En prélude à une notation financière : L’Agence WARA échange avec WADAGNI et ses collaborateurs

« Cette notation financière est très importante puisqu’elle permet aux investisseurs de pouvoir investir au Bénin sur la base de critères qui sont définies, qui sont cadrées et qui sont les mêmes pour tous les pays » a expliqué Madame Maryse LOKOSSOU, Conseillère technique aux financements internationaux du MEF.

Le Ministre de l’Économie et des Finances Romuald WADAGNI, assisté de ses collaborateurs, a reçu le mardi 12 novembre dernier à Sèmè City, une mission de l’Agence régionale de notation financière (WARA). Cette dernière séjourne au Bénin dans le cadre d’un processus de notation financière du pays.

Tout comme le Fonds Monétaire International (FMI) qui fait ses revues saisonnières, le Bénin s’exerce à se faire évaluer par des agences de notation financière qui sont des structures totalement indépendantes. C’est dans ce cadre que s’inscrit la démarche avec l’agence WARA qui travaille sur le Bénin après d’autres agences internationales et régionale. Il s’agit, d’une visite de terrain en vue d’une revue des agrégats macroéconomiques et des fondamentaux structurels de l’économie Béninoise.

Cette revue donnera lieu à un  rapport qui sera publié sur les sites de l’agence, les canaux officiels du Bénin et qui peut être consulté par tous. Partant, il s’est agi d’une séance où les responsables de divers départements du Ministère de l’économie et des finances sous la coupole de Romuald WADAGNI ont communiqué des informations sur la santé économique et financière du Bénin. En fait, cette action s’inscrit dans la volonté de transparence dans la gouvernance prônée par l’exécutif vis-à-vis de ses concitoyens et des partenaires financiers régionaux et internationaux.

Selon Mohamed Amine SABIBI, aux termes de la séance avec le Ministre de l’économie et des finances, il y a des motifs de satisfaction avec le Bénin. «Nous avons retenu de cette rencontre, plein de points dont nous nous réjouissons. Il y a d’abord l’avancée que l’Etat du Bénin a réalisé sur ses fondamentaux macroéconomiques, notamment sur ses projets d’investissement et sur un développement inclusif qui met l’être humain au centre du développement de l’Etat » a-t-il affirmé. La prochaine étape pour  WARA est de finir le management meeting puis rédiger la note de cette année en fonction de son modèle et d’après les informations recueillies dans le processus. Ensuite l’agence reviendra l’année prochaine pour une revue annuelle de la notation du Bénin.

Maryse LOKOSSOU, Conseillère technique aux financements internationaux du Ministre de l’économie et des finances a rappelé que le Bénin a déjà plusieurs fois fait ce genre d’exercice qui le positionne dans le trio de tête des pays de l’Union Économique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA), au même niveau que la Côte-d’Ivoire et le Sénégal.  « Cette notation financière est très importante puisqu’elle permet aux investisseurs de pouvoir investir au Bénin sur la base de critères qui sont définies, qui sont cadrées et qui sont les mêmes pour tous les pays » a-t-elle expliqué.

Fermeture des frontières nigérianes : Rencontre entre le Bénin, le Niger et le Nigéria à Abuja

Au dernier sommet extraordinaire des Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest, le 8 novembre 2019 au Niger, il a été acté une rencontre entre les Etats du Bénin, du Niger et du Nigéria pour discuter de la fermeture des frontières. Ce jour, la rencontre a eu lieu à Abuja. Il s’agite d’une réunion de haut niveau entre les représentants des deux nations.

Depuis le 20 août 2019, Abuja a décidé de fermer ses frontières avec les pays limitrophes. La raison officiellement avancée est la lutte contre la contrebande et le trafic. La situation perdure et la résolution de cette crise se fait désirer. L’impact économique sur le commerce et la recette douanière de cette fermeture des frontières se font sentir de part et d’autre.

En s’intéressant à cette situation fâcheuse entre les Etats, la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a, à sa dernière session extraordinaire, encouragé les pays concernés à dialogué pour trouver un accord. « La Conférence a été informée d’une réunion tripartite entre le Nigéria, le Bénin et le Niger pour trouver une solution, le 14 novembre 2019 à Abuja. Les Chefs d’Etat ont encouragé les parties à poursuivre les concertations en vue d’aboutir à un résultat acceptable pour toutes… » disait le communiqué final de la dernière session extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO.

Effectivement ce jeudi 14 novembre 2019, les parties concernées se sont retrouvée à Abuja au siège de la CEDEAO pour passer aux choses sérieuses afin de régler les questions qui fâchent. L’ordre du jour de la rencontre de ce jour est de mettre en place un comité tripartite Bénin-Niger-Nigeria qui va être un creuset permanent de discussion le temps que durera la fermeture.

