Cotonou,13 mars 2025 – Une réunion d’importance s’est tenue aujourd’hui, dans la capitale économique du Bénin, entre le nouveau ministre de l’Énergie, Paulin Akponna et M. Elhadj Oumar Diallo, représentant résident adjoint par intérim du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Bénin. En effet, cette rencontre, centrée sur la coopération bilatérale et les défis du secteur énergétique, marque un moment clé dans les efforts du pays pour surmonter ses obstacles énergétiques et tracer une voie vers un développement durable.
Les défis énergétiques structurels du Bénin
Par ailleurs, le Bénin fait face à des défis structurels dans son secteur énergétique. Selon des analyses récentes, le taux d’électrification national reste faible, particulièrement en zones rurales, où seulement une petite fraction des ménages bénéficie d’un accès à l’électricité. Le pays dépend fortement des importations pour satisfaire sa demande en électricité et en produits pétroliers, le rendant vulnérable aux fluctuations des prix et aux approvisionnements provenant de voisins comme le Nigeria et le Ghana.
De plus, la consommation d’énergie est dominée par la biomasse, utilisée par environ 80 % de la population pour les besoins de cuisson, ce qui contribue à la déforestation et à la dégradation environnementale. Ces défis sont exacerbés par une capacité de génération locale limitée et une infrastructure énergétique vulnérable aux impacts du changement climatique, comme souligné dans le rapport sur le climat et le développement du pays (Benin Can Create Opportunities for a Just Energy Transition and Green Inclusive Growth : World Bank Report).
Des initiatives prometteuses pour une transition énergétique
Cependant, des progrès notables ont été réalisés ces dernières années. Le gouvernement, sous l’impulsion de l’administration Talon, a adopté des réformes pour attirer des investissements privés dans la génération d’énergie, notamment via des partenariats public-privé. Des projets soutenus par la Millennium Challenge Corporation (MCC), comme la construction de 18 sous-stations et près de 900 kilomètres de lignes électriques, ont contribué à stabiliser et à étendre le réseau.
De plus, des initiatives pour promouvoir l’énergie solaire, comme un appel d’offres pour 50 MW de capacité photovoltaïque, sont en cours, réduisant la dépendance aux sources thermiques et aux importations. En plus, le PNUD joue un rôle clé dans le soutien aux initiatives d’électrification rurale, de renforcement des capacités et de résilience climatique, avec des projets comme la promotion de la production durable de biomasse en électricité.
Les axes clés de la coopération entre le Bénin et le PNUD
La réunion, tenue dans un climat de collaboration, a exploré des avenues pour renforcer la coopération entre le gouvernement béninois et le PNUD. Selon des sources proches, le Ministre Paulin Akponna a articulé sa vision, insistant sur la nécessité d’investir dans les énergies renouvelables pour assurer un développement durable et réduire l’empreinte carbone du pays. Il a également souligné l’importance de réformer le cadre réglementaire pour attirer bien plus d’acteurs privés et garantir la transparence.
Diallo, de son côté, a réaffirmé l’engagement du PNUD à soutenir le Bénin dans sa transition énergétique. Il a mentionné des projets en cours, tels que l’électrification rurale via des mini-réseaux solaires et le renforcement des compétences des entrepreneurs locaux dans le secteur énergétique. Les discussions ont porté sur plusieurs axes clés :
- Développement de politiques et réforme réglementaire : aider à élaborer des politiques favorisant un environnement propice aux investissements, notamment dans les énergies renouvelables.
- Renforcement des capacités : offrir des formations et une assistance technique aux parties prenantes locales, y compris les fonctionnaires, les acteurs privés et les leaders communautaires.
- Mise en œuvre de projets : soutenir des initiatives spécifiques pour augmenter l’accès à une énergie propre et abordable, particulièrement dans les zones rurales.
- Suivi et évaluation : mettre en place des systèmes robustes pour surveiller les progrès et l’impact des projets, assurant qu’ils répondent aux objectifs fixés.
Les défis à surmonter pour un avenir énergétique inclusif
Cette rencontre marque un tournant potentiel pour le secteur énergétique béninois. L’accent mis par Paulin Akponna sur les énergies renouvelables s’aligne aussi avec les tendances mondiales vers une transition énergétique propre, et le PNUD, avec son expertise, est bien positionné pour accompagner le pays dans cette voie. Des projets comme la centrale solaire de 50 MW, en préparation, pourraient réduire la dépendance aux importations et renforcer la résilience énergétique.
