Bénin : Talon veut renforcer sa sécurité

Le sujet était entre autres au centre des échanges entre le chef de l’Etat, Patrice Talon et son homologue français Emmanuel Macron.

 

Le Bénin veut être attractif pour les investisseurs. Et devenir aussi un pôle culturel régional. Mais le pays est confronté au terrorisme dans sa partie Nord, à la frontière burkinabè. La coopération est donc aussi sécuritaire et Patrice Talon sait ce qu’il veut.

Relation décomplexée, Patrice Talon le dit lui-même. Sur le parvis du Palais de la Marina exposé aux vents. Le président du Bénin apostrophe son homologue français : « Que la France nous appuie davantage dans nos efforts de lutte contre le terrorisme, l’un des principaux défis. (..) Nos hommes ont besoin être bien formés ; on a besoin d’armement, d’équipement, de matériel militaire. Nous attendons un effort de votre part », a déclaré le président béninois. « Nous avons les moyens financiers, mais aujourd’hui avec les tensions qu’il y a dans le monde acquérir ces équipements est problématique. »

Paris appuie le Bénin en matière de formation et de renseignements, mais Patrice Talon veut des drones. « Sur le plan sécuritaire, nous serons au rendez-vous », assure le président français, « pickup, déminages, gilets pare-balles, casques de vision nocturne seront livrés incessamment, assure Emmanuel Macron. Pour les drones, nous allons avancer pour répondre à votre demande. »

Le chef de l’État français répète comme il le fait depuis le début de cette tournée africaine que l’Élysée veut rénover la présence française sur le continent, être un soutien, un appui. Il dit sa volonté d’assister à une réunion de l’initiative d’Accra, cette organisation sécuritaire collaborative lancée en 2017.

Une fois de plus, le président français indexe l’exemple du Mali d’où la France se retire, le Mali où selon lui la réponse sécuritaire ne s’est pas accompagnée d’une réponse politique et de développement.

Emmanuel Macron part ce soir pour Bissau. La Guinée-Bissau est la dernière étape de ce voyage du président français sur le continent africain. La Guinée-Bissau a pris début juillet la présidence tournante de la Cédéao, l’organisation région ouest-africaine.

Bénin : huit agents mutés au sein de la police judiciaire

Au total huit agents de police ont été mutés pour les besoins du service au bénin. Par message porté N°116/DGPR/DRH/SPRHGP/SA en date du mardi 1er Février 2022, le directeur de la police républicaine, Soumaïla Yaya a procédé à de nouvelles affectations.

Le contrôleur général Soumaïla Yaya, directeur de la police républicaine vient encore de muter certains agents de la police républicaine. Selon le contenu du message porté N°116/DGPR/DRH/SPRHGP/SA en date du mardi 1er Février 2022. Cette mutation est opérée pour les besoins de service.

Liste des agents de la police mutés

  • Office central de répression de la cybercriminalité: Gouton Koudogbo Corneille,
  • Commissariat frontalier de police Malanville: Chabi Sokoto Bio et Iropa Martin Julien
  • Commissariat frontalier de police de Madécali: Ogougnandjou Casimir,
  • Commissariat d’arrondissement de Sori: Soglohoun Dodji Comlan,
  • Commissariat d’arrondissement d’Agoué: Hounzimè Parfait,
  • Commissariat d’arrondissement d’Ifangni: Quenum Noël Joseph

Les 8 agents de la police républicaine mutés sont priés de rejoindre leur nouveau poste, le vendredi 4 Février 2022 au plus tard. Le directeur général de la police républicaine attache du prix à l’exécution correcte de cette instruction, précise le message porté.

Bénin : une rançon de 10 millions exigée pour la libération de Moussa Bah Séro Kèssè

Suite au kidnapping du chef de l’arrondissement de Nikki au nord-ouest du Bénin, ses ravisseurs exigent au moins 10 millions de rançon.

