Les dignitaires du culte Oro invités à fêter dans la sobriété

Le préfet du département du Plateau, Daniel Valère Sètonnougbo accompagné des cadres de la préfecture de Pobè et du directeur départemental de la police républicaine du département, a achevé vendredi par les étapes de Kétou, Adja-Ouèrè et de Pobè, une tournée de sensibilisation des dignitaires du culte Oro sur les manifestations dudit culte au titre de l’année 2020 où il a appelé à fêter dans la sobriété totale afin d’éviter toute contamination au coronavirus.

Il s’agit pour le préfet Sètonnougbo et sa suite, d’entretenir les dignitaires du culte Oro du département du Plateau sur la réglementation en vigueur pour contrer la propagation du Coronavirus et de les appeler à célébrer en toute sobriété ces manifestations cultuelles.

« Compte tenu de la crise sanitaire en cours dans le monde en général et au Bénin en particulier,nous devons chercher des voies et moyens pour célébrer et faire les sacrifices nécessaires en ce qui concerne le culte Oro au titre de l’année 2020 sans grandes manifestations festives », a indiqué l’autorité préfectorale à chacune des étapes. « Les écoles, les églises et les mosquées ont été fermées pendant plusieurs mois dans notre pays et ailleurs dans le monde. Le 1er août passé il n’y a pas eu de défilé. C’est à cause de la pandémie du Coronavirus.Le gouvernement a interdit toutes manifestations à caractère festif. Donc, nous aussi nous devons nous inscrire dans la même logique pour accompagner le gouvernement dans la lutte contre cette pandémie afin d’éviter toute contamination », a-t-il expliqué, avant d’appeler les dignitaires du culte Oro à faire les sacrifices dans les forêts.

« Pas de fermeture le jour dans les localités ni de tapage qui va drainer du monde aux lieux de cérémonie. Vous devez tout faire avec un effectif réduit comme l’a recommandé le gouvernement dans le strict respect des mesures barrières et ce, de concert avec les éléments de la police républicaine dans chacune des localités »,a souligné le préfet Daniel Valère Sètonnougbo.

Ravis de l’initiative, sages,dignitaires et responsables de couvent du fétiche Oro ont salué les mesures prises et rassuré d’ « organiser dans chacune des communes du département les différentes cérémonies dans les règles de l’art et prier pour la fin de la pandémie de la Covid-19, et  pour le bien-être commun ».

Reprise des cours à Natitingou

Les écoles primaires publiques et privées de la ville de Natitingou, ont ouvert ce lundi matin leurs portes, conformément à la décision du gouvernement, avec le défi, du respect des mesures barrières contre la Covid-19, a constaté L’ABP.

Lundi matin à l’école Urbaine centre de Natitingou, c’est le branle-bas général. Enseignants et élèves s’attèlent pour le nettoyage de la cours et des salles de classe. Mais visiblement, les mesures barrières contre la Covid-19 sont loin d’être respectées. Pas de dispositifs de lavage des mains et plusieurs apprenants sont sans cache-nez.

« La rentrée a été effective et tout à l’heure je vais rencontrer mes collaborateurs pour leur faire part de la note instructive relative au respect des mesures contre la Covid-19 », a confié la directrice du groupe B de l’école Urbaine centre de Natitingou, Mme Bécoussari Thérèse.

Du côté de l’EPP de Kirimina, notamment au groupe C, le constat est un peu plus rassurant. Tous les enfants sont en classe et plusieurs dispositifs de lave-mains installés. Dans les salles, la distanciation physique entre apprenants est respectée et la plupart des écoliers ont porté leurs masques. « On a désinfecté les classes et je vais faire le tour tout à l’heure pour distribuer des cache-nez aux élèves qui n’en ont pas parce qu’on a reçu un important lot de l’un de nos partenaires », a rassuré la directrice du groupe, Mme Salimath Coulibaly Boukari.

Au complexe privé « La Fraternité », le défi du respect des mesures barrières est aussi relevé. Tous les élèves sont en masque et dans les classes la distanciation sociale est de rigueur.

Aussi bien au niveau des écoles publiques que dans les privés, l’on déplore un fort taux d’absentéisme des apprenants.

Par ailleurs, le président départemental des associations des parents d’élèves et étudiants de l’Atacora, rencontré fortuitement à l’école Urbaine centre, a déploré le « manque d’engouement de certains enseignants » ce premier jour de la reprise. « J’ai constaté avec désolation que plusieurs salles de classe étaient encore fermées après 08 heures », s’est plaint Mouyoré N’Tcha Pierre. Il a aussi appelé les parents d’élèves à mettre à la disposition de leurs enfants des cache-nez.