Cependant, des défis subsistent. La gouvernance efficace, la transparence et la gestion efficiente des ressources seront cruciales pour le succès des initiatives. Le financement des grands projets énergétiques reste une préoccupation, nécessitant des mécanismes innovants pour attirer des investissements domestiques et internationaux. De plus, l’implication des communautés locales dans la planification et la mise en œuvre des projets sera essentielle pour garantir des solutions durables et acceptées, comme le souligne le PNUD dans ses approches participatives.
Un tournant vers un futur énergétique durable
En somme, avec cette réunion, un nouveau chapitre s’ouvre dans la collaboration entre le gouvernement béninois et le PNUD. Les mois à venir révéleront comment ce partenariat se concrétisera, avec des initiatives potentielles comme le développement de la centrale solaire mentionnée. L’implication accrue des communautés locales pourrait également façonner des solutions adaptées, renforçant l’équité dans l’accès à l’énergie.
Le Bénin se trouve à un carrefour de son parcours énergétique, et les décisions prises maintenant auront des impacts durables sur son développement. La réussite de ces efforts dépendra de la capacité des parties à naviguer les complexités et à travailler ensemble vers une vision commune d’un avenir énergétique durable et inclusif pour tous ses citoyens.

Dès son arrivée, la délégation a entamé un dialogue fructueux avec les plus hautes autorités béninoises. Autour de la table, le Ministre des Affaires étrangères, M. Shegun Bakari, et son homologue de l’Agriculture, M. Gaston Dossouhoui, ont partagé leur vision d’un secteur agricole modernisé, pilier d’une souveraineté alimentaire retrouvée. En plus, ces échanges, empreints de gravité et d’espoir, ont permis de mesurer les avancées réalisées grâce aux projets soutenus par le FIDA, tout en traçant des perspectives audacieuses pour l’avenir rural du Bénin.
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Une moisson d’avenir
Youth Camp : inclusion et diversité au cœur de l’événement
Au fil des heures, les esprits se sont éveillés, les mains se sont activées. Sous la houlette d’experts, ces jeunes, issus de contrées aussi diverses que les collines de Dassa ou les plaines de Malanville, ont plongé dans un ballet intellectuel : identifier les maux qui rongent leurs communautés, esquisser des remèdes audacieux, façonner des prototypes et rêver leur envol sur les marchés. Ce n’est pas une vaine utopie, mais un dessein concret, ancré dans les réalités béninoises, où la créativité devient levier de progrès.
En somme, ce Youth Camp plante les graines d’un renouveau, où la jeunesse béninoise, dans toute sa diversité, se dresse comme un phare. Car, au bout de ce périple innovant, ce n’est pas seulement un prototype ou une idée qui verra le jour, mais une génération entière, prête à sculpter un avenir dans lequel nul ne sera oublié, où chaque pas en avant sera
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Un souffle collectif pour briser les chaînes
À Adjarra : des outils pour cultiver l’espoir des femmes
En plus, le thème de cette édition 2025, « Pour toutes les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation », a trouvé un écho particulier dans cette démarche. « Ces outils ne sont pas de simples objets», a poursuivi Mme AKOTO OKRY avec une conviction palpable, « ils sont des leviers pour ériger un avenir où vos droits s’épanouissent, où l’égalité n’est plus un horizon lointain et où votre autonomie s’affirme comme une évidence. » Les bénéficiaires, transportées d’une joie communicative, ont exprimé leur gratitude par des mélodies entraînantes et des pas de danse spontanés. Noussiratou TCHEHOUENOU, à la tête d’Edjromédé, a laissé éclater son émotion : « C’est une première pour nous, un 8 mars gravé dans nos mémoires. Que la providence veille sur vous pour ce souffle de vie que vous nous offrez ! »
À Zè : transformer le manioc, transformer des vies
Ambroisie MEDJAGBONON, qui préside Mèdédjro 2, a accueilli ces dons avec un sourire rayonnant : « Ces équipements vont décupler notre ardeur et notre rendement. » « Désormais, le manioc ne sera plus seulement une culture, mais un tremplin vers une vie meilleure. Merci à l’AFMEF pour cette lumière qu’elle nous tend. » Ce soutien matériel, bien plus qu’un appui logistique, incarne une reconnaissance de la créativité et de la résilience de ces femmes qui, jour après jour, transforment les ressources brutes en richesse collective.
l’autonomisation des femmes: une leçon de solidarité et d’avenir
En conclusion,