Spin and Win est une aventure inoubliable dans le monde du drive et des gros gains !

Les jeux de la section 1xGames sont devenus un succès auprès des amateurs de sensations fortes. Ici, pas de mécanismes complexes, de règles compliquées pour la formation des lignes de paiement ni de nombreux symboles différents : seulement des parties ultra-rapides avec des cotes élevées.

Entamez votre voyage dans le monde des jeux d’argent avec le jeu palpitant Spin and Win. Il offre un mélange parfait de simplicité et de divertissement. Un clic suffit pour ouvrir un nouveau chapitre de votre vie. Faites tourner la roue pour étancher votre soif d’adrénaline et décrocher un gros jackpot !

Règles de Spin and Win : ce qu’il faut savoir avant de commencer

Le plateau de jeu est une Roue de la Fortune classique, dont chaque secteur possède sa propre cote :

  • x2 ;
  • x4 ;
  • x5 ;
  • x7 ;
  • x10 ;
  • x20.

Avant le début du round, vous pouvez miser sur autant de secteurs que vous le souhaitez. Plus un joueur utilise de cases, plus ses gains potentiels sont élevés.

Pour tenter sa chance, appuyez sur « Jouer ». Le secteur gagnant sera celui pointé par la flèche après l’arrêt de la roue. Si la chance vous sourit et que le pari s’est révélé gagnant, le montant du gain sera calculé selon le multiplicateur indiqué. Par exemple : vous misez 10 $ sur le secteur x2, ce qui signifie que le gain total sera de 20 $.

 

Pourquoi les joueurs aiment-ils Spin and Win ?

Le jeu se présente sous la forme d’une loterie et le résultat de chaque round dépend uniquement de la chance. Le joueur n’a pas besoin de passer du temps à étudier les règles et à choisir une stratégie : il peut immédiatement plonger dans une atmosphère passionnante et intrigante.

Dans Spin and Win, il n’y a pas de taux de retour au joueur (RTP), et le résultat de chaque round est déterminé par le générateur de nombres aléatoires (RNG), ce qui garantit l’indépendance de chaque tour de roue. L’interface du jeu est aussi agréable sur la version de bureau de la plateforme que dans l’application mobile 1xBet.

Le jeu est réservé aux utilisateurs inscrits. Si vous possédez un compte, vous pouvez faire tourner la roue en mode démo pour découvrir les mécanismes de base de Spin and Win sans risquer vos fonds. Les joueurs apprécient les parties rapides et le multiplicateur de gains élevé. Même avec une petite mise, vous pouvez tomber sur le secteur x20, offrant un gain solide.

 

La quête du jackpot progressif bat son plein

Le jackpot progressif 1xGames est proposé dans Spin and Win. Un pourcentage de chaque mise effectuée dans les jeux de cette catégorie revient à la cagnotte générale.

Un tirage au sort du jackpot a lieu chaque jour, chaque semaine et chaque mois. Peut-être que la chance vous sourira et que vous gagnerez le gros lot. Pour participer au tirage au sort du jackpot, il vous suffit de continuer à jouer et de miser de l’argent réel.

Tentez votre chance dans Spin and Win et profitez d’un jeu passionnant avec de gros gains grâce à 1xBet !

 

CENA – députés : réunion décisive sur le parrainage à Porto-Novo

Présidentielle 2026 : la CENA convoque les députés pour clarifier la règle du jeu

 

Porto-Novo, 14 août 2025 À l’approche de l’élection présidentielle de 2026, le Bénin entre dans une phase décisive de son calendrier électoral. À cet effet, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) réunira les députés le mercredi 20 août 2025 pour une séance stratégique. Par ailleurs, l’objectif est de clarifier les modalités du parrainage, une étape clé pour les candidats à la magistrature suprême. Cette rencontre marque un pas de plus vers une élection organisée et transparente.