Le missionnaire Arif Mahmood appelle la communauté musulmane du Bénin au respect des mesures barrières

En prélude à la célébration de la fête de Tabaski qui d’ordinaire regroupe du monde, le missionnaire de la Jam’at islamique Ahmadiyya dans le département du Zou, Arif Mahmood, a appelé au respect strict des mesures barrières décrétées par le gouvernement, pour un festin, une célébration religieuse qui n’amplifie pas les risques de propagation du Coronavirus.

Pour le religieux, les restrictions à savoir, le respect de la distance physique entre les personnes, le lavage des mains et le nombre de personnes limité à cinquante participants pour toutes manifestations, doivent être rigoureusement observées. La célébration de l’Aïd-el Kebir encore appelé la fête du mouton, prévient-il, ne doit pas être un facteur social ou religieux qui favorise la propagation du Coronavirus.

Arif Mahmood a d’ailleurs rappelé que l’islam exige des croyants musulmans, le respect des lois, principes et décisions prises par les autorités du pays dans lequel réside tout bon musulman. « Pour notre vie, notre santé, nous avons intérêt à ce que la Tabaski se fête dans le strict respect des mesures barrières », a-t-il conseillé.

Plongeant dans l’histoire, le missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya, a rappelé qu’au temps du deuxième en 638, au moment où le calife Omar envahit la Syrie et la Palestine, une terrible épidémie de peste ravage le pays. Omar rassemble donc tous les chefs militaires et, après une longue conférence, l’avis des chefs de la tribu du Prophète est adopté. Se référant à l’interdiction faite par Mahomet de pénétrer dans un territoire où règne une épidémie,

Cette attitude selon le missionnaire, interprétée comme une des premières applications de l’isolement qui a fait ses preuves dans la riposte contre cette maladie contagieuse, doit servir de référence et conditionner l’attitude générale des musulmans aujourd’hui face au Covid-19,

Revenant à l’origine de la Tabaski, le religieux a insisté sur le fait que l’immolation d’une bête est un sacrifice qui est obligatoire pour ceux qui sont partis à la Mecque, selon le Coran. Le prophète Ibrahim, raconte Arif Mahmood, par dévotion et obéissance à Dieu, s’apprêtait à immoler son fils unique Ismaël, quand Dieu lui fit descendre un bélier qu’il a immolé en remplacement de son fils. Cette tradition fut donc perpétuée, pour rendre hommage à Dieu qui a soumis à l’homme, les animaux car Il dit dans le saint Coran : « Nous vous avons désigné les chameaux (et les vaches) bien portants pour certains rites établis par Allah », a cité le missionnaire.

« Cependant, celui qui n’a pas les moyens n’est pas obligé d’immolé un mouton, Dieu connaît la capacité de chacun. Si pour la cause de Dieu, vous trouvez que vous n’avez pas les moyens, alors que vous en disposez, Dieu vous vois aussi. Mais si effectivement vous n’avez pas de moyens, on n’est pas obligé de faire des prêts ou prendre des crédits. Il suffit de rester à la maison et de prier », a souligné Arif Mahmood, retraçant des passages du Coran qui en assurent la véracité des principes.

Les croyants musulmans seront invités à l’occasion de la fête de Tabaski à verser le sang sur le sol, non pas pour le souiller, mais pour le purifier, indique le missionnaire. « Le Sacrifice, en Islam, est une offrande pour l’amour de Dieu dans l’espoir de se purifier, de se rapprocher du Seigneur. C’est un acte de dévotion qui date des premières époques de la vie terrestre de l’espèce humaine », soutient Arif Mahmood.

Un porte-conteneur de 300m accoste pour la première fois à Bénin Terminal

Bénin Terminal a accueilli un porte-conteneurs long de 300 mètres, le plus gros navire reçu au Port de Cotonou.

Le « CCNI ARAUCO », un navire MAERSK de plus de 100 062 tonnes, battant pavillon hongkongais a accosté sur le quai N° 10 de Bénin Terminal.

L’embarcation provenant de Shangaï a une capacité de 8 700 conteneurs EVP (équivalent vingt pieds). Il a permis aux équipes de Bénin Terminal de procéder au déchargement de conteneurs destinés au Bénin et aux pays frontaliers et au chargement de conteneurs de produits d’exportation.

De plus, quatre autres navires du même genre sont également attendus dans les prochains jours sur les quais de Bénin Terminal. Et ce grâce aux actions conjointes du terminal avec la Port Autonome de Cotonou.

« Cette opération, fruit du partenariat entre le Port Autonome de Cotonou, MAERSK et Bénin Terminal, est le couronnement du plan de modernisation du terminal à conteneurs du port de Cotonou. Avec des investissements importants dans les équipements, les systèmes d’information, la formation du personnel, Bénin Terminal contribue à faire du port de Cotonou, un moteur du développement socio-économique du Bénin. » déclare Arnaud Jobard, Directeur d’exploitation de Bénin Terminal .

