Toui : Un projet novateur pour l’autonomisation des femmes

Toui (Bénin) , le 4 novembre 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour les femmes de Toui. L’Ambassadeur Shukan, en partenariat avec le Centre International de Recherche et de Développement Durable (CIRADD), a inauguré un programme d’envergure visant à renforcer l’autonomie économique des femmes de la région.

Ce projet novateur, s’inscrivant dans le cadre de l’initiative globale EmpowerWomen, offre aux participants des formations professionnelles de qualité dans les domaines de la couture et de la coiffure. Équipées de compétences pratiques et de matériel professionnel, ces femmes seront en mesure de créer leur propre entreprise et de générer des revenus stables.

Le CIRADD et l'Ambassadeur Shukan s'unissent pour offrir aux femmes de Toui des formations professionnellesUne réponse aux défis locaux à Toui 

Cette initiative répond à un besoin criant dans la région. En effet, de nombreuses femmes à Toui font face aux difficultés économiques et sociales. Ce projet leur offre une opportunité unique de sortir de la précarité et de prendre leur destin en main.

L’Ambassadeur Shukan s’est félicité pour cette initiative, soulignant qu’elle allait bien au-delà d’une simple formation professionnelle. « Ce projet est un investissement dans l’avenir de ces femmes. » « En leur donnant les moyens de réussir, nous renforçons toute la communauté », a-t-il déclaré.

Le CIRADD et les États-Unis, reconnus pour son expertise en matière de développement durable, ont mis en place un programme sur mesure, adapté aux réalités locales et aux besoins spécifiques des participants. Les formations sont dispensées par des professionnels qualifiés et les apprenantes bénéficient d’un accompagnement personnalisé tout au long du parcours.

Le CIRADD et l'Ambassadeur Shukan s'unissent pour offrir aux femmes de Toui des formations professionnellesUn impact positif sur la société

Les bénéfices de ce projet dépassent largement le cadre individuel. En renforçant l’autonomie économique des femmes, on contribue à réduire les inégalités, à lutter contre les violences basées sur le genre et à favoriser le développement durable de la région.

Les participantes, quant à elles, se montrent enthousiastes et déterminées. « Cette formation est une véritable bouffée d’oxygène. » « Je vois enfin un meilleur avenir pour moi et ma famille », confie l’une d’elles.

Ce projet pilote pourrait servir d’exemple pour d’autres régions du Bénin et au-delà. Il démontre que l’investissement dans l’éducation et la formation des femmes est un facteur clé de développement.

En conclusion, cette initiative est une étape importante dans la lutte pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes au Bénin. Elle témoigne de la volonté de créer un avenir plus juste et plus prospère pour tous.

 

Tour du Faso : El Kouraji Mohcine s’empare du maillot jaune

Ouagadougou, le 4 novembre 2024La 35e édition du Tour cycliste international du Faso s’est achevée hier dans une ambiance festive, avec la victoire éclatante d’El Kouraji Mohcine. En effet, cette compétition sportive d’envergure, qui a rassemblé une soixantaine de cyclistes venus de différents pays, a une nouvelle fois démontré le dynamisme du cyclisme africain et le rayonnement du Burkina Faso sur la scène sportive internationale.

Le Tour du Faso 2024 s'achève sur une victoire éclatante d'El Kouraji Mohcine, sous le regard du Président Traoré.

Le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, a honoré de sa présence à la cérémonie de clôture. Ainsi, il a souligné l’importance qu’il accorde au sport et à son rôle fédérateur. Dans son discours, il a félicité le vainqueur, El Kouraji Mohcine, pour sa performance exceptionnelle et rendu hommage à tous les participants pour leur engagement et leur esprit sportif.

Le Président a également salué l’organisation sans faille de cette compétition, qui a contribué à promouvoir l’image du Burkina Faso à l’étranger. Il a souligné l’importance de tels événements pour renforcer les liens entre les peuples et favoriser le développement du tourisme sportif.