Les présumés auteurs de l’enlèvement de Moussa Bah Séro Kèssè sont entrés en contact téléphonique avec sa famille. Les ravisseurs exigent une forte somme d’argent en échange de la libération du chef de l’arrondissement de Nikki. C’est du moins ce qui apparaît des dernières informations relayées à propos de cet enlèvement. Au moins dix millions de francs Cfa sont requis, selon des médias béninois.

Le chef d’arrondissement central de Nikki, Moussa Bah Séro Kèssè a été enlevé à son domicile dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 janvier 2022. Deux individus armés, qui étaient venus à moto ont enlevé l’autorité locale pendant qu’elle se trouvait dans sa maison à Sakabansi, une ville du Bénin située dans le département du Borgou frontalier avec le Nigeria. L’enquête ouverte depuis le jour de l’enlèvement est encore en cours

Bénin : l’ancienne ministre Bernadette Agbossou tuée par balle ce 10 janvier

Les malfrats ont tué Bernadette Agbossou ce lundi 10 janvier 2022 au cours d’un braquage qui visait un Nigérian détenteur d’une forte somme d’argent.

L’ancien ministre Bernadette en chemin pour se rendre à Lokossa. Elle se allait participer au lancement des travaux d’un atelier initié par le Conseil national des chargeurs du Bénin (Cncb) structure dont elle était la Directrice. Mais le déplacement tourne au drame. Bernadette Sohoudji Agbossou a été froidement abattue par des individus identifiés comme des malfrats.

Le drame s’est produit à hauteur de Pahou dans le département de l’Atlantique le lundi 10 janvier 2011 et l’ancienne ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle et membre influent du régime Boni Yayi, Bernadette Agbossou née Sohoudji a succombé à ses blessures.

A l’époque, le chef de la brigade de Ouidah avait expliqué que les bandits auraient tendu une embuscade à un nigérian qui transportait une somme importante à bord d’un taxi filé depuis Hillacondji par ceux-ci. Le conducteur pris de panique aurait accéléré, obligeant ces hors-la-loi à ouvrir le feu sur le premier véhicule, tenant ainsi en respect tout le cortège qui ne pouvait plus faire demi-tour.

Dans la fusillade, les balles ont blessé légèrement l’occupant assis à côté du conducteur du véhicule avant d’aller toucher Bernadette Sohoudji Agbossou qui décède sur le champ.

Qui est Bernadette Agbossou ?

Originaire du département du Couffo, Bernadette Sohoudji épouse Agbossou est née à Avéganmey dans la commune de Klouékanmey. Ancienne étudiante de l’Université de Montréal (Canada), elle est titulaire d’un Ph.d et a été enseignante à l’Ecole nationale d’Administration et de magistrature (Enam) de l’Université d’Abomey-Calavi.

Mère de trois (03) enfants, le président Yayi Boni lui a fait confiance en la nommant le 17 juin 2007, dans son gouvernement comme ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle (Mesftp), poste qu’elle occupa jusqu’à la fin du mois d’octobre 2008.

Bernadette Sohoudji Agbossou est sortie de l’équipe gouvernementale suite au remaniement technique du 22 octobre 2008. Elle fera parler d’elle à nouveau après le Conseil ordinaire des ministres du 07 avril 2010 où le chef de l’Etat lui confia la gestion du Conseil national des chargeurs du Bénin (Cncb) en tant que directrice générale.

Après sa prise de service le jeudi 15 avril 2010, l’ancienne ministre de nature très calme et très effacée dirigea cette structure portuaire jusqu’au soir du lundi 11 janvier 2011où elle a été tragiquement assassinée.

 

Bénin : le gouvernement renforce les capacités des Forces de défense et de sécurité

Le président de la République du Bénin a fait cette révélation au cours de son discours sur l’état de la nation à l’Assemblée nationale mercredi 29 décembre 2021.

Mercredi 29 décembre 2021, Patrice Talon s’est adressé aux députés. Dans ce premier discours de son second mandat relatif l’état de la Nation,  le chef de l’Etat a abordé en priorité la sécurité. En effet, bien que le gouvernement ait pris des mesures préventives pour contenir les attaques, les djihadistes ont réussi à s’infiltrer sur le territoire béninois. Trois militaires ont perdu la vie et près d’une dizaine ont été blessés. C’est que, « la situation (sécuritaire Ndlr) dans la sous-région est préoccupante », prévient le chef de l’Etat.

