Feu vert pour l’achèvement des infrastructures de santé au Bénin

Sous l’impulsion du Président Patrice Talon, le conseil des ministres, réuni mercredi, a activement délibéré et adopté des mesures clés pour finaliser les travaux de l’hôpital de zone de Tchaourou ainsi que ceux de six centres de santé d’arrondissement.

En effet, le gouvernement, dans un élan de progrès pour le secteur de la santé, a examiné avec minutie l’état d’avancement des projets de construction. Il en ressort que les taux d’exécution physique témoignent d’une progression significative, avec 52,70 % pour l’hôpital de Tchaourou et des taux impressionnants pour les centres de santé, oscillant entre 72 % et 94 %.

Toutefois, il convient de noter que l’achèvement de ces infrastructures essentielles a rencontré des obstacles, notamment des difficultés d’approvisionnement aggravées par l’inflation des prix de certains matériaux, une conséquence directe du conflit russo-ukrainien et des répercussions persistantes de la crise du COVID-19. Confrontées à ces aléas, les entreprises en charge des constructions ont sollicité un ajustement des coûts initialement prévus.

En réponse à cette sollicitation, le Conseil a marqué son accord pour une révision financière et a mandaté le ministre de la Santé pour mettre en œuvre toutes les actions requises afin d’assurer l’achèvement des travaux dans les délais les plus courts.

Par cette décision, le gouvernement réaffirme son engagement à améliorer l’accès aux soins de santé pour l’ensemble des citoyens, soulignant ainsi sa détermination à surmonter les défis économiques du moment.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de renforcer les infrastructures sanitaires du pays, garantissant ainsi une meilleure qualité de vie pour la population. En outre, elle reflète la résilience et l’adaptabilité du secteur de la santé face aux imprévus, tout en mettant en lumière la collaboration entre les différentes entités gouvernementales et les partenaires privés pour le bien-être commun.

Médecins sans vacances : Unis pour la santé au Bénin

Bassila, Bénin – Dans une initiative remarquable pour améliorer les soins de santé et réduire la mortalité maternelle et infantile, l’ONG Médecins sans vacances a récemment collaboré avec TeamEurope lors de leur visite à l’hôpital de Bassila, au Bénin. Cette visite s’inscrit dans le cadre de la Route de l’Europe, une série d’engagements visant à renforcer les infrastructures et les services de santé dans la région.

L’hôpital de Bassila, qui dessert une population vulnérable à la frontière du Togo, a bénéficié d’une série de rénovations et de formations, grâce à l’appui de Médecins sans vacances. Les travaux ont inclus la rénovation des locaux, la restructuration de la pharmacie, et la mise en place de formations pour le personnel médical.

TeamEurope et Médecins sans vacances s'associent pour revitaliser l'hôpital de Bassila, Bénin, avec des rénovations et formationsCes efforts conjoints visent à fournir un environnement plus sûr et des soins de qualité pour les patients, tout en améliorant les conditions de travail du personnel de santé. L’impact de ces projets est déjà visible, avec des améliorations notables dans la prise en charge globale des patients, en particulier des enfants et des mères.

La Route de l’Europe continue de tracer son chemin à travers le Bénin, en témoignant de l’engagement de l’Union européenne et de ses États membres à soutenir des projets qui améliorent directement la vie des citoyens béninois.

À propos de Médecins sans vacances : C’est une ONG qui forme un réseau dynamique de plus de 500 experts médicaux, paramédicaux et techniques en Belgique et en Afrique. Depuis plus de 40 ans, ils se consacrent à offrir des soins accessibles et de qualité, en accompagnant une quarantaine d’hôpitaux en Afrique sub-saharienne.

Discussions ouvertes sur la sexualité lors du WasexoTweetUp

Le 3 mai à Tori Bossito, une rencontre vibrante a eu lieu, marquée par l’audace et la sincérité des jeunes. En effet, le WasexoTweetUp a réuni les esprits curieux et engagés sous le hashtag Billis pour briser les chaînes des mythes et tabous sexuels qui entravent souvent le dialogue franc.

De plus, Les participants ont courageusement partagé leurs expériences, mettant en lumière les défis qu’ils affrontent dans leur vie quotidienne. Parmi eux, Clarisse a exprimé ses regrets face au manque d’éducation sur les menstruations, un sujet encore trop souvent enveloppé de silence.

Par ailleurs, les discussions ont abordé une variété de sujets, allant de l’éjaculation au consentement, soulignant la nécessité d’une compréhension plus profonde de ces aspects cruciaux de la sexualité humaine.

Le WasexoTweetUp à Tori Bossito a été un carrefour d'échanges francs sur les mythes et tabous sexuels pour les jeunesD’autre part, les facilitateurs, Ayihoun Epiphane et Akougbe Rachidatou Kawui, ont joué un rôle clé en guidant les échanges avec expertise et sensibilité. Ils ont mis en exergue l’importance du comportement responsable et du respect du consentement, des piliers essentiels pour des relations saines et respectueuses.