Au regard de l’ampleur de la situation, chaque pays a fourni une délégation importante pour assurer les pourparlers. Quatre ministres ont représenté le Bénin. Il s’agit du ministre des Affaires étrangères, de l’Economie et des finances, de l’Intérieur et du Commerce. Abuja s’est fait représenter par les ministres des Affaires étrangères, de l’Information et de l’Intérieur pour le Nigeria. Le Niger quant à lui est représenté par ses ministres de l’Intérieur, du Commerce et de la promotion du secteur privé. Au thème de la rencontre il a été décidé la mise en place d’une équipe de patrouille commune composée des forces de sécurité police-armée, marine, douane des trois pays frontaliers

Célébration de la journée mondiale de l’aide humanitaire

Le directeur de cabinet du Ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, Baro Mora Ouarou, a présidé ce mercredi à Bopa, la célébration de la 11ème journée mondiale de l’aide humanitaire, à l’occasion de laquelle la Jama’ at islamique Ahmadiyya a fait don de vivre et autres aux familles des victimes du naufrage du 5 août dernier sur le lac Ahémé.

Cet important don composé de 50 kits scolaires, 20 gilets de sauvetage, 10 sacs de maïs de 100 Kg et 20 sacs de riz de 30 Kg est destiné aux familles et enfants dont les parents ont été victimes du naufrage du lundi 05 août dernier sur le lac Ahémé. Ce geste selon le missionnaire Ahmad Rana Farooq de la Jama’ at islamique Ahmadiyya du Bénin, est destiné à soutenir ces familles en détresse. Il a lancé un appel vibrant à la communauté nationale et internationale pour venir en aide aux enfants dont les parents  sont décédés.

Pour le préfet du département du Mono, Komlan Sena Sedzro Zinsou, la commémoration de la Journée mondiale de l’aide humanitaire a pour but de convier tout le monde à se battre pour réduire la souffrance et l’insécurité dans le monde en mettant en oeuvre des actions ou en adoptant des comportements qui sauvent des vies et préservent la dignité humaine. Il a remercié l’Agence nationale de protection civile (ANPC) pour son rôle important dans la coordination des secours à apporter aux populations sinistrées.

Dans de nombreuses régions du globe, a fait observer le directeur de cabinet du Ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, Baro Mora Ouarou, ce sont les femmes qui sont les plus grandes victimes des crises et catastrophes, et ce sont toujours les femmes, notamment les humanitaires, qui travaillent, parfois au péril de leur vie aux côtés des victimes. Elles accomplissent un travail de fourmis dans l’anonymat et sont très souvent prises pour cibles et considérées comme des menaces.  Il a de ce fait rendu hommage aux sapeurs-pompiers, aux personnels de santé et à ceux de la protection civile qui œuvrent inlassablement pour secourir et assister les nombreuses personnes victimes des crises et catastrophes au Bénin. Il a eu au cours de cette journée une pensée spéciale pour tous les naufragés, particulièrement les femmes disparues sur le lac Ahémé en Août dernier avec comme bilan 14 morts et cinq rescapés.

Le thème de la présente célébration est « les femmes qui travaillent dans le domaine de l’aide humanitaire sont à l’honneur ».

Solidarité nationale : Aide de plus de six millions F Cfa aux couches vulnérables

Au titre du secours national, le gouvernement du Bénin, à travers les services du ministère des affaires sociales, a apporté un appui financier à cent dix (110) personnes démunies.

Cette opération a eu lieu le 12 novembre 2019 et a eu pour cadre la mairie de la commune de Pobè. C’était en présence des autorités communales et celles des services des affaires sociales puis des Centres de  promotion sociale.

Six millions soixante mille cinq cent francs  (6 060 500)  F CFA est la cagnotte globale de ce don à l’endroit des personnes défavorisées de la société. Il s’agit des personnes handicapées et démunies qui n’ont aucune source de revenu.  Ce montant consacré  pour l’aide sociale est la sommation des crédits puisés de la ligne budgétaire des  Centres de promotion sociale (Cps) et de la direction départementale chargée des Affaires sociales l’Ouémé –Plateau.  Le premier a donné trois millions neuf cent trente-cinq  milles (3 935 000) F Cfa et le second deux millions cent trente-deux mille cinq cent (2 132 500)  F Cfa.

Le montant est réparti entre bénéficiaires de plusieurs communes à savoir de Sakété, d’Ifangni, d’Adja-Ouèrè, de Kétou et de Pobé.
Chaque bénéficiaire a eu droit entre 40 à 100 mille FCFA selon le cas. La somme allouée est non remboursable et doit permettre au bénéficiaire d’entreprendre une activité génératrice de revenu.

L’autorité préfectorale a salué l’initiative et reconnait sa pertinence. Il a exhorté par ailleurs les Maires de doter le budget des communes  d’une ligne budgétaire réservée à l’appui aux couches vulnérables.