Face à ce défi qui interpelle l’Etat, le gouvernement de la République prend des mesures. « Les capacités opérationnelles de nos Forces de défense et de sécurité seront considérablement renforcées. Les moyens leur seront donnés à suffisance pour leur permettre d’assurer la protection optimale du pays tout entier, de sorte que, même dans leurs propres rangs, il n’y ait pas d’autres victimes », promet le président de la République.

Dans ce sens, au cours du Conseil des ministres du 22 décembre dernier, le gouvernement a décidé de recruter 2000 agents de police et 1500 éléments des Forces de défense. Les Eléments français au Sénégal accordent leur appui technique à l’armée béninoise. « Dans la même logique, la coopération avec les pays limitrophes sera accrue pour mutualiser les moyens de prévention et de lutte », ajoute le président Talon.

Porto-Novo : 02 tonnes de faux médicaments saisies, les vendeurs présentés au procureur

Les autorités béninoises ont saisi 02 tonnes de faux médicaments à Porto-Novo ce 25 novembre 2021. Elles assurent de conduire les vendeurs de ces produits devant le procureur pour une procédure judiciaire.

La lutte contre les faux médicaments se poursuit au Bénin. Cette fois, c’est 02 tonnes de ces produits illégaux qui sont entre les mains des autorités. Une opération menée par trois structures a conduit à la saisie de cette importante quantité de faux produits. Il s’agit de la police républicaine (les éléments du 5è), la direction départementale de la santé de l’Ouémé. La 3è structure est l’Agence béninoise de régulation pharmaceutique(Abrp).

Selon les informations recueillies au journal de 13h du 26 novembre sur Radio Bénin, l’opération a duré quatre heures d’horloge à Porto-Novo. Elle a permis de sillonner le marché Ouando, les magasins et de « récupérer à peu près 02 tonnes de produits dans 08 véhicules pick-up ». La déclaration est du directeur de l’Abrp Dr Yossounon Chabi. Le professionnel de santé assure que la mission va présenter les vendeurs arrêtés au procureur. Une procédure judiciaire s’ouvrira à leur encontre.

Sécurité : Les patrouilles policières renforcées le long du fleuve Mono pour empêcher les trafics fluviaux

Les agents de la police républicaine en poste aux commissariats de Grand-Popo, d’Agoué, d’Hillacondji et ceux de l’unité spéciale de surveillance des frontières terrestres ont renforcé ce jeudi le long de la lagune de Grand-Popo jusqu’au fleuve Mono leurs patrouilles dans le but de « dissuader les citoyens béninois et togolais qui tenteront de rallier les deux pays par cette lagune longue de 20 kilomètres, a appris jeudi l’ABP.

De sources proches des unités de commissariat de la police républicaine de la commune de Grand-Popo, les forces de sécurité, suite à l’affluence du trafic fluvial qui s’observe sur la lagune de Grand-Popo jusqu’au fleuve Mono, ont renforcé  leur stratégie de patrouille le long de cette lagune qui offre assez de voies d’entrée et de sortie aux voyageurs.

Selon les mêmes sources, les citoyens béninois comme togolais, depuis la fermeture samedi dernier des frontières terrestres du Togo dans le cadre des dispositions prises par ce pays voisin pour limiter sur son territoire  la propagation du COVID-19, ont pris d’assaut ce moyen de transport malgré les risques auxquels ils sont exposés.

Selon le commissaire de Hillacondji, un Béninois traversant le fleuve Mono  mardi dernier et ayant arraché le sac d’un des militaires togolais en faction,  a été abattu dans l’eau par un militaire togolais pour avoir refusé de retourner le sac. Le même jour, apprend-on, deux togolaises se rendant à Lomé par la même voie ont trouvé la mort par noyade alors qu’elles  tentaient de récupérer dans l’eau l’une de leur bassine qu’emportaient les flots.

