoccupations et les expériences de tous les genres – hommes, femmes, garçons et filles dans la conception et la mise en œuvre des politiques, programmes et projets. L’objectif est de garantir des bénéfices équitables pour chacun, dans tous les aspects de la vie.

Le rôle central des femmes dans la RPF

Selon Chidule Kalima Edna, un acteur clé de l’initiative AFR100, l’équité de genre n’est pas seulement une question de justice sociale, mais également un levier essentiel pour le succès des initiatives de RPF. En effet, les femmes jouent un rôle central dans ces efforts, souvent en tant que gardiennes du savoir traditionnel et en tant que forces motrices de l’agriculture et de la gestion des ressources naturelles.

Néanmoins, il est souvent constaté que les besoins spécifiques des femmes, ainsi que leurs contributions potentielles, sont négligés. Ce manquement représente un risque significatif d’échec pour les programmes et projets de RPF. Chidule Kalima souligne que sans une participation équilibrée et sans la reconnaissance des contributions des femmes, les efforts de restauration risquent de ne pas atteindre leur plein potentiel.

Dans le contexte de l’Agenda2063, l’ambition est de transformer le paysage africain en un havre de biodiversité et de durabilité. Pour y parvenir, il est impératif de s’assurer que les stratégies de RPF soient inclusives et qu’elles valorisent le rôle et l’expertise de chaque genre. Cela implique une collaboration étroite avec les communautés locales et une attention particulière aux dynamiques de genre, afin que les fruits de la restauration profitent à tous, sans exception.

En conclusion, l’intégration du genre dans les efforts de RPF et de conservation n’est pas seulement une question d’équité; c’est une stratégie intelligente et nécessaire pour assurer la réussite et la pérennité des actions entreprises pour notre environnement.

La Francophonie forge des alliances en Roumanie

Dans le cadre de la Mission économique et commerciale de la Francophonie en Roumanie, un événement significatif a eu lieu, marquant un pas de plus vers la consolidation des relations économiques au sein de l’espace francophone. L’Administratrice de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Mme St-Hilaire, a rencontré les dirigeants d’entreprises de premier plan pour discuter des opportunités et des défis liés à l’expansion économique francophone.

Cette rencontre a été l’occasion de souligner l’importance de la coopération entre les entreprises francophones et de rappeler que la vitalité économique de la Francophonie dépend en grande partie de la multiplication des échanges commerciaux. Les discussions ont porté sur divers sujets, notamment l’innovation, l’investissement et le développement durable, avec un accent particulier sur la manière dont ces éléments peuvent être intégrés de manière bénéfique dans les stratégies d’affaires.

L’OIF, en tant qu’acteur clé de la Francophonie économique, joue un rôle essentiel dans la facilitation de ces échanges. Elle œuvre à créer des ponts entre les entreprises francophones et à promouvoir un environnement propice au commerce et à l’investissement. La mission en Roumanie est un exemple concret de cet engagement, ouvrant la voie à de nouvelles collaborations et partenariats.

Les participants ont également abordé la question de la diversification économique et de l’importance de s’adapter aux marchés en constante évolution. Ils ont convenu que la Francophonie, avec sa richesse culturelle et linguistique, offre un terrain fertile pour l’innovation et le développement de nouvelles idées commerciales.

En conclusion, la Mission économique et commerciale de la Francophonie en Roumanie a été un succès, renforçant les liens entre les entreprises et jetant les bases d’une coopération économique accrue. C’est un pas en avant prometteur pour la Francophonie économique, qui continue de prouver qu’elle est une force motrice pour le développement et la prospérité partagés.

Un Iftar sous le signe de la coexistence et de la tolérance

Le 26 mars 2024, dans l’enceinte prestigieuse de l’hôtel Novotel de Cotonou, une soirée d’Iftar a été organisée par l’ambassade des Émirats arabes unis, marquant ainsi le mois sacré du Ramadan. Cette cérémonie, qui a vu la participation de figures éminentes, a été aussi l’occasion de célébrer les valeurs de coexistence et de tolérance entre les différentes confessions.

Une réception distinguée orchestrée par Son Excellence Mohammed Saeed Al Kaabi pour Iftar

Son Excellence Mohammed Saeed Al Kaabi, Ambassadeur des Émirats arabes unis près la République du Bénin a présidé  l’événement. Il a accueilli avec faste les invités lors de cette réception spéciale. Parmi les convives, on comptait des membres influents du gouvernement, des diplomates de marque, ainsi que des leaders religieux, tous réunis pour rompre le jeûne dans un esprit de fraternité.

