Cotonou : Le diagnostic au cœur des enjeux

Cotonou, 12 novembre 2024 – La 4ᵉ Conférence scientifique régionale de biologie médicale a ouvert ses portes à Cotonou le lundi 11 novembre. Réunissant des experts de toute l’Afrique de l’Ouest, cet événement majeur s’articule autour du thème crucial de la consolidation des capacités de diagnostic en laboratoire.

En réponse aux défis sanitaires croissants, cette conférence vise à améliorer significativement la qualité des diagnostics médicaux et à renforcer les systèmes de santé dans la région. Yves Éric Denon, président du comité d’organisation, exprime sa fierté d’accueillir la quatrième conférence ouest-africaine de biologie médicale, qui est également la première à se dérouler dans un pays francophone.

Ce congrès de trois jours est l’occasion de présenter les dernières avancées en matière de biologie médicale, de partager des expériences et de débattre des enjeux liés à l’amélioration des infrastructures de diagnostic. Les participants ont souligné l’importance de renforcer les capacités des laboratoires, de former les professionnels de la santé et de garantir l’accès à des équipements de diagnostic de qualité. Les discussions ont aussi porté sur la nécessité d’une collaboration étroite entre les différents acteurs du secteur de la santé.

Le gouvernement béninois, par la voix du professeur Marcel Zannou, a réaffirmé son soutien à cette initiative. Il a également souligné les progrès réalisés grâce à la crise de la COVID-19, tout en insistant sur la nécessité d’une gestion rigoureuse des équipements. La marraine de l’Association des biologistes médicaux du Bénin, la professeure Dorothée Akoko Kindé Gazard, a quant à elle appelé à une certification accrue des laboratoires.

Cette conférence marque une étape décisive dans la construction de systèmes de santé plus robustes en Afrique de l’Ouest et témoigne de la volonté des pays de la région de faire face aux défis sanitaires actuels et futurs.

Allada : Un atelier pour améliorer les soins maternels et néonatals

Allada, 7 novembre 2024 – Sur l’initiative de l’UNFPA Bénin CO et du ministère de la Santé, les professionnels de la santé de la région de l’Atlantique se sont réunis à Allada pour un atelier dédié à l’amélioration des soins maternels et néonatals. En effet, cet événement, placé sous l’égide du projet « 2 Heures Pour La Vie », vise à analyser les données enregistrées dans les 16 maternités du réseau SONU afin d’identifier les points forts et les défis à relever.

Un focus sur les données pour une meilleure prise en charge

Les participants, parmi lesquels figurent des obstétriciens, des pédiatres et des infirmières, se penchent sur les données recueillies lors du monitoring SONU des trois derniers trimestres de 2024. Par ailleurs, l’objectif est d’obtenir une vision précise de la situation actuelle et d’identifier les domaines sur lesquels des améliorations sont nécessaires. Qu’il s’agisse de réduire les délais de prise en charge en cas d’urgence, d’optimiser la communication entre les professionnels de la santé ou d’améliorer l’utilisation des ressources, chaque aspect est passé au crible.

Un atelier à Allada analyse les données de santé maternelle et néonatale pour améliorer la qualité des soins dans la région de l'Atlantique.Le projet « 2 Heures Pour La Vie », un catalyseur de changement

Soutenu par le projet « 2 Heures Pour La Vie », cet atelier s’inscrit aussi dans une démarche globale visant à renforcer la qualité des soins obstétricaux et néonatals. En fournissant un appui technique et financier aux maternités, ce projet contribue à créer un environnement plus sûr pour les accouchements.

Des résultats attendus pour un impact durable

Les attentes sont élevées à l’issue de cet atelier. Les participants espèrent une meilleure compréhension des tendances et des défis liés à la santé maternelle et infantile, ainsi que l’élaboration de plans d’action concrets pour améliorer la qualité des soins. L’objectif ultime est de réduire la mortalité maternelle et infantile et d’assurer un meilleur avenir pour les mères et les nouveau-nés.

En somme, cet atelier marque une étape importante dans l’amélioration de la santé maternelle et infantile dans la région de l’Atlantique. En mettant l’accent sur l’analyse des données et la collaboration entre les professionnels de la santé, les acteurs de ce projet contribuent à bâtir un système de santé plus résilient et plus efficace.

 

Bénin : Un pas de géant vers l’assurance maladie obligatoire 

Cotonou, le 30 octobre 2024 – Le Conseil des ministres, réuni sous la présidence de Patrice Talon, a donné son accord pour la contractualisation de la gestion opérationnelle de l’assurance maladie dans le cadre du projet « Assurance pour le renforcement du capital humain ». Cette décision marque une avancée significative dans la mise en œuvre de l’assurance Maladie obligatoire pour tous les résidents béninois.

En effet, ce projet ambitieux vise à réduire de manière notable les inégalités de genre et à améliorer l’accès aux soins de santé pour les populations les plus vulnérables. En rendant l’assurance Maladie obligatoire pour tous les résidents du pays, le gouvernement béninois s’engage à offrir une protection sociale plus équitable.

Une approche partenariale pour une mise en œuvre efficace

Pour mettre en œuvre ce projet de grande envergure, l’Agence nationale de protection sociale a choisi de faire appel à une structure expérimentée, reconnue pour son expertise sur le continent africain. Cette structure aura pour mission de révolutionner la gestion de l’assurance maladie en se focalisant sur quatre axes principaux.

Premièrement, elle devra optimiser la gestion des adhésions et des sinistrés, en simplifiant les procédures pour les assurés et en accélérant le traitement des remboursements.

Deuxièmement, elle sera chargée de l’émission des factures, veillant à une gestion financière transparente et rigoureuse. Troisièmement, une attention particulière sera portée aux spécificités du Bénin, en adaptant les services au niveau de connectivité variable des établissements de santé et en répondant aux besoins uniques de la population.

Enfin, la digitalisation des processus est primordiale pour moderniser le système et rendre les services d’assurance maladie plus accessibles aux assurés. Cette transformation numérique est essentielle pour assurer une couverture santé efficace et inclusive, marquant un pas significatif vers l’amélioration du bien-être des citoyens.

Un délai de six mois pour un lancement réussi de l’assurance maladie

Par ailleurs, le Conseil des ministres a donné son accord pour la signature d’un contrat avec cette structure. Cette dernière disposera de six mois pour mettre en place ses activités et lancer officiellement l’assurance maladie obligatoire. Ce délai relativement court témoigne de la volonté du Gouvernement de mettre en œuvre rapidement ce projet essentiel.