Sur instruction du procureur du tribunal de Ouidah, le corps du Béninois  a été remis à ses parents pour inhumation. S’agissant des togolaises, leurs corps ont été récupérés par les autorités de leur pays et le militaire fautif mis aux arrêts pour avoir tiré à balles réelles sur le Béninois qui serait un repris de justice.

Sécurité : renforcement des capacités opérationnelles des unités de la police républicaine

Le Gouvernement dote la Police Républicaine d’un deuxième lot de 55 véhicules neufs pour le renforcement de la sécurité intérieure.

Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique (MISP), monsieur Sacca LAFIA a procédé dans la matinée de ce mercredi 29 janvier 2020, à la remise des clés de 55 véhicules tout terrain à la Police Républicaine. La cérémonie officielle de remise des clés s’est déroulée à la base de l’unité fluviale de la police, en présence du Directeur Général de la Police Républicaine, le Contrôleur Général de Police, Soumaïla YAYA, des directeurs centraux rattachés à la direction de la police républicaine, et des membres du cabinet du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité Publique.

Le Gouvernement du Bénin, soucieux de la libre circulation des personnes et des biens, de la lutte contre l’insécurité sous toutes ses formes et du meilleur conditionnement des éléments de la police républicaine poursuit ses efforts de renforcement en matériels roulants. C’est donc après un premier lot de 66 véhicules et de motos, que le parking de la Police Républicaine vient de voir renforcer la capacité opérationnelle de ses unités territoriales sur l’ensemble du territoire national, avec la remise officielle des clés de 55 véhicules neufs acquis sur le budget national. Ce deuxième lot de pick-up est constitué de 20 Toyota Hilux et 35 Nissan 4×4 Off Road qui seront répartis selon des critères bien définis par la Direction Générale de la Police Républicaine.

Le Ministre de l’Intérieur dans son intervention, a présenté les ambitions du gouvernement du Président Patrice TALON pour la Police Républicaine à travers une série de projets énumérés, à savoir, la construction d’un Quartier Général, la construction de 155 commissariats et de 12 Directions Départementales de la Police Républicaine, déjà pris en compte par le budget de l’Etat exercice 2020.

Le Directeur Général de la Police Républicaine, le Contrôleur Général de Police, Soumaïla YAYA, accusant réception de ce matériel roulant promet de faire bon usage des véhicules qui rentre dans les efforts du gouvernement pour la sécurité des populations.

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Bénin : Lutte contre les stupéfiants

Encore une prise 37 kg de chanvre indien interceptés par le Service d’intervention rapide du Borgou-Alibori le 22 janvier 2020. Les éléments de la douane béninoise du Service d’intervention rapide des départements du Borgou-Alibori  en lutte contre les stupéfiants, ont arraisonné 37 kg de chanvre indien à la hauteur de Wereke sur la voie Djougou-N’dali.

Malgré la batterie de stratégies mises en œuvre pour décourager les trafiquants de drogue au Bénin, le découragement semble ne pas être dans leur rang. Si ce n’est au Port autonome de Cotonou qu’on découvre des quantités de drogue contenues dans des conteneurs, c’est au niveau des voies routières que les saisies se font.

Les 37 kg de chanvre indien interceptées ce 22 janvier 2020 l’ont été à hauteur de la localité de Wereke sur l’axe Djougou N’dali dans un bus nigérien en provenance du Togo. A en croire les informations relayées par une presse locale, l’opération a été possible grâce aux  renseignements reçus par cette unité suivre qui veille au grain.

Sécurité : Point de presse de la police républicaine

Suite à l’arrestation du général autoproclamé de la région de Savè, la police républicaine a donné une conférence de presse pour expliquer les conditions de son arrestation.

Voici la déclaration de la police

Chères populations et chers amis de la presse.

Je voudrais avant tout propos vous remercier pour votre présence en ce lieu et pour l’aide que vous apportez quotidiennement à la Police républicaine.

Le présent point de presse a pour but d’informer l’opinion publique de l’arrestation de celui qui se fait appeler « Général Faleti ».