En conclusion, l’événement s’est conclu sur une note positive, avec des remerciements adressés à tous les participants pour leur ouverture d’esprit et leur volonté de s’engager dans ces conversations importantes.

Finalement, le WasexoTweetUp de Tori Bossito a non seulement fourni une plateforme pour l’éducation et le partage, mais a également renforcé la conviction que le dialogue ouvert est la clé pour surmonter les obstacles et favoriser une société plus informée et empathique.

Participation du Bénin à la lutte contre le paludisme

Le Royaume du Bénin a solennellement marqué, le 25 avril 2024, la dix-septième commémoration de la Journée Mondiale de lutte contre le Paludisme. Cette cérémonie, empreinte de gravité, s’est tenue à l’École Normale des Instituteurs d’Allada, sous l’égide du thème : “Accélérer la lutte contre le paludisme pour un monde plus équitable, équité en matière de santé, égalité du genre et droits humains”.

Une cérémonie d’inauguration d’envergure

La cérémonie d’inauguration, présidée par le Ministre de la Santé, le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, et honorée par la présence de l’Ambassadeur des États-Unis près le Bénin, Brian W. SHUKAN, ainsi que de nombreux dignitaires, a été l’occasion de lancer officiellement l’intégration du vaccin antipaludique au Programme Élargi de Vaccination (PEV).

Le Royaume du Bénin a solennellement marqué la dix-septième commémoration de la Journée Mondiale de lutte contre le PaludismeLa problématique du paludisme : un fléau persistant

Le paludisme demeure une affliction préoccupante, malgré son caractère évitable et guérissable. Le Professeur HOUNKPATIN a souligné l’ampleur de cette maladie, qui continue de peser lourdement sur la santé publique, en dépit des investissements conséquents de la communauté internationale.

En 2023, le Bénin a recensé des taux alarmants de paludisme, avec 17% des adultes et 39% des enfants de moins de cinq ans affectés, et un taux de mortalité de 106 décès pour 100.000 enfants. Face à cette urgence, le Bénin a intensifié ses efforts de lutte, notamment par la distribution de moustiquaires imprégnées et la chimioprévention chez les jeunes enfants.

La Malgré les avancées, le Bénin fait face à de nouvelles menaces, notamment la résistance aux médicaments et l’émergence de moustiques résistants aux insecticides. Ces défis renforcent la nécessité d’une action concertée et innovante.

L’espoir porté par le vaccin antipaludique

L’introduction du vaccin antipaludique représente un espoir considérable. S’inspirant des succès de la phase pilote en Ghana, au Kenya et au Malawi, le Bénin aspire à réduire significativement l’incidence du paludisme et à contribuer à l’objectif mondial de diminution de 90% d’ici 2030.

Le Ministre de la Santé a affirmé la fiabilité du vaccin, qui vient compléter mais non remplacer les mesures existantes, avant de procéder au lancement de la campagne de vaccination. Ainsi, le Bénin s’inscrit dans une démarche proactive, visant à garantir une meilleure protection sanitaire pour ses citoyens, en particulier les plus jeunes.

Don de sang: L’acte d’amour du Ministère de la santé du Bénin

Dans une démonstration remarquable de dévouement et de solidarité, les agents du Ministère de la santé du Bénin ont réaffirmé leur engagement indéfectible à garantir l’accessibilité du produit sanguin. Le lundi 22 avril 2024, marquant le deuxième anniversaire du véhicule de collecte de sang moderne, offert par la Fondation Claudine TALON, a vu une participation massive des agents à l’acte altruiste de don de sang.

Le deuxième anniversaire du véhicule de collecte de sang moderne a vu une participation massive des agents à l’acte altruiste de don de sang.La vision du Professeur Benjamin HOUNKPATIN sur l’importance du don de sang

Le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, éminent chef du département de la santé et praticien éclairé, souligne l’importance cruciale du sang dans les situations d’urgence. Fervent défenseur de cette cause vitale, il a également renouvelé son appel à l’action, incitant ses collègues à se joindre à lui dans cette noble quête pour sauver des vies. L’appel a été largement entendu, résultant en une collecte fructueuse.

Depuis deux ans, le véhicule de collecte, un don généreux de la Fondation Claudine TALON, s’est avéré être un outil indispensable. Le Dr Ourou Bagou YOROU CHABI, Directeur Général de l’ANTS, a présenté des données convaincantes attestant de l’impact significatif de ce dispositif moderne dans la collecte du sang.

La représentante de la Fondation Claudine TALON a exprimé sa satisfaction quant à la qualité du partenariat établi avec l’ANTS, un partenariat qui se renforce continuellement au bénéfice des communautés.