L’instauration de l’assurance maladie obligatoire au Bénin est une initiative cruciale qui vise à transformer le paysage sanitaire national. Cela implique un engagement financier manifeste, une gestion méthodique et la collaboration étroite entre divers secteurs.

Les objectifs sont ambitieux, mais essentiels : garantir un accès équitable aux soins médicaux, surtout pour les citoyens les moins aisés, consolider la protection sociale pour atténuer les risques liés à la santé, et améliorer le système de santé en élargissant et en améliorant la qualité des prestations médicales. Ces efforts collectifs sont fondamentaux pour édifier un système de santé robuste et inclusif.

En somme, cette réforme constitue une étape majeure dans la construction d’un système de santé plus juste et plus efficace au Bénin. Elle s’inscrit dans la ligne droite des engagements pris par le Gouvernement en faveur du bien-être de tous les citoyens.

À Nikki, l’UNICEF et les relais communautaires font la différence

Nikki, 14 octobre 2024— Loin des grands discours et des sommets internationaux, c’est dans une maison modeste de Nikki qu’une véritable révolution s’opère. En effet, Gilles Fagninou, directeur régional de l’UNICEF Afrique, et Justin, relais communautaire, ont montré, lors d’une visite de routine, l’impact concret de leur travail au cœur des communautés.

Accompagné de Justin, véritable pilier de la santé dans cette région, Gilles Fagninou a pu constater de visu les progrès réalisés grâce à l’engagement des relais communautaires. Ces hommes et ces femmes, ancrés dans leur communauté, jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation aux bonnes pratiques d’hygiène, à l’importance de la vaccination et au dépistage des maladies.

 Le directeur régional de l'UNICEF témoigne de l'impact extraordinaire des relais communautaires sur la santé des enfants au Bénin.« Justin et ses collègues sont les véritables héros de cette histoire », a déclaré Gilles Fagninou. « Grâce à leur dévouement, nous parvenons à atteindre les populations les plus vulnérables et à améliorer significativement leur état de santé. »

Cette visite a été l’occasion de rappeler l’importance de l’approche communautaire dans la lutte contre les maladies. En travaillant en collaboration étroite avec les populations, l’UNICEF parvient à renforcer les systèmes de santé locaux et à rendre les soins plus accessibles.

« Notre objectif est de donner aux communautés les moyens de prendre en charge leur propre santé », a souligné le directeur régional. « En formant et en équipant les relais communautaires, nous leur permettons de devenir les premiers acteurs du changement. »

Le Bénin, grâce à cette approche novatrice, est en passe de devenir un modèle en matière de santé communautaire. Les résultats obtenus à Nikki sont encourageants et témoignent de l’efficacité de cette stratégie.

En conclusion, cette visite à Nikki a mis en lumière l’importance de l’engagement des communautés dans la construction d’un meilleur avenir pour tous. Grâce à des initiatives comme celles de l’UNICEF, les progrès en matière de santé sont tangibles et durables.

 

Cotonou au cœur de la lutte contre la drépanocytose

Cotonou, le 11 octobre 2024 – Le Bénin accueille depuis mercredi dernier le 19e Congrès international sur la drépanocytose. En effet, cet événement majeur, organisé par l’association DORYS avec le soutien du gouvernement béninois et de partenaires internationaux, réunit des experts mondiaux, des associations de patients et des professionnels de la santé autour d’un objectif commun : améliorer la prise en charge de cette maladie génétique qui touche des millions de personnes dans le monde, particulièrement en Afrique.

Le choix de Cotonou pour accueillir ce Congrès témoigne de l’engagement du Bénin dans la lutte contre la drépanocytose. Le gouvernement béninois, à travers le Ministère de la Santé, multiplie les initiatives pour améliorer la prise en charge des patients et renforcer la recherche.

par ailleurs la Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, Madame Véronique TOGNIFODÉ, considère le Congrès comme une opportunité unique de mener une réflexion collective. Cette réflexion ne se limite pas aux implications médicales de la drépanocytose, mais englobe également les répercussions sociales et économiques de cette condition.

Une annonce majeure pour l’avenir

Le ministre de la Santé, Benjamin HOUNKPATIN, a fait une annonce importante lors de la cérémonie d’ouverture : « Grâce au précieux appui de la Fondation Claudine TALON, le Bénin érigera très bientôt un centre de haut standing avec un plateau technique performant pour la recherche ainsi que l’offre des soins et services intégrés dans la lutte contre la drépanocytose et comprend la greffe ». Cette nouvelle infrastructure représente un espoir majeur pour les patients béninois et pour la recherche sur la drépanocytose en Afrique.

Lutte contre la drépanocytose : Des échanges fructueux entre experts

Durant trois jours, les participants échangeront leurs expériences, présenteront les dernières avancées scientifiques et discuteront des meilleures pratiques en matière de prévention, de diagnostic et de traitement de la drépanocytose. Les thèmes abordés seront variés :

  • La recherche : les dernières découvertes sur les mécanismes de la maladie et les nouvelles pistes thérapeutiques.
  • La prise en charge : les traitements disponibles, les soins de soutien, l’amélioration de la qualité de vie des patients.
  • Les aspects sociaux et économiques : L’impact de la drépanocytose sur les familles, les communautés et les systèmes de santé.

 Experts mondiaux réunis à Cotonou pour le 19ème Congrès international sur la drépanocytose : avancées scientifiques, partage d'expériences et espoir pour les patients.Un élan de solidarité

Le Dr Salmane AMIDOU, l’un des organisateurs du congrès, s’est félicité pour la mobilisation de tous les acteurs impliqués dans la lutte contre la drépanocytose. » « Avec ce Congrès, il y aura un avant et un après dans la prise en charge de cette maladie », a-t-il déclaré.

Le représentant résident de l’OMS au Bénin, Jean KOUAME, a également réaffirmé l’engagement de l’organisation à soutenir les pays africains dans leur lutte contre la drépanocytose.  » L’OMS se maintiendra toujours aux côtés des acteurs pour faire avancer la recherche et améliorer la pratique de prise en charge de cette maladie », c’est assuré.

En conclusion, ce Congrès international est une étape importante dans la lutte contre la drépanocytose en Afrique. Il témoigne de la volonté de la communauté internationale et des pays africains de s’unir pour améliorer la vie des personnes atteintes de cette maladie.