Assemblée nationale: Vote d’un nouveau code électoral

Au Bénin, les dernières élections législatives d’avril 2019 ont été émaillées de violences. Lesquelles ont plongé le pays dans une crise sociopolitique dont il peine à sortir. Deux lois sont principalement misent en cause et indexées comme la source de ce dérapage démocratique.

Pour juguler la crise, un dialogue politique a eu lieu les 10, 11 et 12 octobre 2019 à l’issu duquel il est recommandé le toilettage des lois électorales à polémique que sont : la charte des partis politiques et le code électoral.

Conformément à cette recommandation de la classe politique, l’Assemblée nationale du Bénin a adopté ce 14 novembre 2019, un nouveau texte portant corde électoral en république du Bénin. Il s’agit de la n°2019-43 portant Code électoral.

Réunis le mardi 12 novembre 2019 pour modifier l’ancienne loi n°2018-31 du 9 octobre 2018 portant Code électoral, les députés n’ont pas pu accorder leurs violons. Les dispositions à modifier sont énormes et d’une grande ampleur. Ils ont alors décidé de la mettre de côté et de faire une nouvelle loi. C’est  ainsi qu’à l’unanimité,  la loi n°2019-43 portant Code électoral a été proposée, étudiée et adoptée. Elle comporte 207 articles déclinés en six livres.

La nouvelle loi contient des innovations. La caution pour l’élection présidentielle qui était de  250 millions est ramenée  à 50 millions.  Cette nouvelle loi fixe également les conditions pour être candidats à l’élection présidentielle au Bénin.

Compte rendu du Conseil des ministres du 13 novembre 2019

Le gouvernement du Bénin a tenu sa session ordinaire du conseil des ministres ce mercredi 13 novembre 2019. Plusieurs mesures normatives ont été prises et une nomination a été prononcée.

Ci-dessous l’intégralité du compte rendu du conseil des ministres :

 

Compte-rendu-du-Conseil-des-Ministres-du-13-novembre-2019

Lancement des classes numériques dans douze écoles primaires à NIKKI

Après le CEG 1 d’ALLADA dans le département de l’Atlantique, Aurelie ADAM SOULE ZOUMAROU a procédé ce samedi 09 Novembre 2019, à la mise en service de la salle numérique de l’école primaire publique de GORI MARO dans le département du BORGOU, commune de NIKKI, marquant ainsi l’ouverture des douze classes numériques au plan national dans les écoles primaires

 

 

 

 

 

La cérémonie officielle de la mise à disposition de ce centre multimédia a eu lieu en présence d’une forte délégation gouvernementale composée du ministre de l’énergie, Monsieur Jean Claude HOUSSOU, du garde des sceaux Ministre de la Justice et de la Législation, Monsieur Sévérin QUENUM, de Monsieur Sacca LAFIA, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, de Madame Véronique TOGNIFODE, Ministre des affaires sociales et de la Microfinance, de Monsieur Jean Michel ABIMBOLA, Ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, de Monsieur Seidou ADAMBI, Ministre de l’Eau et des Mines, des autorités communales et départementales ainsi que des bénéficiaires (élèves et enseignants).

Construit sur un socle en béton, ce bâtiment préfabriqué de 11 m sur 6 m, autonome en énergie électrique est équipé de :

  • 41 ordinateurs dont 40 pour les apprenants et 01 pour l’enseignant
  • 01 tableau interactif
  • 01 projecteur
  • 01 armoire de rangement
  • 01 routeur pour la connexion internet haut débit
  • 02 climatiseurs d’une puissance de 1,5 chevaux
  • 01 mini-central photovoltaïque dimensionnée pour alimenter l’ensemble des installations avec un backup de 24 h sans interruption
  • 1 logiciel de gestion de classe
  • 10 multiprises
  • 01 système d’alarme
  •  01 kit de laboratoire
  • Des contenus numériques pédagogiques

Sa mise en service concrétise l’ambition du Chef de l’Etat, son Excellence le Président Patrice TALON et son Gouvernement, de généraliser l’usage du numérique par l’éducation à travers la formation des écoliers et des élèves à l’usage du numérique dès l’école.

Ainsi pour Madame Aurelie ADAM SOULE ZOUMAROU, cette action est en parfaite cohérence avec les objectifs d’accès/service universel tels que définis à l’article 95 de la loi 2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique en République du Bénin qui recommande les initiatives visant l’accès public à internet et aux services larges bandes notamment dans les écoles, les bibliothèques et autres centres communautaires.

Pilotée par l’Agence Béninoise du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste (ABSUCEP), Agence sous tutelle du Ministère du Numérique et de la Digitalisation, ce centre permettra aux bénéficiaires de se former en ligne, d’acquérir des compétences pratiques liées à l’usage de ces outils, d’accéder à la bibliothèque en ligne ainsi qu’à divers contenus numériques pédagogiques.