Chers amis,

Qu’il vous souvienne que, depuis quelques semaines, il est observé dans certaines localités de notre pays, des actes de violences et de vandalisme perpétrés par certains citoyens. Ces actes sont l’œuvre de groupes organisés ayant pour chef de file, ungangster hors pair, FALETI Biaou Ayodélé Prudence alias « Général Faleti », né le 27 décembre 1990 à Parakou. Ces  bandes de délinquants s’en prennent aux populations et les empêchent de vaquer librement à leurs occupations. Des actes de pillage ont été perpétrés çà et là dans diverses localités. Même un véhicule du cortège du président de la Cour Suprême en mouvement vers Parakou n’a pas été épargné.

En effet, le 09 janvier 2020, ledit véhicule a été saccagé et des documents importants ont été emportés.
Ces vils individus, divorcés sociaux, sans foi ni loi vont jusqu’à défier les forces de défense et de sécurité qu’ils ont affrontées en faisant usage d’armes automatiques.

Pour susciter l’adhésion des populations à leur cause, ils se sont, ces derniers jours, montrés très actifs sur les réseaux sociaux en diffusant des enregistrements audio et vidéo qui incitent à la révolte, à la haine, à la désobéissance civique et à la violence.

Aussi, ont-ils proféré des menaces ouvertes à l’encontre des autorités et diverses personnalités de notre pays.

La gravité de ces publications et les agissements de ces divorcés sociaux ont amené la Police républicaine à réagir promptement pour mettre fin à ces pratiques très préjudiciables à la paix et à la concorde nationale.
C’est ainsi que, grâce à son réseau de renseignements, cette vermine a été localisée et débusquée de sa cachette le jeudi 23 janvier 2020 dans un centre d’hébergement à Parakou. Il est déféré devant les autorités judiciaires pour répondre de ses actes.

C’est ici le lieu de rappeler aux populations que le Bénin est un Etat de droit et que toute manifestation et tout moyen pour se faire entendre sont possibles pourvu que cela se fasse en respect des lois en vigueur dans notre pays.

Je ne saurais terminer mes propos sans remercier toutes les personnes qui, d’une manière ou d’une autre, ont contribué à la réussite de cette interpellation.

J’invite une fois encore nos populations à une collaboration plus étroite avec nos services.

Les informations, les renseignements et dénonciations peuvent être directement faits via les numéros ci-après :

– 166 (appel gratuit)
– 21 31 34 80
– 21 31 34 81
– 94 00 20 20 (whatsapp)
Le site web www.dgpr.bj peut être aussi utilisé.
Vive la collaboration de nos paisibles populations ;
Vive la Police Républicaine ;
Vive le Bénin.

Je vous remercie

Des radars pour contrôler les vitesses sur les routes

Ce vendredi 20 décembre 2019, le ministre béninois des transports et des infrastructures routières a procédé a procédé à la mise en service des radars pour la limitation et le contrôle de vitesse sur les routes.

Dans le cadre de limiter l’excès de vitesse et d’éviter les accidents de circulation dus à ce fléau, il a été installé le long de certaines artères des radars. En effet, ces radars renseignent sur la vitesse à laquelle roule les conducteurs de véhicule. Il tire l’attention sur les excès et doit appeler la conscience.

Sur la route des pêches à Cotonou, une dizaine a été installée. Sur toute l’étendue du territoire, ces appareils sont mis en place par le Centre national de sécurité routière (Cnsr).

Cette trouvaille du gouvernement du Bénin vise à la préservation des vies sur les routes. Ces appareils sont comme des alerteurs qui doivent rappeler à chaque chauffeur la vitesse à laquelle il roule et la vitesse à laquelle il doit rouler.

Un malfrat de grand chemin abattu à Djakotomey

Les éléments de la Police Républicaine du département du Couffo sous la direction du directeur départemental de la police Républicaine Constant Cachémé, a abattu dans la journée du mardi à Djakotomey un redoutable malfrat spécialisé dans les braquages et vols à mains armées, a appris mercredi l’ABP.