 

130 millions pour moderniser la pédiatrie au CNHU-HKM

Cotonou, le 9 octobre 2024 – Une nouvelle ère s’annonce pour le Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM). D’importants travaux de modernisation, d’un montant évalué à 130 millions de FCFA, vont bientôt débuter au sein de l’établissement. Ces travaux visent notamment à rénover entièrement le service de Pédiatrie.

La totalité des salles de consultation et d’hospitalisation sera rénovée. Il y aura également une modernisation des installations électriques, de la climatisation, du câblage informatique et des réseaux pour offrir un environnement plus agréable et plus pratique aux patients et au personnel médical.

Selon les dernières informations, les travaux, d’une durée estimée à huit mois, devraient démarrer prochainement. Par ailleurs, un appel d’offres est en cours afin de choisir la société qui s’occupera de ces travaux.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la politique de modernisation du secteur de la santé menée par le Gouvernement béninois. En investissant dans la rénovation de ses infrastructures, le CNHU-HKM vise à améliorer la qualité des soins prodigués aux enfants et à renforcer son rôle de référence dans le domaine de la pédiatrie au Bénin.

« Ces travaux sont une étape importante dans la modernisation de notre hôpital », a déclaré le Professeur Dieu donné Gnonlonfoun, Directeur général du CNHU-HKM. « Ils permettront d’offrir des soins de meilleure qualité aux enfants et de renforcer notre attractivité ».

En bref, ces travaux de rénovation s’inscrivent dans une dynamique plus large de modernisation du système de santé béninois. Le Gouvernement, conscient des enjeux, multiplie les initiatives pour améliorer les infrastructures hospitalières et renforcer les capacités du personnel soignant. Avec ces investissements, le Bénin pose les bases d’un système de santé plus performant et plus résilient.

L’UNICEF félicite le Bénin pour ses progrès en santé communautaire

Cotonou, 9 octobre 2024 – Gilles Fagninou, directeur régional de l’UNICEF au Bénin, a exprimé son admiration pour les progrès réalisés par le Bénin en matière de santé, lors d’une visite au ministère de la Santé hier. Au cours de son entretien avec le Ministre Benjamin Hounkpatin, le représentant de l’UNICEF a souligné l’importance du modèle de santé communautaire mis en place par le Gouvernement béninois.

« Nous partageons l’idée que la révolution en santé se trouve dans la santé communautaire. » « Le modèle que vous mettez en place est inspirant, et il pourrait servir d’exemple à d’autres pays », a déclaré Gilles Fagninou.

L'UNICEF salue les progrès significatifs du Bénin en matière de santé communautaire et souligne l'impact positif sur la santé maternelle et infantile.Les deux personnalités ont notamment salué les avancées significatives réalisées dans le domaine de la santé maternelle et infantile. Le continuum de nutrition, allant des 1000 premiers jours de la vie aux cantines scolaires, a été particulièrement mis en avant. « D’ici peu, nous serons capables de gérer de manière autonome le financement de la santé communautaire au niveau national. » « Depuis deux ans, l’UNICEF nous a aidé à construire cette base, et les résultats sont déjà perceptibles », a affirmé le ministre, Benjamin Hounkpatin.

Cette rencontre témoigne aussi de la collaboration fructueuse entre l’UNICEF et le Gouvernement béninois. Les efforts conjugués des deux parties ont permis d’améliorer considérablement l’accès aux soins de santé pour les populations les plus vulnérables.

Si les progrès sont encourageants, des défis persistent encore, particulièrement en matière d’accès aux soins dans les zones rurales et de financement durable des programmes de santé communautaire.

En bref, les progrès accomplis par le Bénin en matière de santé communautaire sont remarquables et témoignent de l’engagement du Gouvernement et de ses partenaires. Pour consolider ces acquis, il est essentiel de maintenir le cap et de poursuivre les efforts en matière de financement, de formation des acteurs de santé.

L’hôpital de zone de Savè bientôt opérationnel

Cotonou, le 7 octobre 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour les habitants du département des Collines. L’hôpital de zone de Savè, dont les travaux ont été lancés il y a plusieurs années, est sur le point d’être inauguré. C’est ce qu’a annoncé le ministre de la Santé, le professeur Benjamin HOUNKPATIN, lors d’une visite de chantier effectuée le mercredi 2 octobre.

L'hôpital de zone de Savè, une infrastructure moderne, ouvrira bientôt ses portes, améliorant l'accès aux soins de santé pour les habitants des Collines.Une infrastructure moderne au service de la population

Accompagné du maire de Savè, Denis OBA CHABI, le ministre a pu constater avec satisfaction l’avancement des travaux. Cette infrastructure moderne, équipée de matériel de dernière génération, répondra aux besoins de soins de santé de toute la population du département. Les habitants des Collines pourront désormais bénéficier de soins de qualité et de proximité, sans avoir à se déplacer sur de longues distances.

Une réalisation saluée par tous.

Le maire de Savè n’a pas caché sa joie et sa fierté face à cette réalisation majeure. Il a salué les efforts du Gouvernement pour avoir mené à bien ce projet malgré les difficultés rencontrées. « C’est une victoire pour notre commune », a-t-il déclaré.

L'hôpital de zone de Savè, une infrastructure moderne, ouvrira bientôt ses portes, améliorant l'accès aux soins de santé pour les habitants des Collines.Les derniers réglages en cours

Au cours de sa visite, le ministre HOUNKPATIN a pu inspecter les différents services de l’hôpital, tels que la centrale des fluides, le service d’imagerie, les urgences et la gynécologie. Il a donné des instructions pour accélérer les derniers travaux afin que l’hôpital puisse ouvrir ses portes dans les meilleurs délais.

Une promesse tenue

La réalisation de ce gros œuvre s’inscrit dans le cadre de la politique du gouvernement visant à améliorer l’accès aux soins de santé pour tous les Béninois. Le ministre HOUNKPATIN a rappelé que l’accès aux soins de qualité est un droit fondamental et que le gouvernement est déterminé à offrir à tous les citoyens les meilleures conditions de vie.