 

Une séance au Palais des Gouverneurs pour déchiffrer le parrainage

 

Prévue à 15 heures au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo, cette réunion permettra à la CENA de présenter aux parlementaires les mécanismes entourant le système de parrainage. Ce dispositif, essentiel pour valider les candidatures, exige également que chaque aspirant obtienne le soutien d’au moins 15 % des élus nationaux et communaux, soit 28 parrainages minimum. Le but est d’informer les députés sur leur rôle  dans ce processus pour garantir une mise en œuvre fluide et conforme au code électoral.

 

La CENA en action : après les maires, les députés

 

La CENA a ouvert le bal dès ce mardi 12 août en échangeant avec les maires des communes du nord du Bénin. Ces discussions ont visé à familiariser les élus locaux avec les exigences du parrainage, renforçant leur compréhension des responsabilités qui leur incombent. Par conséquent, cette démarche proactive témoigne de l’engagement de la CENA à associer tous les acteurs clés pour assurer une préparation rigoureuse du scrutin.

 

Un processus électoral sous haute surveillance

 

En organisant ces rencontres, la CENA pose les bases d’un processus électoral inclusif et bien encadré. D’ailleurs, les échanges avec les élus permettent de dissiper les zones d’ombre et de garantir que le système de parrainage, conçu pour limiter la prolifération des candidatures, soit appliqué de manière équitable et transparente. Par ailleurs, la séance du 20 août, orchestrée par le Secrétaire Général Administratif de l’Assemblée nationale, se tiendra dans l’enceinte prestigieuse du Palais des Gouverneurs, un lieu symbolique pour des discussions d’une telle envergure.

Alors que le Bénin s’apprête à vivre un moment crucial de sa vie politique, les regards se tournent vers cette réunion. Le succès de cette élection dépendra en grande partie de la clarté et de l’équité des règles établies. La question est de savoir si ce processus, qui vise à rationaliser les candidatures, parviendra à apaiser les tensions politiques et à renforcer la confiance des citoyens.

Fête de l’Igname : Savalou, capitale culturelle du peuple Mahi

Savalou en effervescence : la cité royale célèbre la sacralité de l’igname

 

Savalou, 14 août 2025 La cité royale de Savalou vibre déjà au rythme de sa tradition la plus emblématique. À la veille du 15 août, la Fête de l’Igname, une célébration du peuple Mahi, prend ses quartiers. Plus qu’un simple rituel agricole, cet événement est une véritable ode à la mémoire, à la terre et à l’unité du peuple béninois. Chaque année, il marque la sortie officielle de la nouvelle igname, un tubercule sacré dans la tradition locale, et symbolise le renouveau, la prospérité et la cohésion. En 2025, l’effervescence est d’autant plus palpable que les rues s’animent, les places publiques se parent de couleurs et les délégations affluent de tout le pays et de la diaspora.

 

Une tradition vivante, portée par une jeunesse engagée

 

Sous l’impulsion de l’Association des Enfants Mahi du Bénin (EMB), présidée par Madame Juliette Gbaguidi, les festivités s’annoncent riches en émotions et en découvertes. Des danses rituelles et des chants ancestraux rythmeront les trois jours de célébration. Par ailleurs, des expositions artisanales et des cérémonies d’offrande rendront hommage à cette tradition séculaire. Le Roi de Savalou, Dada Ganfon Gbaguidi XV, incarne la sagesse et la continuité de cette coutume. Son appel à la mobilisation générale résonne comme un rappel : préserver l’âme de l’igname, c’est préserver l’identité culturelle du Bénin.

 

Entre fête et responsabilité : un appel à la vigilance

 

Alors que les festivités s’apprêtent à battre leur plein, les autorités locales et les organisateurs appellent à la vigilance sur les routes et à la responsabilité citoyenne. En effet, si la Fête de l’Igname est un moment de joie et de partage, elle se doit également de respecter les valeurs et les règles de sécurité.

À Savalou, le 15 août ne célèbre pas seulement un tubercule : il célèbre un peuple, une mémoire et une promesse de cohésion. L’igname devient alors le lien sacré entre les générations, les territoires et les cœurs. Reste à savoir si cette mobilisation culturelle parviendra à inspirer une nouvelle génération à embrasser ses racines et à les faire rayonner au-delà des frontières.