En conclusion de cette journée mémorable, le véhicule de collecte a quitté les locaux du Ministère de la santé, emportant avec lui de nombreuses poches de sang, témoignages de l’amour et de la générosité des agents du ministère.

Sensibilisation contre les violences basées sur le genre

Dans un effort concerté pour éradiquer les violences basées sur le genre dans les milieux universitaires et hospitaliers, le Ministre de la Santé, le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, accompagné de ses collègues des Affaires Sociales, Madame Véronique TOGNIFODÉ, et de l’Enseignement Supérieur, Madame Éléonore YAYI LADEKAN, ainsi que la Présidente de l’Institut National de la Femme, Madame Huguette BOKPÈ GNANCADJA, ont consacré l’après-midi du jeudi 12 avril 2024 à une sensibilisation approfondie.

L’école et l’hôpital : Sanctuaires du savoir, mais Pas à l’abri des violences

En effet, loin d’être des havres de paix, les établissements d’enseignement et les hôpitaux sont parfois le théâtre de violences insidieuses. Dans une démarche alliant sensibilisation et fermeté, les ministres du Gouvernement et la Présidente de l’Institut National de la Femme ont repoussé les limites de l’ignorance concernant la loi sur la prévention et la répression des infractions liées au genre.

La vertu de cette initiative a rassemblé des centaines d’apprenants ainsi que le corps professoral de la Faculté des Sciences de la Santé, de l’INMES et d’autres entités du secteur de la santé. L’objectif ? Susciter une prise de conscience collective à tous les niveaux de la chaîne du savoir.

Sensibilisation contre les Violences Basées sur le Genre : Ministres et Universitaires unis pour un changementSensibilisation sur le manifeste : Éthique de l’enseignant et devoir de dénonciation

À l’issue de ces échanges, un « Manifeste » a été adopté, mettant en avant deux résolutions majeures. Tout d’abord, l’éthique de l’enseignant éducateur : un rappel essentiel de la responsabilité morale et professionnelle qui incombe à ceux qui forment la relève. Ensuite, le devoir de dénonciation de l’apprenant harcelé : une mesure cruciale pour briser le silence et protéger les victimes.

Lors de son intervention liminaire, le Ministre de la Santé a souligné la préoccupation grandissante concernant le harcèlement dans les milieux universitaires et hospitaliers. « Nous formons la relève, principalement des apprenantes. Malheureusement, un mal insidieux sévit, demeurant un sujet tabou qui affecte le moral et la psychologie de ces âmes innocentes. Comment éviter de créer des traumatisés à vie ? », s’est-il interrogé.

La Présidente de l’INF clarifie les dispositions légales

La Présidente de l’Institut National de la Femme a mis l’accent sur les dispositions légales encadrant ces actes entre apprenants et enseignants. « Les cas de harcèlement sexuel ou de viol provoqués par des enseignants à l’égard des étudiantes relèvent de la compétence de la CRIET. En cas de harcèlement de l’enseignant envers l’apprenante, la peine encourue est de 3 à 5 ans, assortie d’une amende de 1 à 5 millions. Toute liaison amoureuse entre enseignant et apprenante est interdite, sans distinction de consentement. En cas de relation amoureuse, l’enseignant s’expose à une peine minimale d’un an. En cas de viol, la peine minimale est de 5 ans », a-t-elle précisé.

Les débats qui ont suivi ont permis à chaque acteur de mieux comprendre le contenu de la loi et de prendre des résolutions idoines pour sa mise en œuvre. En plus, les apprenants et les parents d’apprenants doivent dénoncer toute situation de harcèlement en appelant le numéro d’écoute de l’INF, le 51.07.88.88.

Coopération Canada-Bénin : renforcement des soins de santé

Le Ministre canadien du Développement International, Monsieur Hussen Ahmed, a récemment effectué une visite au Bénin, accompagné d’une délégation de haut niveau. Cette délégation comprenait Chéryl Urbain, sous-ministre adjointe du Canada pour l’Afrique subsaharienne, et Lee-Anne Herman, Ambassadrice du Canada au Bénin et au Burkina Faso.

Visite du Ministre canadien du Développement International au Bénin : Renforcement de la Coopération dans le Secteur de la SantéRenforcement des Soins de Santé Primaires grâce à la Coopération Canada-Bénin

Lors de cette visite, le Ministre Hussen a eu l’occasion de rencontrer des responsables béninois et de visiter plusieurs institutions clés.  En effet, accompagné du Directeur de Cabinet du Ministère de la Santé et du Directeur du CHU MEL, le Ministre Hussen a visité le Centre Intégré de Prise en Charge des Victimes de Violences Basées sur le Genre (CIPEC) . Ce centre joue un rôle crucial dans la prise en charge holistique des victimes de violences basées sur le genre au Bénin.

Grâce à l’appui du Canada et en partenariat avec Médecins du Monde, l’UNICEF accompagne les trois CIPEC du Bénin. Leur mission est de renforcer les dispositifs de lutte contre les VBG (violences basées sur le genre) dans le pays.