Heureux que l’école primaire publique de GORI MARO soit dotée d’une telle infrastructure numérique de qualité, le Directeur de cet établissement, Monsieur SINA TOKO a profité pour formuler auprès de la Ministre du Numérique et de la Digitalisation, les doléances à savoir :

–      L’appui pour la sécurité des installations

–      La formation des enseignants pour la continuité de l’apprentissage des élèves

Après les discours de bienvenue et d’ouverture, aux côtés de ses collègues du Gouvernement, des autorités communales et des représentants des bénéficiaires, Madame Aurelie ADAM SOULE ZOUMAROU a effectué la coupure du ruban. S’en est suivi la visite de la salle, la séance de démonstration au cours de laquelle les écoliers ont réalisé un exercice mathématique sous le contrôle de leur enseignant.

La cérémonie officielle s’est achevée par la photo de famille et l’animation du groupe de chants et de danse traditionnelle.

Saisine de 126 kg de chanvre indien par la douane

Depuis peu au Bénin, la douane béninoise libre une guerre sans merci contre la contre bande la drogue sous toutes ses formes. Que ça soit au niveau des ports, aéroports et des axes routiers le contrôle est accentué.

La rigueur de cette lutte a fait déclencher une grande opération contre les faux médicaments.  Des trafiquants ont été arrêtés ainsi que des milliers de faux médicaments. La lutte est également implacable contre le trafic de chanvre indien.

C’est ainsi que la douane béninoise a arrêté, au nord du Bénin, environs 126 kg de chanvre indien. Selon les informations, c’est un véhicule de transport en commun d’immatriculation ghanéenne qui transportait le produit illicite. Sur renseignement, le Service d’Intervention Rapide de la douane du département de l’Alibori-Borgou a arrêté le véhicule et ses passagers sur l’axe Djougou-Ndali pour procéder au contrôle.

Après le contrôle et une fouille approfondie, le pot aux roses a été découvert. Les convoyeurs ont été appréhendés et l’affaire est confiée à la police judiciaire.

Sécurité: Un ghetto démantelé à ‘’Missèbo’’ Cotonou

‘’Missèbo’’ est le plus grand marché de friperie de la capitale Cotonou. C’est aussi l’un des quartiers populeux de la ville. On y trouve un peu de tout. Abritant quelques bidonvilles qui servent de refuge aux hors la loi, ce quartier grouille de monde aux heures d’ouverture du grand marché.

A l’approche des fêtes de fin d’année, la police béninoise fait de la quiétude des populations une priorité. Dans cette perspective les forces de l’ordre ne laissent pas fleurir toute entreprise criminelle. Elles défassent les nids d’insécurité.

C’est ainsi que le mercredi 06 novembre 2019, sur information certainement, la police républicaine a démantelé un ghetto de vente de chanvre indien à ‘’Missèbo’’, Cotonou. Selon une presse locale, une maison abandonnée de ce quartier servait de base pour les hors-la-loi.  Ils s’y retrouvent pour commercialiser et consommer du  chanvre indien. Ce qui est interdit par la loi.

Environ quatre-vingt (80) personnes dont une vingtaine (20) de femmes ont été interpellées. Après leur interpellation, une quantité importante de chanvre indien sous forme de boulette a été saisie.

Médias : Les femmes journalistes de la CFU formées sur la décentralisation et la gouvernance locale à Parakou

Les femmes journalistes, membres de la cellule des femmes de l’union des professionnels des médias du Bénin (CFU-UPMB) prennent part depuis ce mercredi à Parakou à un atelier de formation sur la décentralisation et la gouvernance locale.

Cette session de formation intervient, selon la coordonnatrice de la CFU, Pulchérie Gbèmènou dans un contexte social marqué par des interpellations de plus en plus récurrentes des conseils municipaux et communaux sur les défis liés à l’assainissement du cadre de vie. Il s’agit donc d’une nouvelle ère ou l’appui conseil des tutelles est renforcée ou doublée d’un partenariat en matière d’infrastructures pour les villes à statut particulier et certaines métropoles. L’initiative de cette formation, at-elle ajouté, est d’une pertinence évidente car, estime-t-elle, « les défis de communication pour les journalistes vont de pair avec la maîtrise des enjeux dans leur dynamisme ».

Pour le représentant résident de la fondation Friédrich Ebert, Expédit Ologou, il s’agit pour la fondation à travers cette formation de voir comment de façon pratique les médias peuvent aider au développement communautaire et surtout comment les femmes spécialistes des médias peuvent contribuer au développement communautaire.

Ainsi pendant deux jours, les participantes seront entretenues sur les grands principes de la décentralisation au Bénin, les nouvelles lois et leur impact sur la décentralisation au Bénin, les défis de la gouvernance locale au Bénin et autres.