Mangues béninoises : un nouvel élan industriel au cœur de l’Atacora

Péporiyakou transforme l’or des vergers : un complexe moderne pour valoriser la mangue béninoise

Natitingou, 14 août 2025 Sur les hauteurs verdoyantes de Péporiyakou, une nouvelle ère s’ouvre pour les producteurs de mangues. Grâce au Programme d’Appui au Secteur du Développement Durable – phase 3 (PAsDER 3), soutenu par la Coopération Suisse, un complexe agro-industriel flambant neuf a été inauguré hier. Par ailleurs, cette infrastructure marque un tournant décisif dans la transformation locale des fruits à haute valeur ajoutée, offrant ainsi de nouvelles perspectives aux communautés du nord Bénin.

Un complexe moderne dédié à la transformation des mangues a été inauguré à Péporiyakou, dans la commune de Natitingou. Soutenu par le PAsDER 3 et la Coopération Suisse, ce projet de 316 millions de FCFA bénéficiera à près de 2.000 producteurs et créera 350 emplois. Une avancée majeure pour l’agro-industrie béninoise.

Une infrastructure stratégique pour les mangues au cœur des terroirs

 

D’ailleurs, ce complexe, implanté sur un terrain d’un hectare offert par la mairie de Natitingou, est conçu pour absorber une part importante des récoltes des communes de Toucountouna, Boukoumbé, Tanguiéta et Copargo. En plus,  l’objectif est triple : transformer les mangues en produits diversifiés, tels que des fruits séchés pour l’exportation, des jus pour le marché local, et des fruits frais pour la consommation nationale. De plus, la pastèque a également sa place, avec une ligne dédiée à la production de jus.

Le complexe se compose de trois blocs distincts :

  • Une unité de séchage équipée de séchoirs ATTESTA et respectant des normes d’hygiène rigoureuses.
  • Une unité de production de jus avec un hall de transformation et une chambre froide.
  • Un bloc pédagogique et administratif pour la formation, les bureaux et le stockage.

 

Des emplois par centaines avec Mangues béninoises : un puissant levier de développement

 

Avec un investissement total de 316 millions de FCFA, dont 276 millions financés par le PAsDER, ce projet ambitieux vise à créer jusqu’à 350 emplois directs et indirects. En outre,  il bénéficiera directement à 896 exploitations familiales (dont 20 % sont dirigées par des femmes) et à plus de 1 000 producteurs membres de la Fédération Nationale des Producteurs de Mangues (FENAPROM). Ce complexe se présente donc comme un véritable moteur économique et social pour la région.

Une inauguration sous le signe du partenariat

 

La cérémonie d’inauguration a réuni des figures clés du développement agricole et industriel : Madame Émilie Tiboute Sama, Directrice adjointe de Cabinet du Ministère de l’Industrie et du Commerce, Monsieur Alex Salihou Alidou pour la Coopération Suisse, ainsi que les autorités locales et les représentants du FNDA et du Ministère de l’Agriculture.

À Péporiyakou, les producteurs ne se contentent plus de récolter la mangue comme un simple fruit. Elle devient un véritable moteur de transformation, d’autonomisation et de rayonnement économique. Le Bénin mise sur ses fruits et, par extension, sur son potentiel de développement industriel. La question reste de savoir si les acteurs poursuivront cette dynamique et répliqueront ce modèle dans d’autres filières pour bâtir une économie plus résiliente et inclusive.

Bénin : quand un bâton virtuel sur TikTok devient une affaire d’État

La chasse aux sorcières numériques est ouverte au Bénin.

 

Cotonou, 14 août 2025 – Au Bénin, TikTok n’est plus seulement l’arène des danses endiablées et des blagues légères : c’est désormais un champ de bataille où un simple filtre peut vous conduire tout droit en garde à vue. Le dernier en date à faire les frais de cette chasse aux sorcières numériques est Marius Placide, un tiktokeur dont le crime suprême est d’avoir brandi un bâton virtuel pour « corriger » symboliquement des figures politiques de premier plan, y compris le président Patrice Talon lui-même. Oh, scandale ! Une comédie burlesque sur une application pour ados transformée en affaire d’État. Bienvenue dans le Bénin de 2025, où l’humour est une infraction nationale.