Le Bénin se dote d’un document de référence pour les violences basées sur le genre

Le guide d’accompagnement psychosocial des personnes victimes de violences basées sur le genre (VBG) a été validé ce jeudi 23 juillet à Grand-Popo, au cours d’un atelier organisé par l’ONG Médecins du monde Suisse, a appris l’agence Bénin Presse.

Référence en matière de prise en charge psychosociale des personnes victimes de violences basées sur le genre, ce guide qui se veut un document de bonnes pratiques à observer sur le plan national, a été revisité grâce à la volonté commune de l’Ong Médecins du monde (Mdm-Suisse) et de l’Unicef engagée à travers sa section protection de l’enfance.

Le document, d’une trentaine de pages est regroupé en trois chapitres. Il expose à grands trait les différents visages des violences basées sur le genre et leurs conséquences, l’accueil des victimes, la résolution des urgences puis le référencement et l’enquête sociale.

Elena Melanie, coordinatrice générale de Mdm-Suisse au Bénin a souligné que le document vise l’amélioration et la prise en charge des victimes, ainsi que le renforcement continu de capacités notamment au niveau des assistants sociaux afin qu’ils soient capables d’offrir un accompagnement psychosocial conforme aux standards. L’initiative du guide ajoute-t-elle, vient en réponse au constat selon lequel dans la quasi-totalité des unités de prise en charge, les assistants sociaux sont les premiers acteurs à accueillir et à orienter les victimes.

Les travaux de cet atelier ouvert par Noah Agbaffa-Padonou, conseiller technique au suivi des projets du ministère des Affaires sociales et de la Microfinance représentant le ministre, a connu la présence des cadres des ministères sectoriels, la commissaire adjointe de l’Office central de protection des mineurs, les représentants des Organisations de la Société civile et des assistants sociaux.

« Tout est pratiquement fin prêt pour le bon démarrage des épreuves du BEPC 2020 dans le Plateau », rassure Soumaïla Abiossè

Le Directeur départemental des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle (DDESTFP) du Plateau, Soumaïla Idohou Abiossè a, dans une interview accordée à l’ABP ce vendredi, indiqué que tout est pratiquement fin prêt pour le bon démarrage des épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session de juillet 2020 dans le département du Plateau.

Selon le DDESTFP, tout le matériel lourd est convoyé déjà dans chacun des douze (12) centres de  composition que compte le département du Plateau.

« La DEC nous a envoyé le matériel lourd et celui sensible. Le matériel lourd est convoyé déjà dans tous les centres de composition et celui sensible que constituent les épreuves,est déposé dans les commissariats », a indiqué Soumaïla Idohou Abiossè.

« Des instructions nécessaires ont été données aux chefs centres jeudi dernier pour assurer le bon déroulement de l’examen », a-t-il précisé.

Aux dires du directeur départemental, 6.609 candidats des deux sexes sont inscrits pour cet examen dans le Plateau. Comparativement aux années antérieures, le nombre de candidats inscrits au BEPC 2020 dans ce département a baissé. Une régression qui selon lui, est liée au taux d’admissibilité important enregistré l’année dernière dans le département et à certaines conditions de réduction de passage

Le Benin 2ème au classement CPIA 2020 de la Banque Mondiale

Le Bénin a réalisé un bon qualitatif dans l’évaluation des réformes politiques et institutionnelles selon le rapport Country Policy and Institutional Assessment (Cpia), publié par la Banque mondiale en passant de 3.5 en 2019 à 3.6 en 2020.

Le Bénin a réalisé des progrès significatifs dans quatre domaines particuliers, notamment la gestion économique, le secteur financier, la santé et les droits de propriété, a fait savoir Nathalie Picarelli, économiste à la Banque mondiale.

La gestion économique a été améliorée grâce à la publication de statistiques régulières et complètes sur la gestion de la dette, et l’introduction de budgets programmatiques soutenus par des progrès en matière de consolidation fiscale.

Le secteur financier quant à lui, a été rendu plus résilient grâce à l’harmonisation des réformes aux exigences des normes internationales. Un meilleur processus de planification du secteur de la santé a permis d’augmenter la note relative du capital humain.

En matière de droits de propriété il est à noter une meilleure transparence du système d’administration foncière.

Nathalie Picarelli a par ailleurs soutenu, que des efforts restent à faire dans tous les domaines, particulièrement pour maintenir les scores. Le Bénin, indique-t-on, devrait surtout se concentrer sur les pôles où  il a enregistré les scores les plus faibles, comparé à la moyenne des autres pays d’Afrique.

Ainsi, le pays devrait continuer à renforcer la profitabilité du système bancaire et l’inclusion financière en adoptant une meilleure politique d’inclusion pour les femmes et les filles. Une autre piste reste  le renforcement des systèmes de protection sociale et de retraites et la régulation du marché du travail.