Selon le directeur départemental de la Police Républicaine du Couffo, Constant Cachémé, les filles et fils du Couffo ont été depuis quelques mois dérangés au plan sécuritaire par un délinquant de gros calibre en la personne de B. K. R. Cet individu, précise le DDPR, sème la panique dans tout le département et brave tout sur son chemin. Compte tenu de sa salle besogne, il est devenu un « Sans Domicile Fixe ».

Il a pour mode opératoire d’attaquer les citoyens, leur ôte la vie et leur arrache de force leur moto et autres biens. Au mois de septembre dernier, renseigne Constant Cachémé, il a réussi à arracher une moto à un jeune étudiant après l’avoir sauvagement blessé. Sur la base de renseignement le lendemain, poursuit le DDPR, ses éléments ont réussi à retrouver la moto dans un domicile qu’il habitait dans Azovè. Sa traque lancée depuis quelques semaines grâce à une filature mise en place a permis de le localiser dans la commune de Djakotomey. Lors de son interpellation mardi matin, B.K.R pour se défendre, a ouvert le feu sur les policiers qui ont riposté.

Sécurité : La police républicaine a démantelé un réseau de cambrioleurs à Cotonou

Un réseau de cambrioleurs opérant à Cotonou et ses environs a été démantelé par les éléments du Contrôleur général de police Soumaïla YAYA, le jeudi 12 décembre 2019. Activement recherché depuis quelques jours par la Police républicaine, ce groupe de divorcés sociaux a, à leur actif, plusieurs faits délictueux dont le cambriolage d’une boutique le 1er décembre 2019 à Agla-Hlazounto, et un autre cambriolage à Tankpê, le 11 décembre 2019.

Photo de quelques produits volés

Après une enquête minutieuse, trois membres actifs dont deux femmes ont été interpellés. Suite à une perquisition, plusieurs objets issus des vols ont été retrouvés avec eux. Les enquêtes se poursuivent pour mettre la main sur les autres membres du réseau.

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L’opération azanhouan passe à sa deuxième phase à Cotonou

Qu’il vous souvienne il y a quelques temps, la Police Républicaine avait lancé une opération dite « AZANHOUAN » suite aux actes criminels perpétrés par des individus sans foi ni loi qui semaient la peur dans le coeur des béninois. Aussitôt lancée, cette opération a permis d’interpeller et de neutraliser beaucoup de braqueurs.

Au regard du succès qu’a connu la première phase de l’opération « AZANHOUAN », le Directeur départemental de la Police républicaine du littoral a procédé le vendredi 29 novembre 2019, au lancement de la deuxième phase de ladite opération à Cotonou. La particularité de cette phase sera la présence remarquée des fonctionnaires de la Police républicaine avec des patrouilles pédestres dans les centres névralgiques et sensibles de Cotonou tels que les marchés et les centres commerciaux.

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Sécurité : Deux hors-la-loi abattus par la police républicaine à Ikpinlè

Les éléments de la police républicaine ont abattu mardi, deux redoutables braqueurs recherchés dont un apprenti vitrier et un troisième blessé par balle au quartier Sègbèya à Ikpinlè dans la commune d’Adja-Ouèrè, a appris l’Agence Bénin Presse (ABP) de source concordante.

Selon la source, la résidence d’un redoutable malfrat située au quartier Sègbèya non loin du grand marché d’Ikpinlè, a été la cible de cette opération des éléments de la police républicaine.

Une fois sur les lieux rapporte-t-on, les hommes en uniforme ont demandé aux apprentis d’un vitrier dont l’atelier se situe près de l’endroit visé de ranger leurs effets et de vider les lieux. Ils ont aussitôt répondu à cette injonction.

Quelques minutes après, les éléments de la police républicaine ont assailli la maison qui abritait les individus recherchés.

A la vue des hommes en uniforme, précise la source, le cerveau du groupe a voulu ouvrir le feu à l’aide d’un fusil de fabrication artisanal. La réplique de la police ne s’est pas fait attendre. Le malfrat a été mortellement atteint. Le second, un apprenti vitrier a été également abattu. Le troisième ayant reçu de balle toujours un apprenti vitrier, a pris la fuite avant de se volatiliser dans la nature.