Sous le thème “Ramadan et la culture de la coexistence et de la tolérance entre les religions”, la soirée a été l’expression vivante de l’harmonie interculturelle. Des personnalités telles que M. Samou Seïdou Adambi et Mme Shadiya Alimatou Assouman ont rehaussé l’événement de leur présence, symbolisant l’union des forces politiques, économiques et culturelles pour une cause commune.

Un pont entre les nations

L’initiative de SEM. Mohammed Saeed Al Kaabi s’inscrit dans une démarche de renforcement des liens d’amitié et de coopération entre les Émirats arabes unis et la République du Bénin. Cet Iftar a non seulement souligné l’importance du dialogue interreligieux mais a également mis en lumière l’excellence des relations bilatérales entre les deux nations.

En conclusion, lors de cet Iftar, moment de partage et de réflexion, les convives ont célébré les principes de paix et de coexistence pacifique, illustrant la richesse de la diversité culturelle et religieuse.

 

Grand-Popo : licence d’exploitation révoquée pour non-conformité

Cotonou, ce 27 mars 2024 – Lors de la réunion du Conseil des Ministres présidée par Monsieur Patrice TALON, un sujet brûlant était à l’ordre du jour  : le retrait de la licence d’exploitation de l’Auberge de Grand-Popo et de ses annexes.

Le ministre chargé du Tourisme a exposé les résultats d’une inspection inopinée menée par ses services. Cette intervention faisait suite à des signalements concernant le non-respect de la réglementation en vigueur par l’exploitant de l’établissement. Les infractions constatées, particulièrement graves, touchaient aux normes d’hygiène, de sécurité et de qualité de service, justifiant ainsi le retrait de la licence d’exploitation.

En outre, la mairie de Grand-Popo a résilié le contrat de bail pour non-respect des obligations contractuelles par l’exploitant, entraînant de facto l’annulation de la licence d’exploitation.

Les manquements contractuels incluaient des arriérés de loyers et des factures impayées de consommation d’eau et d’électricité sur plusieurs mois. Face à ces violations et après des tentatives infructueuses de résolution par la mairie, l’État, propriétaire des lieux, a ordonné l’application stricte des textes en vigueur.

Le Conseil a également mandaté la recherche d’un maître d’œuvre pour la réhabilitation des infrastructures, afin de les remettre aux normes et standards requis, en adéquation avec les ambitions touristiques du Gouvernement.

Ce cas souligne l’importance que le Gouvernement accorde au respect des normes dans le secteur touristique, essentiel pour l’image et l’attractivité du pays sur la scène internationale.

Registre des Béninois de l’étranger : une avancée consulaire

Dans une démarche innovante pour améliorer les services consulaires, le gouvernement béninois, sous la direction du Président Patrice Talon, a annoncé la création du « Registre des Béninois de l’étranger ». Cette initiative, annoncée lors de la réunion du Conseil des Ministres ce 27 mars 2024, vise à recenser les citoyens béninois vivant hors des frontières nationales.

Le registre, qui s’aligne avec la loi n°2017-08 du 19 juin 2017 sur l’identification des personnes physiques, attribuera un numéro personnel d’identification (NPI) à chaque Béninois résidant à l’étranger. Pour accéder à la protection consulaire et aux services offerts par le réseau diplomatique et consulaire du Bénin, il est nécessaire de s’inscrire au registre  gratuitement  et individuellement .

Les Béninois de l’étranger pourront ainsi demander à l’État de garantir leurs droits en tant que citoyens non résidents. Le registre servira également de base pour l’émission des cartes consulaires et d’autres documents administratifs nécessaires.

En plus de faciliter l’administration consulaire, ce système vise à renforcer la contribution de la diaspora béninoise au développement du pays. Par ailleurs, La collecte et le traitement des données personnelles seront conformes aux réglementations en vigueur, garantissant ainsi la confidentialité et la sécurité des informations.

Le Conseil des Ministres a également adopté des décrets relatifs à la Commission nationale permanente de la Francophonie, au Plan national de Contingence et à la gestion des investissements publics, marquant une étape importante dans la modernisation de l’administration publique béninoise.

Agriculture Béninoise: La visite du FNDA à Glo-Djigbé

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, la Direction Générale du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) a orchestré une visite éclairante à la zone industrielle de Glo-Djigbé. Cette initiative, tenue le vendredi 22 mars 2024, s’inscrit dans une volonté de partager avec son personnel et des partenaires clés, tels que la Plateforme Nationale des Organisations Paysannes et des Producteurs Agricoles du Bénin (PNOPPA Bénin), la vision d’une agriculture transformatrice et prospère.