 

 TikTok : un bâton virtuel qui fait trembler le pouvoir

 

C’est ainsi que les limiers du Centre National d’Investigations Numériques (CNIN) ont cueilli Marius Placide, star locale de TikTok suivie par des milliers d’abonnés, le mercredi 13 août.  Son forfait ? Avoir osé, dans des vidéos satiriques, mimer des coups de bâton sur des personnalités comme le président Talon, le ministre Abdoulaye Bio Tchané ou encore Ganiou Soglo, grâce à un filtre aussi inoffensif qu’un mème de chaton. Cependant, au Bénin, où le Code du Numérique veille comme un cerbère, ces facéties sont jugées comme une atteinte à l’honneur des puissants. Par conséquent, Placide attend maintenant son rendez-vous avec le procureur, probablement pour expliquer comment un effet spécial peut menacer la République.

 

La toile sous haute surveillance : la vague de répression s’étend sur TikTok

 

De fait, Marius n’est pas le seul à avoir attiré les foudres des autorités. Cette semaine, le CNIN a déployé ses filets numériques avec une ardeur digne d’un blockbuster hollywoodien. En outre, il a arrêté Geoffroy Fridich pour des accusations de cybercriminalité, tandis qu’il a épinglé Flapacha et Jérémie Degamer pour avoir orchestré une mise en scène d’enlèvement qui, soyons sérieux, ressemblait davantage à un sketch de collégiens qu’à un complot mafieux. Il semblerait que les autorités aient décidé que TikTok, ce repaire de chorégraphies maladroites et de farces potaches, est soudain devenu le QG d’une conspiration nationale. Qui aurait cru que des vidéos de 15 secondes pouvaient ébranler la stabilité d’un pays ?

 

Le Code du Numérique, une arme fatale contre l’humour

 

C’est dans ce contexte que, sous le couvert du Code du Numérique, ces interpellations transforment des plaisanteries en crimes d’État. Les sanctions prévues pour atteinte à l’honneur ou diffamation en ligne sont brandies comme une épée de Damoclès sur quiconque ose titiller les puissants avec un peu trop d’audace. Si un filtre TikTok peut valoir une convocation judiciaire, on se demande si le prochain influenceur à passer une musique de fond non autorisée risque la prison à vie. À se demander où s’arrêtera cette croisade contre les pitreries numériques ?

 

Quand l’État s’acharne sur des mèmes pendant que les vrais cybercriminels rigolent

 

En plus, cette vague d’arrestations s’inscrit dans une campagne plus large du CNIN pour « assainir » l’espace numérique. On pourrait presque saluer l’efficacité des enquêteurs, si seulement ils ne ciblaient pas des jeunes armés de smartphones et d’un sens de l’humour douteux. Pendant ce temps, les véritables cybercriminels, ceux qui piratent des comptes bancaires ou volent des données, doivent bien rire en regardant la police s’acharner sur des vidéos de comédie. Priorities, quand tu nous tiens !

Cette situation nous interroge : le Bénin transforme-t-il son espace numérique en une zone de non-droit pour l’humour, ou s’agit-il du début d’une nouvelle ère de répression où l’État sacrifie la liberté d’expression en ligne sur l’autel de sa sécurité ?

Senum 2025 : Cotonou accueille les acteurs du numérique africain

Senum 2025 à Cotonou : l’Afrique numérique en marche vers un avenir commun

 

Cotonou, 14 août 2025 Du 19 au 21 novembre, Cotonou se prépare à devenir le cœur battant de l’innovation africaine en accueillant la Semaine du Numérique (Senum 2025). Cet événement stratégique vise à dessiner les contours de l’Afrique digitale de demain. Alors que l’intelligence artificielle (IA) est en passe de révolutionner l’économie et la société à l’échelle mondiale, le Bénin a choisi de positionner l’IA, le numérique et les médias au centre de son ambition continentale. Organisée par le Ministère du Numérique et de la Digitalisation, la Senum 2025 s’impose comme une plateforme panafricaine de dialogue et de co-construction pour un avenir numérique inclusif.