La panique ayant gagné la localité, chacun essaye d’expliquer les faits à sa manière surtout en ce qui concerne les deux apprentis vitrier touchés où celui qui est mortellement atteint, serait aux dires de ses camarades en train de se reposer après avoir parlé d’un malaise dans la clôture de la maison ciblée.

Les deux corps, faut-il le rappeler ont été emportés par les éléments de la police républicaine à la fin de l’opération.

 

Plusieurs blessés et d’importantes sommes emportées dans un braquage

Une bande de braqueurs a opéré ce samedi aux environs de 9 h, de manière éclaire sur l’axe Zagnanado-Pkédékpo, à la hauteur de Pkoto, dépouillant des passagers à bord d’automobiles, de leurs biens et numéraires en faisant plusieurs blessés graves, a appris l’ABP.

 

Les recoupements font état de ce que la bande armée a tiré sur des véhicules en direction de Bohicon, et a dépouillé les occupants tenus au respect au moyen d’armes. Les malfrats ont pris la tangente après leur forfait, et avant l’arrivée des éléments de la police républicaine sur les lieux, ont informé les riverains.

Aucune perte en vie humaine, n’a été enregistrée, mais d’importantes sommes ont été emportées et plusieurs personnes grièvement blessées dans ce braquage, apprend-on. Aux dernières nouvelles, le calme est revenu a Kpoto et dans les localités environnantes, la police ayant pris le contrôle des lieux, avec un dispositif sécuritaire renforcé.

Sécurité: Un ghetto démantelé à ‘’Missèbo’’ Cotonou

‘’Missèbo’’ est le plus grand marché de friperie de la capitale Cotonou. C’est aussi l’un des quartiers populeux de la ville. On y trouve un peu de tout. Abritant quelques bidonvilles qui servent de refuge aux hors la loi, ce quartier grouille de monde aux heures d’ouverture du grand marché.

A l’approche des fêtes de fin d’année, la police béninoise fait de la quiétude des populations une priorité. Dans cette perspective les forces de l’ordre ne laissent pas fleurir toute entreprise criminelle. Elles défassent les nids d’insécurité.

C’est ainsi que le mercredi 06 novembre 2019, sur information certainement, la police républicaine a démantelé un ghetto de vente de chanvre indien à ‘’Missèbo’’, Cotonou. Selon une presse locale, une maison abandonnée de ce quartier servait de base pour les hors-la-loi.  Ils s’y retrouvent pour commercialiser et consommer du  chanvre indien. Ce qui est interdit par la loi.

Environ quatre-vingt (80) personnes dont une vingtaine (20) de femmes ont été interpellées. Après leur interpellation, une quantité importante de chanvre indien sous forme de boulette a été saisie.

Parakou : 16 individus interpelés et 7 motocyclettes saisies

Dans la nuit du lundi 04 novembre 2019 les éléments des commissariats du 1er et du 2è arrondissement de la ville de Parakou ont mené conjointement une opération dénommée « Coup de poing » aux abords et à l’intérieur du marché ARZEKE. Cette opération a permis d’interpeller 16 individus dont un qui revenait d’une opération de braquage.

Au cours de la même opération, 07 motocyclettes d’origine douteuse de différentes marques, ont été également saisies. Les éléments de la Police républicaine sont à pied d’œuvre pour d’autres descentes plus corsées dans la même localité.

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Parakou : 16 individus interpellés et 7 motocyclettes saisies

Dans la nuit du lundi 04 novembre 2019 les éléments des commissariats du 1er et du 2è arrondissement de la ville de Parakou ont mené conjointement une opération dénommée « Coup de poing » aux abords et à l’intérieur du marché ARZEKE. Cette opération a permis d’interpeller 16 individus dont un qui revenait d’une opération de braquage.

Au cours de la même opération, 07 motocyclettes d’origine douteuse de différentes marques, ont été également saisies. Les éléments de la Police républicaine sont à pied d’œuvre pour d’autres descentes plus corsées dans la même localité.