Échanges Multilatéraux pour un Monde Plus Prospère

Par ailleurs, le Ministre Hussen a discuté des axes de coopération avec le Ministre de la Santé béninois, Benjamin Hounkpatin. Ils ont abordé des domaines stratégiques tels que la résilience climatique, la gouvernance et le renforcement des ressources humaines. Un point d’attention a été mis sur la mise en place des centres de simulation, visant à améliorer la formation professionnelle et l’insertion socioprofessionnelle dans le domaine de la santé.

En outre , Le Ministre Hussen a eu des Échanges Multilatéraux  en rencontrant  des représentants des Nations Unies, de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement. Ils ont échangé des points de vue sur des questions clés en matière de développement. Des discussions ont également eu lieu avec des membres d’organisations de la société civile, mettant l’accent sur la dignité humaine, l’égalité et l’inclusion.

En conclusion, cette visite a renforcé la coopération entre le Canada et le Bénin dans le secteur de la santé. Le Ministre Hussen a exprimé l’engagement continu du Canada envers l’Afrique et sa volonté de contribuer à un monde plus prospère pour tous et toutes.

L’Avortement sécurisé, droits humains et traditions en débat

Le 11 avril, une table ronde d’envergure a débuté au Bénin, réunissant des experts et des spécialistes pour discuter de questions cruciales liées à l’avortement sécurisé, aux droits humains et aux traditions. Cette conférence, qui se poursuivra jusqu’au 13 avril, vise à sensibiliser le public et à explorer les moyens de diffuser efficacement l’information sur l’avortement auprès des populations.

Les Enjeux

1. L’Avortement Sécurisé

En effet, l’avortement sécurisé est un sujet complexe et sensible. Les participants ont souligné l’importance de garantir des procédures médicales sûres et accessibles pour les femmes qui font face à des grossesses non désirées. Les droits des femmes à prendre des décisions éclairées concernant leur propre corps ont aussi été au cœur des discussions.

2. Droits Humains et Traditions

La coexistence des droits humains et des traditions culturelles a été un point central des débats. Comment concilier les pratiques traditionnelles avec les droits fondamentaux des individus, en particulier ceux des femmes ? Les intervenants ont également exploré des approches qui respectent les valeurs culturelles tout en protégeant les droits individuels.

Leviers pour la Sensibilisation

Par ailleurs, Les spécialistes ont identifié plusieurs leviers pour faire passer l’information sur l’avortement auprès des populations :

  1. Approche basée sur les Droits Humains : Mettre en avant les droits des femmes à l’autodétermination et à la santé reproductive. Sensibiliser sur les conséquences néfastes de l’interdiction ou de l’accès restreint à l’avortement.
  2. Approche basée sur la Santé Publique : Mettre en évidence les avantages d’une politique d’avortement sécurisé en termes de santé maternelle et de réduction des risques. Souligner les bénéfices pour la société dans son ensemble.

En conclusion, cette table ronde offre une opportunité précieuse pour échanger des idées, promouvoir des solutions équilibrées et œuvrer vers un accès équitable à l’information sur l’avortement. Le Bénin, en tant que nation en développement, peut tirer parti de ces discussions pour améliorer la santé et les droits des femmes.

Renforcement des liens sanitaires entre le Bénin et le Canada

 La coopération sanitaire entre le Bénin et le Canada connaît une impulsion remarquable, témoignant d’une résolution commune à propulser les indicateurs de santé vers de nouveaux sommets. Lors d’une visite officielle au Bénin, l’éminent Ministre du Développement International du Canada, l’Honorable Ahmed HUSSEN, a tenu des pourparlers le 2 avril 2024 avec le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, éminent chef du département de la santé béninois.

Une Réforme salutaire dans les domaines de la santé

En effet, le secteur de la santé béninois, engagé dans un processus de réformes transformatrices, vise à révolutionner l’expérience sanitaire des citoyens. En compagnie de l’Honorable HUSSEN, le Ministre HOUNKPATIN a dévoilé les contours d’une stratégie de développement sanitaire ambitieuse.

Ensemble, ils ont exploré des domaines de coopération stratégique, notamment la résilience climatique et l’amélioration des soins de santé primaires, tout en mettant l’accent sur la gouvernance et le développement des ressources humaines, notamment par l’établissement de centres de simulation.

Ces échanges prometteurs entre les deux dignitaires ouvrent la voie à des avancées significatives dans le partenariat entre les deux nations.

Un Engagement multisectoriel

Avant cette rencontre au sommet, le Ministre HUSSEN a visité le Centre Intégré de prise en charge des victimes de violences basées sur le genre (CIPEC-VBG) du CHUMEL, où il a pu constater les progrès accomplis dans l’offre d’une prise en charge holistique des victimes. Cette initiative s’inscrit dans une démarche multisectorielle visant à apporter une réponse globale à ce fléau contemporain.

