Jeux Olympiques : L’Afrique rayonne grâce à Smith

Dans une scène qui restera gravée dans les annales du sport africain, la nageuse sud-africaine Tatiana Smith a offert au continent son premier titre olympique en s’imposant sur le 100 mètres brasse. En effet, le lundi, à la piscine olympique de Paris, la jeune athlète a réalisé un exploit rétentant en touchant le mur en premier avec un temps de 1:05:00.

Cette victoire historique a marqué un tournant pour le sport africain, longtemps considéré comme un outsider dans les compétitions mondiales. Pendant des décennies, les athlètes africains ont lutté pour se faire une place au soleil, confrontés à des moyens limités et à des infrastructures sportives souvent déficientes. Par ailleurs,  le sacre de Tatiana Smith témoigne de la progression fulgurante du sport africain et ouvre de nouvelles perspectives pour les générations futures.

La finale du 100 mètres brasse a été un véritable thriller. Partie prudemment, la Sud-Africaine a effectué une remontée spectaculaire dans les derniers mètres pour devancer ses principales rivales, Mona Mc Sharry et Lilly King , respectivement médaillées d’argent et de bronze. La nageuse sud-africaine, considérée comme une outsider avant la course, a remporté une victoire d’autant plus remarquable.

Au-delà de l’exploit sportif individuel, cette médaille d’or est une victoire collective pour tout le continent africain. Elle suscite une immense fierté et un sentiment d’unité parmi les Africains, qui se sont mobilisés en masse pour soutenir leurs athlètes. Cette victoire est aussi un appel à la jeunesse africaine à croire en ses rêves et à persévérer dans l’effort.

Les espoirs sont désormais tournés vers les autres athlètes africains qui sont encore en compétition à Paris. Le judoka béninois Valentin Houinato, qui entrera en poux aujourd’hui, est l’un des grands favoris de sa catégorie. Il pourrait bien être le prochain à offrir une nouvelle médaille d’or à l’Afrique.

Lutte contre la corruption et régulation des médias au Bénin

Cotonou, 22 juillet 2024 – Le Président Patrice Talon a présidé ce jour au Palais de la Marina deux cérémonies majeures marquant la lutte contre la corruption et le renforcement de la démocratie au Bénin.

Le Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption entre en fonction

Les membres du Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption (HCC) ont prêté serment devant le Chef de l’État, officialisant ainsi leur prise de fonction. Cette nouvelle institution, créée pour remplacer l’Agence Nationale de Lutte contre la Corruption (ANLC), a pour mission de :

  • Prévenir et lutter contre la corruption
  • Promouvoir la transparence et l’intégrité au sein de l’administration publique
  • Renforcer la redevabilité des agents publics

La création du HCC témoigne de l’engagement du gouvernement béninois à intensifier la lutte contre ce fléau qui gangrène de nombreux pays et constitue un frein au développement.

La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication renouvelée

Le Président Talon a également procédé à l’installation des membres de la 7ème mandature de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC). Cette institution joue un rôle crucial dans la régulation des médias et la promotion d’une information libre et pluraliste. Dans son discours, le Président Talon a également  rappelé l’importance d’une presse responsable et indépendante pour une démocratie saine et équilibrée.

Vers une gouvernance plus responsable et transparente

En somme, Ces deux cérémonies illustrent la volonté du gouvernement béninois de renforcer les fondements démocratiques du pays et de promouvoir une gouvernance plus responsable et transparente. La lutte contre la corruption et la régulation des médias sont des défis majeurs, mais essentiels pour garantir le développement durable et la prospérité du Bénin.

Lancement des travaux du Comité international du FARI-2025

Cotonou, 25 juin 2024   La Professeure Eléonore Yayi Ladekan, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Bénin, a présidé ce jour à Cotonou l’ouverture des travaux de la réunion du Comité international du Forum africain pour la Recherche et l’ Innovation (FARI). En effet, Cette rencontre, qui réunit des experts et des décideurs politiques de la région ouest-africaine, a pour objectif de préparer la deuxième édition du FARI, prévue en 2025 au Bénin.

Un forum pour promouvoir la recherche et l’innovation en Afrique

Par ailleurs, le FARI est une plateforme qui vise à promouvoir la recherche et l’innovation en Afrique. Il s’agit d’un forum de dialogue et de partage d’expériences entre les acteurs de la recherche et de l’innovation des pays d’Afrique de l’Ouest. La première édition du FARI s’est tenue en 2020 au Ghana et a connu un franc succès.

La Professeure Eléonore Yayi a présidé ce jour à Cotonou l'ouverture des travaux de la réunion du Comité international du FARI-2025Le Bénin, un pays engagé dans la promotion de la recherche et de l’innovation

Le choix du Bénin pour abriter la deuxième édition du FARI n’est pas fortuit. Le pays est en effet résolument engagé dans la promotion de la recherche et de l’innovation. Les autorités béninoises ont mis en place plusieurs initiatives pour soutenir les chercheurs et les innovateurs, notamment la création de l’Agence nationale de la promotion de la recherche et de l’innovation (ANPRI).

 FARI-2025: Un rendez-vous important pour l’Afrique de l’Ouest

La deuxième édition du FARI s’annonce comme un rendez-vous important pour l’Afrique de l’Ouest. Elle permettra d’évaluer les avancées en matière de recherche et d’innovation dans la région, de repérer les défis à surmonter et de définir les orientations stratégiques pour les prochaines années.
Sous la direction énergique de la Professeure Eléonore Yayi Ladekan, le gouvernement béninois s’engage avec détermination à transformer cette édition du FARI en un triomphe retentissant.

En conclusion, le lancement des travaux du Comité international du FARI-2025 marque une étape importante dans la préparation de ce forum de grande envergure. Le Bénin est prêt à relever le défi et à faire de cette deuxième édition un succès qui contribuera à promouvoir la recherche et l’innovation en Afrique de l’Ouest.