 

Le Bénin, hub de l’innovation pour une Afrique connectée

 

Sous le thème percutant « IA, Numérique et Médias : entreprendre pour façonner notre avenir commun », cette édition rassemblera une constellation d’acteurs clés : des décideurs publics aux entrepreneurs, en passant par des chercheurs, des innovateurs et des partenaires techniques. Tous convergeront vers Cotonou dans le but de partager des solutions concrètes et adaptées aux réalités locales, capables d’accélérer la transformation digitale du continent. Pour illustrer cette volonté de partage, un pavillon de benchmark sera installé, servant de vitrine aux initiatives souveraines. Il permettra également aux délégations africaines de découvrir des projets structurants qui pourraient être reproduits dans leurs propres pays.

 

Les Oscars Olympiades : l’avenir du continent dans les mains de la jeunesse

 

Parmi les temps forts de l’événement, la 2ᵉ édition des Oscars Olympiades s’annonce comme un catalyseur de créativité et d’émulation. Organisé par le groupe Dala Africa, en partenariat avec le PNUD, la Fondation Mastercard et la GIZ, ce concours rassemblera 120 équipes d’étudiants de plus de 40 pays. Par ailleurs les jeunes talents africains devront présenter des projets innovants dans des domaines cruciaux comme la santé, l’agriculture, l’environnement et l’éducation. Cette compétition incarne l’esprit de la Senum : transformer l’innovation en un puissant levier de développement et de souveraineté. C’est la preuve que la jeunesse africaine est aussi prête à prendre son destin en main.

 

Senum 2025 à Cotonou : le Bénin, architecte d’une dynamique panafricaine

 

En consolidant son rôle de hub numérique régional, le Bénin confirme sa détermination à fédérer les énergies autour d’une vision commune : une Afrique qui innove, qui coopère et qui entreprend. La Senum devient ainsi un espace stratégique où les solutions numériques ne sont plus de simples promesses, mais des réalités concrètes. Au-delà des discours, c’est une Afrique en action qui se donne rendez-vous à Cotonou, prête à coder, à créer et à connecter. Une Afrique qui façonne son avenir numérique avec audace et solidarité. Reste à savoir si cette dynamique saura se traduire en politiques publiques durables et en investissements massifs à l’échelle continentale pour faire de cette vision une réalité pérenne.

Flora Coquerel, de Miss France à l’ange gardien de Bassila

Bénin : Flora Coquerel transforme Bassila avec une maternité et de nouveaux projets humanitaires

 

Bassila, 13 août 2025 Une étoile du Bénin brille à Bassila, où Flora Coquerel, ancienne Miss France 2014 d’origine béninoise, concrétise un rêve humanitaire vieux de plus d’une décennie. En effet , la maternité Nana-Zalia, ouverte fin 2021 dans le village natal de sa grand-mère, au nord-ouest du pays, est devenue un refuge pour des centaines de femmes enceintes. Ce projet ne marque que le début des ambitions de l’ancienne reine de beauté pour améliorer la vie des communautés locales.

 

 Bassila : Une maternité qui sauve des vies

 

Inaugurée officiellement en avril 2022, la maternité Nana-Zalia a déjà changé la vie de nombreuses familles. En effet, plus de 400 nouveau-nés ont vu le jour dans cet établissement, qui offre des conditions d’accouchement sûres et modernes. Dotée d’une équipe médicale complète, la structure peut accueillir jusqu’à 700 femmes par an, garantissant un suivi de qualité dans une région où l’accès aux soins reste un défi.

 

Un dispensaire et un bloc opératoire pour l’avenir

 

Loin de se reposer sur ses lauriers, Flora Coquerel voit plus grand. Un dispensaire est en cours de construction à Bassila et devrait ouvrir ses portes d’ici la fin de l’année 2025. Ce nouvel établissement viendra renforcer l’offre de soins dans la région. Par ailleurs, l’ancienne Miss prévoit d’organiser un dîner de gala pour financer un projet encore plus ambitieux : la création d’un bloc opératoire. Cet ajout crucial permettra de réaliser des interventions chirurgicales sur place, sauvant ainsi davantage de vies et consolidant l’impact de son engagement humanitaire.