En outre, lors d’une visite guidée du CIPEC-VBG, diverses personnalités, dont le Directeur de Cabinet du Ministre de la santé, l’Ambassadrice du Canada, et la Représentante résidente de l’UNICEF, ont salué l’excellence du travail réalisé, soulignant l’importance cruciale de cette institution et la nécessité d’un soutien conséquent pour accomplir sa noble mission.

La session de travail a également mis en lumière les performances des antennes départementales du CIPEC-VBG, avec un consensus sur l’urgence d’étendre la prise en charge à l’échelle nationale, garantissant ainsi une égalité des chances pour toutes les victimes et une amélioration des performances sanitaires du Bénin.

 

Innovation médical : Un scanner avancé pour l’Ouémé

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Conseil des Ministres de la République s’est réuni ce mercredi 3 avril 2024, sous l’égide du Président Patrice TALON. L’ordre du jour était marqué par un engagement fort pour la santé publique : l’acquisition d’un scanner de pointe pour le Centre hospitalier départemental de l’Ouémé à Porto-Novo.

Cet équipement, un scanner 64 barrettes/128 coupes avec option cardio, représente une pierre angulaire dans la politique de modernisation des infrastructures médicales nationales. Après l’installation d’unités similaires au Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou MAGA et au Centre hospitalier universitaire départemental du Borgou, c’est au tour de l’Ouémé de bénéficier de cette technologie avancée.

La présence de ce scanner augmentera considérablement les capacités diagnostiques de l’établissement, permettant une identification plus précise et rapide des pathologies complexes. Les patients de la région, qui jusqu’à présent enduraient des démarches fastidieuses pour de tels diagnostics, verront leur parcours de soins grandement facilité.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté gouvernementale de réduire les inégalités d’accès aux soins de haute technicité. Par ailleurs, Le ministre de la Santé doit veiller à l’exécution rigoureuse et dans les délais impartis de cette contractualisation essentielle.

La population de l’Ouémé envisage désormais l’avenir avec sérénité, car elle sait que son centre hospitalier dispose des équipements nécessaires pour relever les défis médicaux de demain. C’est un pas de plus vers un système de santé robuste et équitable, garant de la dignité humaine et du droit à la santé pour tous.

Initiative sanitaire 2024 : Vers une distribution équitable des soins

Dans une démarche résolue vers l’amélioration des services de santé publique, le Conseil des Ministres, présidé par Monsieur Patrice TALON, a annoncé une initiative audacieuse le mercredi 3 avril 2024. Cette initiative vise à pallier le déficit de personnel dans les formations sanitaires publiques par le recrutement de sept cent-quatre-vingt-seize (796) agents contractuels de droit public.

Un engagement continu pour la santé publique

Dans le cadre du Programme d’Action du Gouvernement 2021-2026, l’État avait déjà prévu le recrutement de 3.000 agents au sein du ministère de la Santé. Par ailleurs, le gouvernement  a consenti un effort particulier en mettant en place un recrutement spécial de 1.600 agents, ce qui a permis l’intégration de 1.331 professionnels de santé, y compris 234 médecins ainsi que 588 infirmiers et sages-femmes. Cette initiative a significativement renforcé les capacités du secteur de la santé, en augmentant le nombre de professionnels disponibles pour fournir des soins de qualité à la population.

Une réponse aux inégalités de répartition dans le domaine sanitaire

Malgré ces efforts, une iniquité dans la répartition des agents de santé persiste, entraînant une couverture insuffisante dans certaines communes. Pour remédier à cette situation, le Conseil a opté pour une stratégie innovante : le recrutement d’agents contractuels de droit public des collectivités territoriales décentralisées dès 2024.

Une stratégie de proximité dans le  domaine sanitaire

Ces agents, par leur statut, seront rattachés aux communes de leur recrutement, assurant ainsi une meilleure répartition des ressources humaines et une stabilité accrue du personnel dans les postes assignés. Cette mesure est une garantie de la couverture adéquate des besoins locaux en matière de santé.

Vers une Mise en Œuvre Rigoureuse

Le Conseil a instruit les ministres concernés de veiller à l’organisation méticuleuse de ce recrutement. L’année 2024 marquera donc le début de cette nouvelle phase cruciale pour le renforcement des capacités des formations sanitaires publiques, avec l’espoir d’une amélioration tangible de l’accès aux soins pour tous les citoyens.

 

Sécurité des patients au Bénin : lancement d’une initiative nationale

Cotonou, 28 mars 2024 — Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Ministre de la Santé, Professeur Benjamin HOUNKPATIN, a inauguré, en grande pompe, le nouveau dispositif national pour la sécurité des patients. Cette initiative, annoncée au cœur de la capitale, s’inscrit dans une volonté de réforme profonde des établissements sanitaires béninois.