Un hommage particulier a été rendu aux Forces de défense et de sécurité, dont le professionnalisme a permis d’assurer la sécurité de tous les participants et des spectateurs tout au long de l’épreuve. Leur engagement a ainsi contribué à faire de ce Tour du Faso un succès sur tous les plans.

 

Le cyclisme, vecteur d’unité et de paix

Au-delà de l’aspect sportif, le Tour du Faso est devenu au fil des années un symbole de paix, de fraternité et de solidarité entre les peuples. Cette compétition permet aussi de rassembler des sportifs de différentes cultures et de promouvoir les valeurs universelles du sport : le respect, l’effort, la persévérance et le fair-play.

En clôturant cette édition, le Président Traoré a réaffirmé sa volonté de faire du Burkina Faso un pays où le sport occupe une place centrale. Il a appelé les jeunes à pratiquer une activité sportive régulière et à s’inspirer des valeurs véhiculées par le cyclisme.

Les États-Unis renforcent l’éducation primaire au Bénin

Cotonou, le 2 novembre 2024 – L’ambassade des États-Unis au Bénin a marqué un nouveau jalon dans son engagement en faveur de l’éducation en inaugurant une salle de classe durable à Gouka, grâce à un financement accordé à l’association AVOSAH.

C’est l’Ambassadeur Shukan en personne qui a procédé à l’inauguration de cette nouvelle infrastructure, saluant ainsi l’engagement des autorités locales et des partenaires impliqués dans ce projet. Plus d’une centaine d’enfants pourront désormais bénéficier de meilleures conditions d’apprentissage grâce à cette salle de classe moderne et adaptée.

« Nous sommes ravis de contribuer à l’amélioration de l’éducation au Bénin », a déclaré l’ambassadeur Shukan lors de la cérémonie. « Cette salle de classe est un symbole de notre engagement à soutenir le développement du pays et à offrir aux jeunes générations les meilleures opportunités. »

Euloge WILBURT, un citoyen béninois, a exprimé sa gratitude envers les États-Unis : « Vous êtes de plus en plus présents dans le quotidien des Béninois et cela est très appréciable. »

Un partenariat pour l’éducation

Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de longue date entre les États-Unis et le Bénin, axé sur le développement de l’éducation, de la santé et de la gouvernance. L’Ambassade américaine soutient régulièrement des initiatives visant à améliorer l’accès à l’éducation, en particulier pour les enfants les plus défavorisés.

Les enjeux de l’éducation primaire

L’éducation primaire est un pilier fondamental du développement d’un pays. En investissant dans l’éducation des jeunes générations, les États-Unis contribuent à renforcer le capital humain du Bénin et à lui ouvrir de nouvelles perspectives de développement.

En somme, cette nouvelle salle de classe est un pas de plus vers un avenir dans lequel tous les enfants béninois auront accès à une éducation de qualité. Il reste encore beaucoup à faire, mais cette initiative est un signal fort de la volonté des États-Unis et du Bénin de travailler ensemble pour le développement du pays.

 

Le Bénin renoue avec l’or noir : retour à la production pétrolière dès 2025

Cotonou, le 2 novembre 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour le secteur énergétique béninois. Le pays se prépare à renouer avec sa production pétrolière, comme l’a annoncé le ministre de l’Énergie, de l’Eau et des Mines. Le porte-parole du gouvernement a apporté des précisions lors d’une conférence de presse le jeudi 31 octobre 2024.

C’est la remise en exploitation de la « réserve résiduelle » du bloc n°1 sur le champ pétrolier de Sèmè-Kraké, déjà exploité dans les années 80, qui marquera ce retour. Bien que les quantités exactes restent à déterminer, cette réserve pourrait permettre une production de plusieurs millions de barils. Cette remise en activité pourrait ainsi renforcer l’attractivité du pays pour les investisseurs et contribuer à son développement économique.

Des explorations en cours pour de découvertes

Mais ce n’est pas tout. Parallèlement à cette exploitation, de nouvelles explorations sont prévues sur d’autres blocs. Le gouvernement béninois affirme avec certitude l’existence de nouvelles réserves pétrolières, notamment grâce à des études géologiques préalables. Ces explorations permettront de déterminer avec précision les quantités de pétrole disponibles et les meilleures méthodes d’exploitation.