L'hôpital de zone de Savè, une infrastructure moderne, ouvrira bientôt ses portes, améliorant l'accès aux soins de santé pour les habitants des Collines.En somme, la prochaine ouverture de l’hôpital de zone de Savè est une excellente nouvelle pour la population. Cet équipement moderne va permettre d’améliorer considérablement l’accès aux soins. Cependant, pour garantir la pérennité de cette infrastructure, il est nécessaire de renforcer les ressources humaines, de développer des programmes de prévention et de favoriser les partenariats. L’avenir de la santé dans le Département des Collines dépendra de notre capacité à relever ces défis.

Le Bénin lève le voile sur sa nouvelle stratégie santé

Parakou, 7 octobre 2024 –La collaboration entre le Bénin et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a récemment atteint une nouvelle étape. En effet, le ministre de la Santé, le professeur Benjamin Hounkpatin, a officiellement lancé vendredi dernier la Stratégie de coopération entre les deux institutions pour la période 2023-2027. Cet événement majeur a été couplé avec l’inauguration du sous-bureau de l’OMS à Parakou, marquant ainsi une volonté de renforcer l’accès aux soins de santé dans le nord du pays.

Le ministère béninois de la Santé et l'OMS unissent leurs forces pour améliorer la qualité des services de santé et renforcer la résilience face aux urgences sanitaires.Un partenariat stratégique pour un avenir meilleur

La nouvelle stratégie de coopération s’articule autour de quatre axes clés : renforcer le système de santé, améliorer la qualité des soins, renforcer la préparation aux urgences sanitaires Encourager l’éducation à la santé ; favoriser un environnement sain et promouvoir la santé publique. Selon le Dr Jean Kouamé KONAN, Représentant résident de l’OMS au Bénin, « les efforts du gouvernement béninois pour moderniser les infrastructures et garantir un accès équitable aux soins sont un exemple pour toute l’Afrique ».

Cette stratégie s’inscrit parfaitement dans le cadre du Plan Cadre des Nations Unies pour le Développement Durable, a souligné la Coordinatrice du Système des Nations-Unies. « Ce plan trace la voie pour une action concertée des agences onusiennes au Bénin, en lien avec les Objectifs de Développement Durable (ODD), a-t-elle déclaré. »

Le ministère béninois de la Santé et l'OMS unissent leurs forces pour améliorer la qualité des services de santé et renforcer la résilience face aux urgences sanitaires.Parakou, un nouveau front dans la lutte pour la santé

Par ailleurs, le Professeur Benjamin Hounkpatin a exprimé sa reconnaissance pour la coopération fructueuse avec les organisations des Nations unies, contribuant significativement à l’amélioration de la santé publique. Soulignant les progrès réalisés grâce à cette collaboration, il a également procédé à l’inauguration du sous-bureau de l’OMS à Parakou en réponse aux défis sanitaires spécifiques de la région septentrionale, notamment la résurgence d’épidémies, qui nécessite une intervention rapide et déterminée face aux urgences sanitaires. « L’ouverture de ce bureau permettra de rapprocher l’assistance technique des acteurs de terrain », a expliqué le ministre Hounkpatin.

Le ministère béninois de la Santé et l'OMS unissent leurs forces pour améliorer la qualité des services de santé et renforcer la résilience face aux urgences sanitaires.Les enjeux

Ce partenariat stratégique entre le Bénin et l’OMS revêt une importance capitale pour plusieurs raisons :

  • Amélioration de la couverture sanitaire : Le renforcement du système de santé permettra d’étendre l’accès aux soins à l’ensemble de la population, y compris dans les zones les plus reculées.
  • Lutte contre les maladies : La préparation aux urgences permettra de mieux faire face aux épidémies et autres crises de santé publique.
  • Promotion de la santé : L’éducation à la santé et la promotion d’un environnement sain contribueront à améliorer la qualité de vie des Béninois.

En conclusion, le lancement de cette nouvelle stratégie de coopération et l’ouverture du sous-bureau de l’OMS à Parakou marquent une étape importante dans la construction d’un système de santé plus résilient et plus performant au Bénin. Ce partenariat promet de nombreux bénéfices pour la population béninoise.

Les vétérinaires béninois au cœur de la santé publique

Cotonou, 26 septembre 2024 – Les premières Journées Vétérinaires du Bénin ont été lancées ce jeudi par le ministre de l’Agriculture, Gaston Cossi DOSSOUHOUI. Réunissant les professionnels du secteur, cet événement met en lumière le rôle crucial des vétérinaires dans la préservation de la santé publique.

En effet, sous le thème « Le vétérinaire, un agent essentiel de santé au cœur de l’approche One Health », les participants ont abordé des enjeux majeurs tels que la sécurité sanitaire des aliments, la lutte contre les zoonoses et la résistance aux antimicrobiens. Par ailleurs, le ministre DOSSOUHOUI a souligné l’importance de garantir l’accès aux soins vétérinaires pour les animaux, tout en protégeant la santé humaine.

Les premières Journées Vétérinaires du Bénin ont mis en évidence le rôle des vétérinaires dans la préservation de la santé publique Les vétérinaires : Une profession au cœur des défis sanitaires

La mondialisation, les changements climatiques et l’intensification des productions animales ont multiplié les risques d’émergence de nouvelles maladies. Les vétérinaires sont en première ligne pour faire face à ces défis. « Ils jouent un rôle essentiel dans la prévention et le contrôle des maladies animales, qui peuvent se transmettre à l’homme », a déclaré le ministre.

En plus, la coïncidence de ces journées avec la Journée Mondiale de lutte contre la rage a offert l’occasion de rappeler les risques liés à cette maladie zoonotique. Les vétérinaires ont été appelés à intensifier leurs efforts de sensibilisation auprès des populations.

Les premières Journées Vétérinaires du Bénin ont mis en évidence le rôle des vétérinaires dans la préservation de la santé publique Un tournant pour la filière élevage

Face à l’interdiction prochaine (31 décembre 2024)des importations de volailles congelées, le ministre a incité les vétérinaires à accompagner les éleveurs béninois dans le développement de productions locales. « Nous devons renforcer les conseils agricoles et promouvoir des pratiques d’élevage durables », a-t-il souligné.

Pour Christian DOVONOU, président du Conseil de l’Ordre National des Médecins Vétérinaires du Bénin, ces journées marquent également  une étape importante pour la profession. « C’est le fruit de plusieurs années de travail et nous espérons que cet événement deviendra un rendez-vous annuel incontournable », at-il déclaré.