L’Engagement du Gouvernement pour la Santé

En présence de figures éminentes telles que Monsieur Raphaël AKOTEGNON, en charge de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale, ainsi que des représentants de l’Organisation Mondiale de la Santé et de Enabel, cette cérémonie marque un tournant décisif. Elle souligne l’engagement sans faille du gouvernement à promouvoir une prise en charge médicale exempte de tout risque évitable.

Face aux défis relevés par l’Autorité de Régulation de la Santé, notamment les conclusions de la Commission technique et les retours d’inspections, le dispositif se veut être le remède aux maux affectant la sécurité des patients. Il représente un ensemble cohérent de mesures visant à garantir l’excellence des soins prodigués.

Professeur Benjamin HOUNKPATIN, a inauguré, en grande pompe, le nouveau dispositif national pour la sécurité des patientsLa vision du Président de l’ARS pour la Sécurité des patients

Pour le Dr Lucien DOSSOU-GBETE, président de l’ARS, ce lancement symbolise un nouveau départ pour tous les acteurs de la santé. Il appelle à une mobilisation générale pour ériger la sécurité des patients en priorité absolue, illustrant cette ambition par une métaphore ferroviaire : le passage de la “gare de l’insécurité” à la “Porte de la qualité”.

Le dispositif ne se cantonne pas à la prévention des erreurs médicales, il promeut également une culture de l’erreur constructive et une écoute active des patients, partenaires de leur santé.

Le Ministre de la Santé a souligné l’importance de ce cadre institutionnel qui permettra l’application de normes strictes à tous les niveaux de la pyramide sanitaire, assurant ainsi une prise en charge sûre et efficace pour chaque patient.

Un appel à l’action, évaluations et perspectives pour la Sécurité des patients

En conclusion, le Ministre a exhorté tous les acteurs du système de santé à rejoindre ce mouvement vers une meilleure qualité des soins, essentielle pour atteindre la couverture sanitaire universelle.

Le Bénin prévoit une évaluation complète du dispositif en décembre 2024 pour mesurer l’impact des changements sur chaque établissement sanitaire du pays. Cette démarche souligne l’engagement continu du pays envers la santé de ses citoyens.

Professeur Benjamin HOUNKPATIN, a inauguré, en grande pompe, le nouveau dispositif national pour la sécurité des patientsConsolidation et accompagnement : les prochaines étapes

Le Président de l’ARS, Dr Lucien DOSSOU-GBETE, a mis en lumière la stratégie à venir : « Le reste de l’année 2024 sera mis à profit pour déployer, contrôler et recontrôler avant d’évaluer. Alors, nous aurons une version définitive et consensuelle des 2 manuels ». Cette phase de consolidation est cruciale pour assurer l’efficacité et la pérennité du dispositif.

En somme , les partenaires internationaux, témoins de cette avancée, ont réaffirmé leur soutien continu pour l’atteinte des objectifs fixés. Leur accompagnement est un gage supplémentaire pour le succès de cette entreprise ambitieuse.

Bénin: L’Élan Innovant de la Santé Communautaire

Quelques mois seulement après son inauguration officielle à Nikki, la phase pilote de la politique nationale de santé communautaire a déjà engendré des retombées bénéfiques palpables pour les populations. Lors d’une inspection sur le terrain menée par le Ministre de la santé, Pr Benjamin HOUNKPATIN, et la Représentante résidente de l’UNICEF, Djanabou MAHONDE, à Banikoara et Nikki les 14 et 15 mars 2023, un sentiment de fierté et une motivation renouvelée étaient manifestes chez les habitants.

Satisfaction populaire et progrès sanitaire

En effet, les citoyens, premiers bénéficiaires de cette initiative gouvernementale, ont exprimé leur contentement face aux améliorations notables. La politique de santé communautaire leur a offert un ensemble de services préventifs, promotionnels et curatifs de haute qualité. « La sensibilisation aux pratiques saines a transformé notre quotidien, protégeant nos enfants et nous-mêmes grâce à l’adoption de mesures préventives. » Nous avons pris conscience que les maladies et les décès fréquents sont souvent dus à la négligence de ces mesures essentielles. Cette politique nous a aussi aidés à saisir l’importance de suivre le calendrier vaccinal, confie dame Aissatou M., résidente de Nikki.

Quelques mois seulement après son inauguration officielle à Nikki, la phase pilote de la politique nationale de santé communautaire a déjà engendré des retombées bénéfiques palpablesQuelques mois seulement après son inauguration officielle à Nikki, la phase pilote de la politique nationale de santé communautaire a déjà engendré des retombées bénéfiques palpablesUn soutien quotidien renforcé par les agents de la santé communautaire

Dans des localités telles que Gabourou, Gourou et Biro, cette initiative a permis aux familles de mieux s’équiper pour se protéger contre les maladies et de signaler rapidement tout problème de santé aux agents communautaires, ce qui garantit une prise en charge médicale précoce et appropriée.