Une stratégie pour attirer les investisseurs

Interrogé sur les raisons de lancer la production avant la fin des explorations, le porte-parole du gouvernement a souligné qu’il s’agissait d’une « question de stratégie ». Selon lui, la présence d’une réserve exploitable, si minime soit-elle, incite les investisseurs et les entreprises du secteur pétrolier à s’intéresser au pays. Ces entreprises pourront ainsi mener des explorations plus approfondies et développer de nouveaux projets.

Un projet distinct du pipeline Niger-Bénin

Il est important de noter que les puits de pétrole qui seront mis en exploitation dès 2025 n’ont aucun lien avec le pipeline d’exportation construit en partenariat avec le Niger. Ce projet, qui permet d’exporter le pétrole nigérien via le port de Cotonou, est une initiative distincte.

Les enjeux de ce retour à la production pétrolière

Cette nouvelle donne ouvre de nombreuses perspectives pour le Bénin :

  • Renforcement de la sécurité énergétique : le pays pourra réduire sa dépendance aux importations d’hydrocarbures et renforcer son autonomie énergétique.
  • Création d’emplois : le développement du secteur pétrolier devrait générer de nombreux emplois, notamment dans les régions productrices.
  • Augmentation des recettes publiques : les revenus issus de la production et de l’exportation de pétrole pourront contribuer à financer des projets de développement.

Cependant, ce retour à la production pétrolière soulève également des questions environnementales et sociales auxquelles les autorités béninoises devront apporter des réponses.

 

CIIE 2024 : Le Bénin à la conquête du marché chinois

Cotonou, le 2 novembre 2024 – Le Bénin se prépare à briller sur la scène internationale. Du 5 au 10 novembre prochain, notre pays participera à la 7ᵉ édition de l’Exposition Internationale d’Importation de la Chine (CIIE) à Shanghai. En effet, cet événement d’envergure mondiale est une opportunité unique pour mettre en valeur le « Made in Benin » et renforcer les liens économiques avec la Chine.

Le Bénin, terre de saveurs et d’opportunités

Lors de cette foire, les visiteurs pourront découvrir une sélection de produits béninois de qualité, tels que L’ananas pain de sucre, réputé pour sa saveur sucrée et sa chair juteuse, les amandes de noix de cajou, appréciées pour leur qualité nutritionnelle, ainsi que les produits à base de miel et de karité, réputés pour leurs vertus cosmétiques.

Cette participation s’inscrit dans une volonté de diversifier les exportations béninoises et de renforcer aussi la position du pays sur le marché chinois, un marché en pleine expansion.

La CIIE, un tremplin pour l’économie béninoise

La CIIE, événement d’envergure mondiale, attire chaque année des milliers d’exposants et de visiteurs du monde entier. C’est une plateforme idéale pour les entreprises souhaitant se faire connaître et nouer de nouveaux partenariats.

Par ailleurs, elle offre au Bénin une opportunité unique de se positionner comme un acteur incontournable du commerce international. En participant à cette foire, le pays vise à renforcer sa présence sur le marché chinois, un marché en pleine expansion qui représente également un potentiel considérable pour les exportations béninoises. Le Bénin espère ainsi renforcer sa réputation en tant que pays producteur de produits agricoles de qualité.

Depuis sa création en 2018, la CIIE s’est imposée comme un rendez-vous incontournable pour les entreprises du monde entier souhaitant accéder au marché chinois. Elle offre une occasion unique de nouer des contacts, de conclure des affaires et de découvrir les dernières tendances du marché.

En somme, la participation du Bénin à la CIIE s’annonce comme un tournant majeur pour l’économie nationale. En mettant en valeur ses produits d’excellence et en nouant de nouveaux partenariats, le pays ouvre de nouvelles perspectives de développement. Les retombées de cet événement pourraient être considérables, tant en termes de création d’emplois que d’amélioration du niveau de vie des populations.