Les points clés à retenir :

  • One Health : Une approche globale qui reconnaît les liens étroits entre la santé humaine, animale et environnementale.
  • Zoonoses : Maladies transmissibles des animaux à l’homme.
  • Antibiorésistance : Une menace croissante pour la santé publique.
  • Sécurité sanitaire des aliments : Un enjeu majeur pour protéger les consommateurs.

En bref, les premières Journées Vétérinaires du Bénin ont été l’occasion de mettre en avant le rôle essentiel des vétérinaires dans la préservation de la santé publique et animale. Cet événement marque une nouvelle étape dans le développement du secteur de l’élevage au Bénin.

Révolution de la santé au Bénin : de nouveaux référentiels

Le gouvernement béninois a franchi une nouvelle étape dans l’amélioration de la qualité des soins de santé en lançant un vaste chantier de révision des référentiels de soins. en effet, ces outils, qui représentent les meilleures pratiques médicales, doivent garantir une prise en charge uniforme des patients sur tout le territoire national.

Des référentiels obsolètes

Par ailleurs, les anciens référentiels, datant d’une dizaine d’années, étaient jugés insuffisants et ne répondaient plus aux besoins actuels. Ils souffraient notamment d’un manque d’implication des sociétés savantes et ne couvraient qu’une partie des spécialités médicales.

L'Autorité de Régulation du secteur de la Santé au Bénin lance un vaste chantier pour mettre à jour les référentiels de soins Un atelier pour définir les nouveaux standards

C’est dans ce contexte que l’Autorité de Régulation du secteur de la Santé (ARS) a organisé un atelier le 25 septembre dernier. Cet événement a rassemblé l’ensemble des professionnels de santé pour définir les contours des nouveaux référentiels. Les participants ont travaillé en groupes pour élaborer des projets de toile qui serviront de base à la rédaction des documents finaux.

Des bénéfices pour les patients

Le Dr Lucien DOSSOU-GBETE, président de l’ARS, affirme que les nouveaux référentiels bénéficieront grandement aux patients. Il explique : « Ces guides permettront une prise en charge uniforme des malades atteints de la même maladie, dans toutes les villes et centres de santé. » L’ARS a établi des priorités claires, accordant une attention particulière aux maladies maternelles et infantiles, ainsi qu’aux maladies prises en charge par l’assurance maladie.

Un calendrier ambitieux

L’ARS a fixé un objectif ambitieux : les nouveaux référentiels de soins devraient être disponibles d’ici la fin du mois de novembre 2024.L’urgence d’améliorer la qualité des soins et de réduire les disparités entre les différentes régions du pays justifie cette rapidité.

En se dotant de nouveaux référentiels de soins, le Bénin franchit une étape décisive vers l’amélioration de la santé de sa population. Cette initiative s’inscrit aussi dans une dynamique de modernisation du système de santé et témoigne de la volonté du gouvernement de garantir l’accès à des soins de qualité pour tous.

Les vétérinaires béninois au cœur des enjeux de santé publique

Cotonou, 23 septembre 2024 – Les vétérinaires béninois s’apprêtent à vivre un événement majeur. Du 26 au 28 septembre prochain, le Palais des congrès de Cotonou accueillera les premières Journées Vétérinaires du Bénin. Organisé par l’Ordre national des médecins vétérinaires du Bénin (ONMV-B), cet événement vise à mettre en lumière le rôle crucial de ces professionnels dans la santé publique.

Sous le thème « Le vétérinaire, un agent essentiel de santé au cœur de l’approche One Health », ces journées seront l’occasion de faire le point sur les défis et les opportunités de la profession dans un contexte de mondialisation et également d’émergence de maladies nouvelles.

Une approche « One Health » pour une santé globale

Les conférenciers, dont le président de l’ONMV-B, le Dr Christian Dovonou, ont souligné l’importance de l’approche « One Health ». Cette approche reconnaît les liens étroits entre la santé humaine, animale et environnementale. En effet, plus de 60% des maladies humaines existantes ont une origine animale. Les vétérinaires, en tant que gardiens de la santé animale, jouent donc un rôle essentiel dans la prévention et le contrôle des maladies zoonotiques.

Les vétérinaires béninois face à de nouveaux défis

Par ailleurs, la profession vétérinaire au Bénin est confrontée à plusieurs défis :

  • La concurrence : L’ouverture des frontières et les réformes administratives ont intensifié la concurrence dans le secteur.
  • Les attentes des consommateurs : Les consommateurs sont de plus en plus exigeants en matière de sécurité alimentaire et de qualité des produits.
  • Les maladies émergentes : L’émergence de nouvelles maladies, telles que la résistance aux antimicrobiens, constituent une menace pour la santé publique.

Un programme riche et varié

Les Journées Vétérinaires du Bénin proposent un programme riche et varié, avec des conférences, des débats, des expositions et des ateliers. Les participants pourront ainsi échanger sur les meilleures pratiques et les dernières avancées en matière de santé animale et de sécurité alimentaire.

Un appel à la mobilisation

L’ONMV-B appelle l’ensemble des acteurs de la santé, des autorités publiques et de la société civile à se mobiliser pour soutenir les vétérinaires béninois dans leur mission.

En bref, ces premières Journées Vétérinaires du Bénin marquent une étape importante dans la reconnaissance du rôle essentiel des vétérinaires dans la préservation de la santé publique.

Amnesty Bénin : Santé pour tous, un défi pour demain

Cotonou , le 23 septembre 2024 – Dans un élan de solidarité pour la santé des citoyens, Amnesty International Bénin, en collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux, a inauguré une campagne d’éducation sur le droit à la santé. Cette initiative, qui coïncide avec la journée internationale de la sécurité des patients, a été officiellement lancée le 20 septembre 2024 à Cotonou.

L’événement a réuni des représentants de haut niveau, y compris ceux du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), de l’autorité de régulation du secteur de la santé, du ministère des Affaires sociales et de la Microfinance, ainsi que de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Amnesty International Bénin a lancé à Cotonou un vaste programme pour promouvoir le droit à la santé au Bénin. Campagne Amnesty Bénin : Pour un accès équitable aux médicaments essentiels

La campagne se concentrera sur des sujets cruciaux tels que les violences gynécologiques et obstétricales, les droits des personnes incarcérées et les mécanismes de recours disponibles en cas de violation des droits à la santé. Elle vise à sensibiliser le public et à encourager le dialogue sur ces questions importantes, en mettant en lumière les défis et les solutions possibles.