En outre, les relais communautaires et les agents de santé communautaires qualifiés (ASCQ) sont les piliers de cette entreprise, menant une multitude d’activités telles que les visites à domicile, les discussions éducatives et les campagnes de sensibilisation.

Engagement et reconnaissance ministérielle

À chaque étape de sa tournée, le ministre de la santé a également exprimé sa grande estime pour l’excellent travail accompli par ces dévoués professionnels de la santé. « Votre rôle est crucial pour prévenir la maladie et assurer une réaction rapide en cas d’urgence sanitaire. » Vous êtes les véritables acteurs d’une approche One Health, qui conjugue la santé humaine, animale et environnementale, a souligné le ministre HOUNKPATIN.

Vers une généralisation de la politique de santé

Par ailleurs, le ministre a pris l’engagement de répondre aux demandes soulevées durant sa visite et a encouragé tous les acteurs à persévérer dans leurs efforts pour être les ambassadeurs de cette politique prometteuse, qui s’apprête à entrer dans une phase d’expansion nationale.

Madame Djanabou MAHONDE de l’UNICEF a réitéré son soutien indéfectible au gouvernement, affirmant sa volonté de collaborer étroitement pour faire du Bénin un modèle de réussite dans le secteur de la santé publique.

Une Nouvelle Ère pour la Santé Communautaire au Bénin

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, la République du Bénin a franchi un cap significatif dans l’amélioration de sa politique de santé publique. En effet, 416 Agents de Santé Communautaires Qualifiés (ASCQ) ont rejoint les rangs des professionnels de la santé, marquant ainsi le début d’une ère nouvelle dans le projet ambitieux intitulé « Combler les écarts : santé communautaire, ressources humaines et nutrition ».

Ces agents, sélectionnés avec rigueur, ont entamé leur parcours par une séance d’information et d’orientation d’envergure orchestrée par le Ministère de la Santé dans les villes de Cotonou, Bohicon et Parakou.

La vision stratégique du gouvernement béninois pour la santé

Depuis le 6 mai 2020, le Gouvernement béninois, conscient de l’importance cruciale de la santé pour chaque citoyen, a adopté une politique publique de santé communautaire visionnaire. Par ailleurs, l’objectif de cette politique est de garantir à chaque foyer béninois l’accès à des soins communautaires intégrés, couvrant les aspects préventifs, promotionnels et curatifs, tout en établissant un système d’alerte efficace pour prévenir les épidémies.

la République du Bénin a franchi un cap significatif dans l'amélioration de sa politique de santé publiqueUn recrutement stratégique pour pallier le déficit de ressources humaines

Face à un déficit de ressources humaines dans le secteur de la santé, le recrutement d’ASCQ s’est imposé comme une nécessité impérieuse pour la réussite de cette politique nationale. C’est ainsi qu’en décembre 2023, le Ministère a initié un recrutement national d’ASCQ, grâce au soutien financier de la Banque Islamique de développement, complété par une subvention du comité LLF et un engagement financier du gouvernement béninois.

L’engagement du Ministère envers les ASCQ

Le 15 mars 2024, le Secrétaire Général du Ministère de la Santé, Dr Ali IMOROU BAH CHABI, a officiellement lancé la session d’information et d’orientation pour les ASCQ nouvellement recrutés. Représentant le Ministre, il a aussi souligné l’importance capitale du projet pour le gouvernement et a encouragé les bénéficiaires à faire preuve d’une attention et d’un dévouement exemplaires.

Les objectifs clés de la séance d’orientation

Dr Anita WADAGNI, coordonnatrice du projet LLF, a mis en lumière les objectifs de la séance d’orientation : équiper les ASCQ des informations essentielles relatives au projet, clarifier leurs missions et responsabilités au sein de la communauté, définir les conditions d’engagement, rappeler les principes déontologiques du métier, présenter les outils et kits à disposition ainsi que les modalités d’utilisation, et enfin, détailler les sites d’affectation avec leurs spécificités.

Vers une Couverture Maladie Universelle

Le projet LLF s’inscrit dans une démarche globale visant à améliorer l’offre de services de santé, avec pour horizon la réalisation d’une couverture maladie universelle pour tous les Béninois d’ici 2025. Cette initiative marque un tournant décisif dans la politique de santé du Bénin, promettant un avenir où chaque citoyen bénéficiera d’une prise en charge sanitaire de qualité.

Bénin : Vers une meilleure prise en charge des grands brûlés

Le Conseil des Ministres, sous la présidence de Son Excellence Patrice Talon, a pris une décision cruciale ce mercredi 13 mars 2024 visant à améliorer les infrastructures de santé au Bénin. Dans un élan de réponse aux tragiques accidents survenus en 2023, le gouvernement a décidé d’actualiser les études architecturales et techniques pour l’extension de l’hôpital de la zone Allada/Toffo/Zé.