La Direction Générale du Fonds National de Développement Agricole a orchestré une visite éclairante à la zone industrielle de Glo-DjigbéLa Transformation Agricole en Action

Le périple a permis de découvrir quatre compartiments essentiels de Glo-Djigbé, notamment le Centre de formation et de production textile, et l’unité de transformation des noix de cajou. Ces installations illustrent la métamorphose des produits agricoles béninois, soulignant l’importance de la synergie entre le financement participatif et l’industrialisation agricole.

Par ailleurs, Monsieur Nicolas AHOUISSOUSSI, Directeur Général du FNDA, a mis en exergue l’importance cruciale de l’agrégation et du financement pour transcender une agriculture de subsistance vers une ère industrielle. “La visite m’a conforté dans l’idée que notre collaboration avec les SFD et les banques est un vecteur de développement indéniable,” a-t-il affirmé.

L’Engagement des Institutions de Microfinance pour FNDA

Monsieur Philippe DAHOUI, figure de proue de l’Association professionnelle des institutions de microfinances au Bénin, a exprimé un engagement renouvelé envers les producteurs, soulignant l’impératif de soutenir la production locale pour nourrir les industries naissantes et enrichir l’économie nationale.

La visite a également galvanisé les producteurs, comme en témoigne Arouna LAWANI, Président de la PNOPPA, qui a salué la transformation palpable de leurs efforts agricoles en produits finis. “Le marché de Glo-Djigbé est une réalité vivante qui attend nos productions,” a-t-il déclaré, promettant de propager cette dynamique positive au sein de la communauté agricole.

En somme, cette visite marque un tournant décisif, où le FNDA, en harmonie avec les producteurs et les institutions financières, esquisse les contours d’une agriculture béninoise résiliente et innovante, prête à embrasser les défis de demain.

Nourrir l’avenir : La révolution de l’alimentation scolaire au Bénin

Dans un élan de solidarité et d’engagement pour l’éducation, la commune d’Abomey-Calavi a été le théâtre du lancement de la 9ème édition de la Journée Africaine de l’Alimentation Scolaire. Le Ministre des Enseignements Maternel et Primaire, Monsieur Salimane KARIMOU, et le Représentant résident du Programme Alimentaire Mondial au Bénin, Monsieur Ali OUATTARA, ont présidé cette cérémonie le 21 mars 2024, en présence d’éminentes autorités et de la communauté éducative.

la commune d’Abomey-Calavi a été le théâtre du lancement de la 9ème édition de la Journée Africaine de l’Alimentation Scolaire.Investir pour transformer l’alimentation scolaire : Une Vision pour l’Éducation en Afrique

Le thème de cette année, « Investir dans l’alimentation scolaire locale pour transformer les systèmes éducatifs – pour un avenir inclusif et prospère du continent africain », a guidé les discussions, mettant en avant le Programme d’Alimentation Scolaire Intégré (PNASI) comme un exemple de réussite. En effet, ce programme, reconnu à l’échelle continentale et mondiale, symbolise la confiance des donateurs et l’engagement des acteurs locaux.

Angelo AHOUANDJINOU, Maire d’Abomey-Calavi, a souligné l’importance de l’alimentation scolaire comme instrument de paix et vecteur d’accès à l’éducation. Il a également  annoncé des initiatives telles que la création de jardins scolaires et la distribution de kits de couverts en plastique pour promouvoir une alimentation saine.

Le Préfet de l’Atlantique, monsieur Jean-Claude CODJIA, a révélé l’impact d’un téléthon organisé en 2022, qui a permis de collecter plus de 22 millions de francs en faveur du PNASI, témoignant ainsi de la solidarité de la communauté envers l’éducation des enfants.

la commune d’Abomey-Calavi a été le théâtre du lancement de la 9ème édition de la Journée Africaine de l’Alimentation Scolaire.Le PNASI : Un Modèle d’Intégration Économique et Sociale

Monsieur Ali OUATTARA a mis en exergue le rôle du PNASI dans l’intégration économique, notamment par la promotion des produits locaux et le soutien aux activités génératrices de revenus, en particulier pour les femmes. Plus d’un million trois cent mille écoliers bénéficient actuellement d’un repas chaud par jour, ce qui représente un progrès significatif pour le Bénin.