 

Quand un héritage personnel devient un espoir national

 

En somme, en choisissant Bassila, le village de sa grand-mère, pour implanter ces projets, Flora Coquerel tisse un lien profond entre son histoire personnelle et son action pour le bien commun. Son parcours, de reine de beauté à actrice du changement, inspire et redonne espoir aux communautés rurales du Bénin. Mais l’élan de générosité de cette femme peut-il être le catalyseur d’un développement plus large, encourageant d’autres personnalités à s’engager pour des causes humanitaires au Bénin ?

Tamarou : un autocar se renverse, une vingtaine de blessés

Bénin : drame routier à Tamarou, un bus nigérien se renverse et fait une vingtaine de blessés

 

Tamarou, 13 août 2025 C’est un mercredi noir pour les passagers d’une compagnie de transport nigérienne. En effet, aux alentours de 6 h du matin, un autocar en provenance du Niger s’est renversé à l’entrée du village de Tamarou, sur l’axe routier menant à Parakou, faisant une vingtaine de blessés. Cet accident, survenu dans des circonstances encore floues, met en lumière les défis persistants de la sécurité routière dans la région.

 

Une défaillance mécanique à l’origine du drame ?

 

Le drame a causé des blessures à environ vingt passagers, dont la gravité reste à préciser. Selon les premiers témoignages recueillis sur place, un problème mécanique a déclenché l’accident : un pneu aurait éclaté ou se serait détaché de sa jante, entraînant la perte de contrôle du véhicule. Cette défaillance a précipité le bus hors de la chaussée, provoquant un choc brutal pour les occupants.

Enquête en cours et mobilisation des secours

 

Les services d’urgence et les équipes médicales ont été immédiatement alertés et se sont rendus sur les lieux pour porter assistance aux victimes. Cependant, bien que les récits des témoins pointent vers un souci technique, les circonstances exactes de l’accident restent à confirmer. En outre , les autorités mènent une enquête pour déterminer les facteurs ayant conduit à cette perte de contrôle, afin d’éviter que de tels drames ne se reproduisent sur cet axe fréquenté reliant le Bénin au Niger.

 

Tamarou : La sécurité routière, une urgence régionale 

 

En somme, l’accident s’est produit sur une route stratégique, un itinéraire vital pour les échanges entre les deux pays. Cet événement tragique souligne l’urgence de renforcer la maintenance des véhicules et les contrôles routiers pour garantir la sécurité des voyageurs dans la région. Aurait-on pu éviter ce drame, et quelles mesures doit-on prendre pour assurer la sécurité de tous sur cet axe routier majeur entre le Bénin et le Niger ?

Boxe béninoise : le SG de la fédération dans les cordes judiciaires

Voyage frauduleux : le secrétaire général de la Fédération béninoise de boxe devant la justice

Cotonou, 12 août 2025 L’affaire qui secoue la Fédération béninoise de boxe (FBB) a franchi une nouvelle étape. Ce mardi, le secrétaire général de l’institution, Armand Zavier Tossa, a comparu devant le tribunal de première instance de Cotonou dans le cadre d’une enquête pour voyage frauduleux. D’ailleurs, ce scandale jette une ombre sur la gouvernance sportive nationale.

 

Un voyage qui soulève des soupçons de détournement

 

Placé en détention provisoire depuis le 7 août, la police soupçonne le secrétaire général d’avoir tenté d’utiliser les procédures de voyage réservées aux boxeurs pour faire partir à l’étranger des citoyens ordinaires en quête de visa. En effet, cette manœuvre aurait contourné les règles établies pour les déplacements officiels des athlètes.

Lors de l’audience, Armand Zavier Tossa a été entendu par le juge, en présence du président de la FBB, Pierre Léonard Hinvi, également convoqué pour éclairer les circonstances de cette affaire. Le tribunal a décidé de renvoyer le procès au 14 octobre 2025, laissant planer l’incertitude sur les suites judiciaires.