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Sécurité : rencontre entre le Directeur général de la police républicaine et les commissaires de Cotonou

Dans le souci de garantir des périodes de fin d’année apaisées aux populations, le Directeur Général de la Police Républicaine, le Contrôleur général de police, Soumaïla YAYA a entrepris depuis quelques jours des consultations avec les éléments placés sous ses ordres afin de leur donner des instructions fermes à cet effet. C’est ainsi que, dans la matinée du lundi 04 novembre 2019, une séance de travail a eu lieu avec tous les commissaires de la ville de Cotonou et leurs adjoints.

Au menu de cette séance de travail, la situation sécuritaire dans chaque arrondissement de Cotonou. Des instructions ont été donc données à tous les commissaires et leurs adjoints par le Directeur général de la Police républicaine Soumaïla YAYA afin qu’ils puissent sécuriser chacun en ce qui le concerne, sa zone de compétence pour permettre aux populations de passer une fin d’année apaisée. Le patron de la police républicaine a reçu au cours de ladite séance, l’engagement ferme de ses éléments pour l’exécution sans faille des instructions reçues.

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Sécurité : la police républicaine démantèle plusieurs réseaux de malfrats

La récurrence de vols à mains armées ces derniers temps sur les populations par les malfrats n’a pas laissé les éléments de la police républicaine indifférents.

Pour endiguer le mal, la police républicaine a initié une opération antigang. Laquelle opération a permis aux forces de l’ordre de mettre hors d’état de nuire les hors la loi.

C’est à travers une conférence de presse tenue ce vendredi 20 septembre 2019 que  le porte-parole de la police républicaine, le Commissaire Divisionnaire de Police Mathias Achedemessi, a fait le point aux hommes des médias par rapport aux dispositifs pris pour la sécurisation des biens et des personnes.

Il a, par ailleurs, présenté le fruit de cet effort de protection des populations. En effet, la police est parvenue au cours de cette semaine à démanteler  plusieurs réseaux de malfrats de grands chemins et arrêter plusieurs malfaiteurs déférés devant les juridictions compétentes.

Elle a également procéder à la saisie de plus d’une centaine de motocyclettes provenant de vols et braquages divers. Pour identifier et retrouver leurs biens, la police a invité ceux dont les motos ont été volées ou arrachées par les braqueurs à se présenter à la Direction générale de la police républicaine munir des pièces justificatives.

En outre, un homme spécialisé dans le trafic d’armes et de munitions a été arrêté.

Pour finir, le porte-parole de la police a rassuré de la disponibilité des forces de l’ordre et leur détermination à lutter contre le banditisme sous toutes ces formes.

Pour cela, il demande aux populations de collaborer avec les services de police en dénonçant toutes activités suspectes et mafieuses quelle qu’en soit la forme.  L’anonymat des dénonciateurs est garanti et protégé. Un numéro vert, le 166 est mis à la disposition des populations pour alerter la police en tout temps et en tout lieu.

Bénin-Nigeria : La police démantèle un réseau international de vol de voitures

Quinze personnes ont été épinglées par Interpol Bénin-Nigéria. Il s’agit de membres présumés d’un réseau international de vol de voitures. C’est le porte-parole de la police républicaine Pascal Odéloui qui a donné l’information le jeudi 11 juillet, au cours d’un point de presse à Cotonou.

Selon le contrôleur général de police, le patron du réseau réceptionne les véhicules volés au Nigéria. Pendant que ses complices récupèrent le butin et y attribuent une immatriculation frauduleuse. Ils peuvent même s’appuyer sur un complice au sein des agents de la Société des Plaques et Accessoires (SPA), ce qui rendait l’opération aisée. Échappant ainsi à l’Agence nationale des transports terrestres et à la douane d’Interpol. Une fois les traces des véhicules volés totalement brouillées, le réseau procède à leur vente au Bénin et dans les pays de la sous-région tels que le Mali et le Burkina Faso.

La police républicaine invite donc la population à plus de vigilance dans l’achat des véhicules d’occasion. Elle précise également l’importance de se rapprocher des services de police notamment le BCN-Interpol Cotonou pour les vérifications nécessaires…