Amnesty International Bénin et ses partenaires ont annoncé un programme riche et diversifié d’activités. Ce programme inclut des sessions de sensibilisation, des dialogues communautaires et des classes.Des caravanes d’information parcourront le pays pour éduquer sur les violences gynécologiques et obstétricales, tandis que des micro-trottoirs recueilleront les perceptions du public sur ces violences. Onze villes importantes du Bénin seront l’objet de campagnes d’affichage, ainsi que d’émissions radiophoniques et télévisées en français et en langues locales.

Amnesty International Bénin a lancé à Cotonou un vaste programme pour promouvoir le droit à la santé au Bénin. L’un des objectifs clés de cette campagne est la rédaction et la diffusion d’une charte des droits et devoirs des patients, élaborée en collaboration avec l’Autorité de Régulation de la Santé (ARS). Cette charte informe les citoyens de leurs droits et responsabilités en matière de santé et garantit le respect et la promotion de ces droits à travers le pays.

L’engagement de toutes les parties prenantes, y compris les institutions gouvernementales, les organisations de la société civile, les professionnels de la santé et les médias, est essentiel pour le succès de cette campagne. En collaboration, ils œuvrent à la création d’un système de santé plus équitable et accessible pour tous les Béninois, garantissant le droit à la santé pour tous et applicable à tous.

5 milliards CFA pour améliorer la santé reproductive au Bénin

Grand-Popo, le 20 septembre 2024 – Un nouveau souffle pour la santé sexuelle et reproductive au Bénin. L’Association Béninoise pour la Promotion de la Famille (ABPF) a lancé, hier, un ambitieux projet de renforcement des services de santé sexuelle et reproductive (RSSSR) à Grand-Popo. En effet, Financé par les Pays-Bas à hauteur de plus de 5 milliards 382 millions 218 francs CFA, ce projet, d’une durée de quatre ans, vise à améliorer l’accès aux soins pour les femmes et les jeunes.

Réunis à Grand-Popo, les partenaires impliqués dans ce projet ont défini les contours de leur collaboration. Cet atelier permettra de :

  • Mettre toutes les pièces du puzzle en place.
  • Donner un coup de boost à la mise en œuvre du projet.
  • S’assurer que tout le monde soit sur la même longueur d’onde.

Au cours de cet atelier, les participants travailleront de manière collaborative pour définir clairement les responsabilités de chaque partie prenante et renforcer la coordination interinstitutionnelle, élément clé de la réussite du projet. Les discussions porteront également sur les stratégies à mettre en œuvre pour surmonter les défis potentiels liés à la gestion des ressources, à la logistique et au suivi-évaluation des activités. L’objectif est de garantir une mise en œuvre efficace du projet et d’optimiser son impact.

Le Bénin renforce ses services de santé sexuelle et reproductive grâce à un projet de 4 ans financé par les Pays-Bas, Santé reproductive :  Un projet ambitieux aux enjeux multiples

Ce projet ne se limite pas à renforcer les infrastructures sanitaires. Il est  aussi un véritable moteur de changement pour améliorer la santé sexuelle et reproductive au Bénin. En Formant les professionnels de santé

locales et en sensibilisant les populations, il permettra d’offrir à tous, en particulier aux jeunes et aux femmes, un accès équitable à des soins de qualité. Grâce à des mécanismes de suivi innovants, nous pourrons mesurer les progrès réalisés et ajuster notre approche pour un impact maximal.

Des défis à relever

La mise en œuvre de ce projet ne sera pas sans défis. Les partenaires devront notamment faire face à des contraintes logistiques, à des résistances culturelles et à la nécessité de coordonner les actions de nombreux acteurs. Mais les participants à l’atelier se sont montrés déterminés à relever ces défis.

Un partenariat solide pour un avenir meilleur

Le consortium formé par l’ABPF, IPAS, Engender Health, ABMS/PSI et le CNGOB dispose d’une expertise reconnue dans le domaine de la santé reproductive. Ce partenariat solide est aussi  un gage de réussite pour ce projet.

Grâce à ce projet, les partenaires espèrent  améliorer significativement la santé des femmes et des jeunes au Bénin.

Un plan d’action à long terme 

Les partenaires vont désormais mettre en œuvre les plans d’action définis lors de l’atelier. Des mécanismes de suivi rigoureux seront mis en place pour évaluer les progrès et ajuster les stratégies si nécessaire.

En bref, le succès de ce projet pourrait servir de modèle pour d’autres régions du Bénin et contribuer à améliorer la santé reproductive de toute une génération.

L’UNICEF offre une nouvelle vie aux nouveau-nés du Zou

Bénin, 16 septembre 2024 – Le Centre Hospitalier Départemental du Zou vient de recevoir un coup de pouce considérable pour améliorer la prise en charge des nouveau-nés. Grâce à un généreux don de l’UNICEF, financé en partie par le Fonds Français Muskoka, l’établissement est désormais équipé d’appareils de pointe pour sauver des vies.

Incubateurs, moniteurs, lampes de photothérapie, respirateurs… l’hôpital dispose désormais de tout le matériel nécessaire pour soigner les bébés les plus fragiles. Ces équipements de dernière génération permettent de stabiliser la température des nouveau-nés, de surveiller leurs fonctions vitales et de traiter efficacement les maladies les plus courantes, comme la jaunisse.

Grâce à l'UNICEF, le Centre Hospitalier Départemental du Zou est désormais mieux équipé pour sauver les nouveau-nés au Bénin.Un espoir pour les familles

Cette initiative est une véritable bouffée d’oxygène pour les familles du département du Zou. Grâce à ces nouveaux équipements, les nouveau-nés nés prématurément, de faible poids ou souffrant de complications auront de meilleures chances de survie.

Un engagement fort pour la santé infantile

En équipant cet hôpital, l’UNICEF réaffirme son engagement en faveur de la santé des enfants.  Par ailleurs, ce don s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus large visant à renforcer les systèmes de santé dans les pays en développement et à réduire la mortalité infantile.

Grâce à l'UNICEF, le Centre Hospitalier Départemental du Zou est désormais mieux équipé pour sauver les nouveau-nés au Bénin.Des équipements pour garantir la vie de nombreux nouveau-nés 

En plus , les équipements fournis par l’UNICEF permettront de :

  • Stabiliser la température des nouveau-nés prématurés.
  • Surveiller en continu les fonctions vitales des bébés.
  • Traiter efficacement les maladies néonatales les plus courantes.
  • Augmenter considérablement le taux de survie des nouveau-nés.