Les États-Unis renforcent le système pénitentiaire béninois

Cotonou, le 1ᵉʳ novembre 2024 Dans le cadre de son engagement à soutenir le développement du Bénin, les États-Unis ont procédé à un don significatif à l’Agence pénitentiaire du Bénin. En effet, le 25 octobre dernier, l’ambassadeur Shukan a remis officiellement des véhicules et des équipements de visioconférence destinés à améliorer les conditions de détention et à renforcer la sécurité dans les établissements pénitentiaires du pays.

Par ailleurs, ce don s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de longue date entre les deux pays, visant à promouvoir les droits de l’homme et à renforcer les institutions béninoises. Les nouveaux équipements permettront d’améliorer la mobilité des agents pénitentiaires, de faciliter la communication entre les établissements et de renforcer la surveillance des détenus.

Lors de la cérémonie de remise, l’ambassadeur Shukan a souligné l’importance de conditions de détention humaines et respectueuses des droits de l’homme. Il a rappelé que ce don s’inscrit dans une démarche globale de soutien au système pénitentiaire béninois, en vue de favoriser la cohésion sociale entre les détenus et de contribuer à la sécurité de tous.

De son côté, le directeur général de l’Agence pénitentiaire du Bénin a exprimé sa gratitude envers le gouvernement américain pour ce don précieux. Il a souligné que ces nouveaux équipements vont permettre d’améliorer considérablement les conditions de travail des agents pénitentiaires et de renforcer la sécurité dans les établissements.

En somme, ce don américain intervient alors que le Bénin s’engage dans une réforme profonde de son système pénitentiaire, visant à le rendre plus humain et plus efficace. Cette collaboration entre les deux pays est un signal fort de la volonté commune de promouvoir les droits de l’homme et de renforcer l’État de droit au Bénin.

 

 

L’ARMP-RDC s’inspire du modèle béninois

Cotonou, 01 novembre 2024 – Une délégation de l’Autorité de régulation des marchés publics de la République Démocratique du Congo (ARMP-RDC) a effectué une mission d’étude au Bénin du 14 au 20 octobre 2024 afin de s’imprégner des bonnes pratiques de l’Autorité de régulation des marchés publics du Bénin (ARMP-Bénin).

L’ARMP, un modèle béninois reconnu

L’objectif principal de cette mission était de renforcer la coopération entre les deux pays et d’améliorer l’efficacité du système de la commande publique en RDC. En outre, le Président du Conseil d’administration de l’ARMP-RDC, Armand CIAMALA KANYINDA, a souligné l’importance de tirer profit de l’expérience béninoise, reconnue pour ses avancées dans le domaine.

Au cours de leur séjour, les experts congolais ont pu échanger avec leurs homologues béninois sur divers sujets tels que :

  • Le cadre juridique et le financement de la régulation des marchés publics ;
  • Les outils stratégiques pour améliorer la transparence et l’efficacité des procédures ;
  • Les meilleures pratiques en matière de passation de marchés ;
  • La gestion des plaintes et la lutte contre la corruption ;
  • La professionnalisation des acteurs du système ;
  • L’évaluation du système des marchés publics ;
  • Les réformes en cours, notamment l’e-procurement et le partenariat public-privé.

Un partage d’expériences fructueux

À l’issue de cette mission, le président de l’ARMP-RDC a déclaré satisfaction quant aux avancées du Bénin dans le domaine de la régulation des marchés publics. Il a exprimé sa gratitude à ses hôtes béninois pour leur accueil chaleureux et leur disponibilité. Le Président de l’ARMP-RDC a aussi souligné l’intérêt pour son pays de s’inspirer de ce modèle afin d’améliorer l’efficacité de son propre système.

Cette coopération entre la RDC et le Bénin s’inscrit dans une dynamique de partage d’expériences et de bonnes pratiques visant à améliorer la gouvernance économique et à lutter contre la corruption en Afrique. En plus, la relation entre les deux pays témoigne de leur volonté commune à renforcer la transparence et la bonne gouvernance dans la gestion de leurs affaires publiques.