1188 candidats planchent pour le BEPC au centre du CEG Le Méridien

L’examen du Brevet d’études du premier cycle(BEPC) session de juillet 2020, démarre lundi sur l’ensemble du territoire national, avec 1188 candidats attendus au centre de composition du CEG Le Méridien à Cococodji dans l’arrondissement de Godomey, commune d’Abomey-Calavia constaté l’Agence Bénin Presse.

Ils sont 1188 candidats dont 613 filles et 575 garçons inscrits dans ce centre,selon les statistiques fournies par les autorités dudit collège.

« Tout est fin prêt pour que les candidats composent dans les conditions optimales requises », ont indiqué les responsables du Centre.

Les derniers réglages liés aux ultimes révisions et rappels sont en cours dans les différentes matières, a-t-on constaté sur place.  » Nous sommes en train de mettre les dernières touches pour permettre aux candidats retardataires, de rattraper le train » a confié Cyprien Dossou, professeur des sciences physiques.

Pour Julienne, candidate, elle n’attend que le lundi pour composer sans crainte. » En ce qui me concerne, j’ai déjà revisité toutes les parties qui pourront me causer d’ennuis et je suis satisfait de mes professeurs qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Donc j’attends seulement le jour j  » a renchéri José, un autre candidat.

Précisons que les éléments du Groupement national des sapeurs-pompiers a effectué une descente sur les lieux, pour « s’assurer de ce que le centre est inondé ou non en ces périodes de pluie ». Mais le constat,indique-t-on, est rassurant pour la tenue effective de l’examen dans ce centre.

Kalalé: Un homme se fait amputer la main gauche par l’ex de sa femme

Les faits se sont déroulés à Bouca, dans la commune de Kalalé. Matchou Tchoumon, la trentaine environ s’est fait amputer la main gauche par Allou Guinnin son rival de la même tranche d’âge, lors d’une bagarre mardi dernier à Gnel-Gnonllè, un hameau de  l’arrondissement de Bouca, rapporte l’ABP.

Selon les faits rapportés, Allou Guinnin  âgé de 30 ans environ père de 05 enfants s’est retrouvé célibataire pour non-respect des obligations familiales. A en croire la source, la prise de psychotropes de façon incontrôlée aurait précipité le départ de son épouse avec laquelle il a eu cinq enfants. Celle-ci aurait donc décidé alors de se remarier officiellement avec le sieur Matchou Tchoumon dans le même village que son ex-époux.

Trois mois plus tard, Allou Guinnin  et ses frères ont exigé le retour de cette femme  dans leur foyer ce que le rival Matchou Tchoumon n’a pas accepté, a-t-on raconté. Ainsi, naît une bagarre entre ses deux rivaux. Lors de cet affrontement  Allou Guinnin, a réussi à totalement ôter, à l’aide d’une machette, la main gauche de son rival. Le père de la victime a aussi essuyé des coups de machette à la tête.

Matchou Tchoumon a été conduit à l’hôpital de zone Sounon Séro de Nikki pour des soins d’urgence. L’auteur de cet acte a quant à lui été déjà épinglé par les éléments du commissariat de Derassi.

L’organisation matérielle du CEP 2020 presque achevée dans le Mono

Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Mono, Lambert Bossou a, au détour d’un entretien avec l’ABP ce mercredi, souligné que tout est fin prêt pour le déroulement effectif de l’examen du certificat primaire, session de juillet 2020 dans le département où onze mille six cent trente-et- quatre (11 634) candidats sont attendus à ce rendez-vous.

En prélude à la tenue effective de cet examen, le directeur départemental des enseignements maternel et primaire (DDEMP), Lambert Bossou, a rassuré de la prise des dispositions pour un bon déroulement du CEP dans le Mono. « A la date d’aujourd’hui en ce qui concerne les préparatifs du CEP on peut dire que tout est fin prêt », a laissé entendre le DDEMP.

Pour ce qui est des dernières consignes à propos de cet examen qui ouvre les portes de l’enseignement secondaire aux apprenants, le directeur a précisé qu’une équipe de sa direction s’est rendue ce jour à la direction des examens et concours à Porto-Novo pour rencontrer l’équipe nationale chargée de l’organisation.

Dans le département du Mono, ils sont 11 634 candidats dont six mille deux cent soixante-et-un (6 261) filles attendus dans les cinquante (50) centres de composition dès le lundi prochain.

Avec l’avènement du coronavirus indique le DDEMP, « toutes les mesures sont prises pour le respect des gestes barrières dans les centres d’examen ».

A cet effet, les candidats seront un par table et il y aura un dispositif de lave mains par salle. De plus, souligne le directeur, « le département a bénéficié de 152 surveillants supplémentaires ».

Dans le Mono, le lancement départemental des épreuves du CEP 2020 aura lieu à l’école urbaine centre d’Athiémé.