En somme,ce don d’équipements médicaux au Centre Hospitalier Départemental du Zou est une étape importante dans la lutte contre la mortalité infantile au Bénin. Cependant, le chemin est encore long. Il est essentiel de poursuivre les efforts pour renforcer les systèmes de santé, anciens professionnels de santé et sensibiliser les populations aux bonnes pratiques d’hygiène et de nutrition. Ensemble, nous pouvons donner à chaque enfant la chance d’avoir un avenir meilleur.

Bénin : Nouvelles technologies contre médicaments falsifiés et drogue

Cotonou, le 19 juillet 2024 – mercredi Depuis le 17 juillet 2024, des acteurs clés engagés dans la lutte contre les médicaments de qualité inférieure, la drogue et les explosifs se réunissent à la Faculté des Sciences de la Santé de Cotonou. Cette rencontre, organisée par le Conseil de surveillance du sous-secteur pharmaceutique, l’Agence nationale de contrôle de la qualité des produits de santé et de l’eau et la structure d’appui PoD One DHBC, vise à affiner la stratégie de détection de ces fléaux grâce aux nouvelles technologies.

Médicaments falsifiés et drogue: Un contexte alarmant

Le Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé, le Professeur Josué AVAKOUDJO, a marqué l’ouverture de la rencontre avec un discours alarmant. Il a rappelé les chiffres inquiétants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), selon lesquels un médicament sur dix dans le monde est falsifié, et 42% de ces contrefaçons provenant d’Afrique subsaharienne.

Les antipaludiques et les antibiotiques figurent parmi les produits médicaux de qualité inférieure aux plus maladies signalées. Concernant la drogue, le Professeur AVAKOUDJO a souligné que 275 millions de personnes ont consommé des drogues psychoactives en 2020, un chiffre qui devrait augmenter de 11% d’ici 2030 au niveau mondial, dont 40% en Afrique.

Experts réunis à Cotonou pour affiner la lutte contre les médicaments falsifiés, la drogue et les explosifs grâce aux nouvelles technologiesVers une stratégie concertée axée sur les nouvelles technologies dans la lutte contre les médicaments falsifiés et la drogue

Face à ce tableau préoccupant, les participants à la rencontre ont tous insisté sur l’urgence de mettre en place une stratégie concertée reposant sur les nouvelles technologies. La Présidente du Conseil de surveillance du sous-secteur pharmaceutique a salué l’importance de cette séance de travail qui réunit des acteurs de divers horizons, notamment les structures en charge du contrôle et de l’assurance qualité des médicaments, les forces de l’ ordre, la justice, la douane et l’enseignement supérieur.

Le Secrétaire général du Ministère de la santé, Dr Ali IMOROU BAH CHABI, a quant à lui rappelé les nombreuses réformes engagées par le gouvernement béninois pour lutter contre le trafic des médicaments de qualité inférieure. Il a également souligné que la rencontre permettra, au-delà de l’appropriation des nouvelles technologies par les experts présents, de définir pour le Bénin un modèle organisationnel efficace pour combattre efficacement le phénomène des médicaments falsifiés et le trafic de drogue.

Expertise de PoD One DHBC

La société française PoD One DHBC, spécialisée depuis 7 ans dans l’accompagnement des autorités sanitaires des États dans la modernisation et le développement des systèmes de santé publique, apporte son expertise à cette rencontre. L’entreprise acquiert sa renommée grâce à son expertise dans la lutte contre les médicaments de qualité inférieure et dans l’identification des drogues et explosifs.

En conclusion, cette rencontre d’experts à Cotonou constitue une étape importante dans la lutte contre les médicaments de qualité inférieure, la drogue et les explosifs. L’adoption de nouvelles technologies et la mise en place d’une stratégie concertée devraient permettre de réduire considérablement la circulation de ces fléaux.

Bénin : Zéro médicament antipaludique de qualité inférieure ou falsifié dans le circuit formel

L’Agence Béninoise du Médicament et des autres produits de santé (ABMed) et l’Agence Nationale de Contrôle de la Qualité des produits de santé et de l’eau (ANCQ) ont annoncé des résultats encourageants issus de la surveillance post-commercialisation des médicaments antipaludiques. En effet, cette campagne, menée dans le cadre du projet « Promouvoir la qualité des médicaments plus PQM+ », a permis de confirmer l’absence de médicaments antipaludiques de qualité inférieure ou falsifiés dans le circuit formel de distribution au Bénin.

Une surveillance rigoureuse pour une garantie de qualité

Au cours de l’année 2023, 208 échantillons de médicaments antipaludiques couramment utilisés ont été collectés et analysés dans neuf départements du pays. En plus,  ces analyses, réalisées par le laboratoire de l’ANCQ, n’ont révélé aucune non-conformité aux spécifications techniques attendues.

Un succès salué par les autorités

Le directeur général de l’ABMed, le Dr Yossounon CHABI, a salué ces résultats, qui viennent récompenser les efforts du gouvernement béninois dans la lutte contre les produits pharmaceutiques de qualité inférieure ou falsifiés. Il a également souligné l’importance de la surveillance continue et de la mise en place de dispositifs de traçabilité renforcés, comme la solution nationale de traçabilité des médicaments prévue dans le cadre du Programme d’action du gouvernement (PAG 2).

Un message fort pour la communauté internationale

Ces résultats positifs démontrent l’engagement du Bénin à garantir l’accès aux médicaments de qualité pour sa population. Ils constituent également un message fort pour la communauté internationale, soulignant la nécessité d’une collaboration accrue dans la lutte contre les médicaments contrefaits, qui constitue un fléau majeur pour la santé publique en Afrique subsaharienne.

CHIC Bénin : Le Conseil d’Administration installé

Abomey-Calavi, le 02 juillet 2024 – Les membres de l’instance décisionnelle du Centre Hospitalier International de Calavi (CHIC) ont été officiellement installés le lundi 1er juillet 2024. C’est le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, Ministre de la Santé , qui a l’honneur de présider le Conseil d’Administration de l’hôpital.