Une nécessité accrue et un projet redimensionné pour le bien des grands brûlés

Les études initiales prévoyaient une extension de la capacité de l’hôpital de 65 à 150 lits, incluant un service des grands brûlés de six lits et un service de traumatologie de huit lits. Cependant, face à l’augmentation des cas sévères de brûlures, il est devenu impératif de revoir ces plans pour répondre aux normes internationales et accueillir davantage de patients.

Le projet révisé envisage désormais un service des grands brûlés doté de seize lits et un service de traumatologie avec douze lits. Cette expansion significative permettra de fournir des soins spécialisés et de qualité aux victimes de brûlures graves, reflétant l’engagement du gouvernement à améliorer les services de santé pour ses citoyens.

Pour assurer la continuité et l’expertise dans la réalisation de ce projet vital, le Conseil a également renouvelé sa confiance au cabinet japonais dirigé par l’architecte Endo Takeshi, qui avait déjà mené à bien les premières études. Cette décision témoigne de la volonté de capitaliser sur les travaux existants et de poursuivre le développement des infrastructures de santé avec des partenaires éprouvés.

Vers un avenir plus sûr

L’actualisation de ce projet d’extension est un pas de plus vers un avenir où la capacité de réponse aux urgences médicales est renforcée. Le Bénin se positionne ainsi comme un exemple dans la région, prêt à offrir des soins de haut niveau à ses habitants et à répondre efficacement aux défis sanitaires de demain.

Rencontre Cruciale pour la Santé Maternelle et Infantile au Bénin

Cotonou, Bénin Dans un effort concerté pour faire face aux défis urgents de la santé maternelle, néonatale et infantile, les parlementaires béninois ont récemment tenu une série de discussions fructueuses avec les représentants de l’UNICEF France. En effet, cette initiative marque un pas significatif vers l’amélioration des conditions de vie et de santé des mères et des enfants au Bénin.

Les parlementaires béninois ont récemment eu une rencontre avec les représentants de l'UNICEF France sur la santé maternelle et infantile.

Au cours de ces rencontres, qui se sont déroulées il y a quelques semaines, les deux parties ont mis en lumière les obstacles majeurs qui entravent le progrès dans ce domaine vital. En outre, les échanges ont permis de dresser un état des lieux précis et de définir les priorités d’action pour les mois et les années à venir.

Les participants ont unanimement réaffirmé leur engagement à collaborer étroitement. « Il est impératif que nous unissions nos forces pour surmonter les défis qui persistent autour de la santé des mères et de leurs enfants », a déclaré un parlementaire béninois, soulignant l’importance de cette solidarité.

Par ailleurs, l’UNICEF, reconnu pour son expertise et son engagement envers les droits de l’enfant, apporte un soutien crucial à cette cause. Les représentants de l’organisation ont exprimé leur volonté de continuer à travailler main dans la main avec les autorités béninoises pour garantir que chaque enfant puisse bénéficier d’un départ sain dans la vie.

Cette rencontre est un rappel puissant que la santé maternelle et infantile reste une priorité absolue et que des efforts constants sont nécessaires pour assurer un avenir meilleur pour les générations futures au Bénin.

Lancement d’un pôle d’excellence en ophtalmologie au Bénin

Le Conseil des ministres, réuni ce mercredi 14 février 2024, a choisi de confier à un cabinet spécialisé la mission de maîtrise d’œuvre complète pour la mise en place des infrastructures du pôle d’excellence en ophtalmologie dans divers établissements hospitaliers. Ce projet vise à améliorer la prise en charge des maladies oculaires et à renforcer les capacités des professionnels de la santé.

La réalisation des infrastructures du pôle d’excellence en ophtalmologie se fera dans les centres suivants :

– le centre national hospitalier universitaire Hubert Koutougou MAGA

– les centres hospitaliers universitaires départementaux de l’Ouémé et du Borgou

— Ainsi qu’au centre hospitalier universitaire de la zone sanitaire de Cotonou 2 et 3.

Par ailleurs, ces centres auront des équipements médicaux de pointe, des salles d’opération, des laboratoires, des unités de formation et de recherche, ainsi que des services administratifs et logistiques.

En outre, le cabinet spécialisé chargé de la mission de maîtrise d’œuvre devra effectuer les études de conception architecturale, les études d’impact environnemental et social, la surveillance et le contrôle des travaux ainsi que le suivi et l’évaluation du projet. Le coût et la durée du contrat n’ont pas été communiqués.

Le Gouvernement a souligné que ce projet participait à la modernisation du plateau technique et constituait une solution pour optimiser les ressources matérielles, financières et humaines. De même, il a indiqué que la réalisation de ces infrastructures allait élever la qualité des services de soins offerts aux populations en facilitant entre autres la référence et la contre-référence. Il a réaffirmé son engagement de promouvoir la santé publique et de réduire les inégalités d’accès aux soins.