En conclusion, on célèbre le PNASI en tant qu’investissement stratégique dans le capital humain. Les indicateurs montrent une couverture en constante évolution, avec l’objectif de 100% à l’horizon 2026. Le gouvernement béninois, avec la création de l’Agence Nationale de l’Alimentation et de la Nutrition (ANAN), renforce les acquis et poursuit les efforts pour améliorer l’infrastructure éducative. Les enseignants, au cœur de ces succès, ont été particulièrement félicités par le Ministre Salimane KARIMOU, soulignant l’engagement continu du Bénin envers l’éducation et la prospérité futures.

L’Éloge de la France par Philipp Lahm

Dans une perspective raffinée et avec une prose élégante, considérons l’analyse de Philipp Lahm, éminent figure du football allemand et actuel directeur du comité d’organisation de l’Euro 2024. Selon lui, la France se positionne non seulement comme favorite pour remporter le prestigieux tournoi européen, mais semble également destinée à triompher lors de la compétition estivale du 14 juin au 14 juillet.

Une prédiction de victoire pour la France le jour de la Fête Nationale

L’idée que la France se consacre en ce jour symbolique de la Fête Nationale ne s’inscrit pas dans le marbre, mais elle flirte avec la réalité. Lahm, champion du monde en 2014, envisage un été de succès couronné pour les Bleus et loue l’abondance ainsi que l’excellence du réservoir de talents à la disposition de l’équipe nationale.

La profondeur de talent français: Un atout incontestable

Face à l’interrogation sur le grand favori du tournoi, Lahm, ancien pilier du Bayern Munich, souligne la richesse de l’effectif français : « La France, de par son vivier de près de 40 joueurs d’exception, dispose d’une armada de talents remarquables. »

Lahm ajoute que l’équilibre et la cohésion du groupe français permettent des rotations stratégiques, avec des remplaçants capables de s’imposer comme titulaires. L’essentiel, selon lui, réside dans l’unité et la solidarité affichées sur le terrain.

L’espoir d’une surprise au cœur de l’Euro

Tout en anticipant le succès des grandes nations du football européen, Lahm exprime le désir de voir émerger une équipe surprise, à l’image de l’Islande lors de l’Euro 2016. Il aspire à ce que des nations moins renommées puissent également briller, portées par l’enthousiasme de leurs supporters.

En conclusion, Lahm est presque certain qu’une nation de football de premier plan remportera le titre, perpétuant ainsi la tradition des victoires des favoris des années précédentes. La France, avec son équipe étoilée et son esprit de corps, semble prête à relever le défi de l’Euro 2024.

Adieu solennel de l’Ambassadeur Chinois à la CEDEAO

 Le 22 mars 2023, une page se tourne pour S.E. Cui JIANCHUN, l’éminent Ambassadeur de la République Populaire de Chine près le Nigéria et la CEDEAO. Dans l’enceinte solennelle du siège de la Commission de la CEDEAO à Abuja, l’Ambassadeur a formulé ses adieux, marquant la fin d’une mission diplomatique couronnée de succès.

Gratitude et Engagement Mutuels

Avec une éloquence empreinte de gratitude, S.E. JIANCHUN a retracé le parcours des relations sino-africaines, évoquant les avancées significatives en matière d’infrastructures, d’économie et de sécurité. Par ailleurs, il a réitéré son engagement indéfectible envers la CEDEAO, promettant un soutien continu de la Chine.

il a également évoqué la création  d’un nouveau siège de la CEDEAO, un joyau architectural promis par la Chine, prévu pour 2025, symbolisant l’ambition et la vision partagées par les deux entités. L’Ambassadeur a assuré que son départ ne marquerait pas un fléchissement de l’engagement chinois, laissant derrière lui une équipe dévouée à la réalisation de ce projet phare.

En point d’orgue, l’invitation au prochain Forum de coopération Chine-Afrique (FOCAC) a été aussi lancée, témoignant de la volonté de pérenniser le dialogue et la collaboration.

 Le 22 mars 2023, une page se tourne pour S.E. Cui JIANCHUN, l’éminent Ambassadeur de la République Populaire de Chine près le Nigéria et la CEDEAORéponse de la CEDEAO : Reconnaissance et Anticipation

En écho aux mots de l’Ambassadeur, S.E. Dr. Omar Alieu TOURAY, Président de la Commission de la CEDEAO, a exprimé sa reconnaissance pour la relation exemplaire entretenue avec la Chine. Il a souligné l’impact transformateur de la Chine sur l’Afrique de l’Ouest, notamment dans l’éducation et les infrastructures.

En somme, Le Président TOURAY a accepté avec enthousiasme l’invitation au FOCAC, envisageant déjà de présenter des projets d’envergure, tels que les corridors Lagos-Abidjan et Abidjan-Praia, vecteurs de développement et d’intégration régionale.