 

Une fédération sous haute tension

 

Cette affaire intervient alors que la boxe béninoise tente de se structurer et de gagner en crédibilité sur la scène régionale. De ce fait, le scandale pourrait entacher les efforts de professionnalisation entrepris ces dernières années. Déjà, des voix s’élèvent pour demander plus de transparence dans la gestion des fédérations sportives et un encadrement plus rigoureux des procédures de déplacement des athlètes.

 

 vers une moralisation du sport béninois 

 

À deux mois du verdict, le monde sportif béninois retient son souffle. L’affaire Tossa est susceptible de devenir un cas emblématique de la nécessaire moralisation du sport au Bénin. Par ailleurs, elle soulève une question cruciale pour l’avenir des fédérations sportives du pays : jusqu’où ira la justice dans sa volonté d’assainir les pratiques et d’imposer plus de transparence dans la gestion des fonds et des procédures officielles ?

Culture, musique, famille : le Bénin en fête à Cotonou

Cotonou danse chaque soir : « Chante et Danse avec l’Amazone » électrise l’esplanade

 

Cotonou, 12 août 2025 Depuis le 5 août, l’esplanade de l’Amazone s’est transformée en un véritable théâtre à ciel ouvert. Chaque soir, dès 18 h, la troisième édition de « Chante et Danse avec l’Amazone » fait résonner des rythmes envoûtants au cœur de la capitale économique du Bénin, attirant des centaines de visiteurs venus célébrer la culture dans toute sa diversité.

Une scène populaire pour valoriser un patrimoine vivant

 

Portée par l’Agence de développement des arts et de la culture (ADAC) pour le compte du gouvernement, cette initiative s’inscrit dans une volonté affirmée de démocratiser l’accès à l’art et de valoriser le patrimoine musical et chorégraphique du pays. Ainsi, l’événement, gratuit et ouvert à tous, se déroule jusqu’au 7 septembre et s’impose déjà comme un rendez-vous culturel majeur. Sur scène, chaque soir, se succèdent des orchestres live, des compagnies de danse et des artistes confirmés ou émergents. Parmi eux, le groupe Africa Spirit, l’Orchestre des Aveugles, Les Princesses de la Danse ou encore Africa Salsa Orchestra offrent des performances aussi éclectiques qu’énergiques.

Depuis le 5 août, l’esplanade de l’Amazone à Cotonou vibre chaque soir au rythme de « Chante et Danse avec l’Amazone », un événement gratuit et festif qui célèbre la richesse culturelle du Bénin à travers musique live, danse et convivialité. À découvrir jusqu’au 7 septembre !

L’Amazone, un lieu de vie festif et familial

 

Mais l’attrait de « Chante et Danse avec l’Amazone » ne se limite pas aux performances. En effet, l’esplanade se transforme en un véritable lieu de vie. On peut y voir des familles installées sous les tentes, des enfants courant autour de la statue, et entendre les rires et les chants portés par la brise du soir. En plus, l’espace pique-nique aménagé favorise la détente, le partage et la convivialité. Comme l’a souligné un responsable de l’ADAC, cet événement est une manière de prolonger les festivités de la fête nationale dans une ambiance chaleureuse et inclusive, tout en contribuant à l’attractivité touristique de Cotonou.

Depuis le 5 août, l’esplanade de l’Amazone à Cotonou vibre chaque soir au rythme de « Chante et Danse avec l’Amazone », un événement gratuit et festif qui célèbre la richesse culturelle du Bénin à travers musique live, danse et convivialité. À découvrir jusqu’au 7 septembre !

« Chante et Danse avec l’Amazone » : quand la culture fait battre le cœur de la ville

 

Au-delà du simple divertissement, cette initiative incarne une vision plus profonde : celle d’un Bénin fier de sa culture, de ses rythmes et de ses talents. En offrant une tribune aux artistes et en créant un lien fort entre les générations, l’événement fait de l’esplanade de l’Amazone le cœur battant de Cotonou jusqu’au 7 septembre. Mais alors que les rideaux s’apprêtent à tomber, cette réussite ne pourrait-elle pas inspirer d’autres événements similaires, faisant de ces espaces publics des lieux de fête et de partage tout au long de l’année ?