Première session ordinaire du Conseil d’Administration

Déjà investis dans leurs fonctions, les six membres du Conseil d’Administration du CHIC n’ont pas perdu de temps. Ils ont aussi tenu leur première session ordinaire dès leur prise de fonction , en attendant la nomination du Président de la Commission Médicale d’Établissement. Conscients de l’immensité de la tâche qui les attend, les membres du Conseil ont mis à profit cette première rencontre pour se pencher sur les questions cruciales de l’hôpital.

Mission du Conseil d’Administration du CHIC: cap sur l’ouverture et la mise en service

Dans son discours d’ouverture, le ministre de la Santé a réaffirmé les grandes lignes de la mission du Conseil d’administration. « L’hôpital est désormais une réalité et notre défi majeur est de le rendre opérationnel », a-t-il déclaré. « Lors de cette première session, nous nous prononcerons sur la nomination de l’équipe dirigeante de l’hôpital. Notre priorité est également de doter rapidement le CHIC d’un budget », a-t-il ajouté.

Des défis pluriels et urgents à relever

Pour le Président du Conseil d’Administration (PCA) du CHIC, les défis à relever sont à la fois multiples et pressants . Il en est pleinement conscient, mais il compte également sur la collaboration de ses collègues membres pour bien mener à bien la mission de manière efficace. « Personne n’ignore le défi que représente l’ouverture et la mise en service d’une telle infrastructure , avec ses enjeux en matière de ressources humaines, financières, managériales, mais aussi d’entretien et de maintenance des équipements techniques. Je prends l’engagement, en votre nom, que nous mènerons le CHIC à bon port « , a-t-il souligné avec détermination.

Composition du Conseil d’Administration du CHIC

Le Conseil d’Administration du CHIC est composé de six membres :

  • Monsieur Benjamin Ignace Bodounrin HOUNKPATIN , Président du Conseil d’Administration
  • Monsieur Aristide Nounagnon DJIDJOHO , Membre
  • Monsieur Hermann Orou TAKOU , Membre
  • Monsieur Nounagnon Germain ALOKPO , Membre
  • Monsieur Makpéhou Rogatien TOSSOU , Membre
  • Madame Agnès BADOU SAVI , Membre

Prochaines étapes : nomination de l’équipe dirigeante et dotation budgétaire

La première session du Conseil d’Administration du CHIC a été une étape importante dans le processus d’ouverture et de mise en service de cet hôpital tant attendu. Les prochaines étapes consisteront à nommer l’équipe dirigeante et à doter l’hôpital d’un budget, permettant ainsi de concrétiser les ambitions affichées par les autorités béninoises de faire du CHIC un établissement de référence internationale.

Lutte contre les dérives dans le secteur de la santé : La CCI-SPSM au garde-fou

Fidèle à son engagement d’offrir des soins de qualité à tous les citoyens béninois, le gouvernement du Président Patrice TALON, à travers le Ministère de la Santé, ne ménage aucun effort. La mise en place de la Cellule de Contrôle et d’inspection des structures de prestations de soins médicaux (CCI-SPSM) en est une illustration concrète.

Des actions concrètes de la La CCI-SPSM  pour des résultats probants

La CCI-SPSM, qui a fait la restitution périodique des résultats de terrain de son crédo, a rendu compte de ses actions du deuxième trimestre 2024 lors d’un point de presse tenu le jeudi 27 juin 2024.

Au cours de ce trimestre, la Cellule a mis à jour ses outils de travail, notamment le guide d’inspection et de contrôle des établissements de santé et le guide d’investigation et d’analyse des évènements indésirables.

Sur le terrain, 336 formations sanitaires, dont 71 maternités dans la zone sanitaire d’Allada, Toffo, Zè et dans la commune d’Abomey-Calavi, ont été contrôlées. La CCI-SPSM a également investigué et analysé les causes profondes de six événements indésirables ayant conduit à des décès, suite à des plaintes présentées au Ministre de la santé. Des actions correctrices, telles que la restitution des résultats de l’enquête à chaque Établissement de Santé (ES) et l’assistance aux ES pour la correction des écarts observés, ont été proposées.

Lutte contre l’exercice illégal de la médecine : une vigilance accrue

La CCI-SPSM ne faiblit pas dans sa lutte contre l’exercice illégal de la médecine. De janvier 2023 à mai 2024, la Cellule a recensé 38 cas d’exercice illégal de la médecine dans les seuls départements de l’Atlantique et du Littoral. Face à cette situation, la CCI-SPSM a pris des mesures fermes, notamment la fermeture des établissements de santé illégaux et l’enclenchement de procédures judiciaires à l’encontre des contrevenants.

La Cellule de Contrôle et d'inspection des structures de prestations de soins médicaux (CCI-SPSM) à l'offensive contre les dérivesRéduction de la mortalité maternelle et néonatale : un engagement ferme

Par ailleurs, la réduction de la mortalité maternelle et néonatale constitue une priorité majeure pour le Gouvernement du Bénin. Dans ce cadre, le Ministre de la Santé, le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, a créé une Task Force dédiée à cette cause. La CCI-SPSM s’est engagée à apporter sa contribution à cet effort en intensifiant les contrôles dans les maternités, tant publiques que privées.

Les premiers résultats des contrôles effectués dans les maternités de la zone sanitaire Allada-Toffo-Zè et de la commune d’Abomey-Calavi révèlent des insuffisances en matière de suivi des femmes enceintes et de surveillance des accouchées. Ces constats ont conduit le CCI-SPSM à formuler des recommandations aux établissements concernés afin d’améliorer la prise en charge des patients et de réduire les risques de complications.

Une détermination sans faille pour le bien des patients

En résumé , la CCI-SPSM exprime sa ferme volonté de poursuivre sa mission avec rigueur et détermination, convaincue que la correction des dysfonctionnements identifiés permettra de réduire la mortalité maternelle et néonatale.

Kétou : Investir dans la prévention pour un avenir sans drogue

Kétou, Bénin – La Place du Centenaire à Kétou était en effervescence ce mercredi 26 juin 2024 à l’occasion de la 37ème Journée internationale de lutte contre la drogue. Une cérémonie officielle a eu lieu lors de cette journée, présidée par Monsieur Abasse OLOSSOUMARE, Directeur de cabinet du Ministre de l’intérieur et de la Sécurité Publique, en tant que représentant du ministre empêché.

Un engagement renouvelé contre la drogue à  Kétou

L’événement a réuni des figures clés telles que le Préfet du département du Plateau, le Maire de Kétou, et des partenaires techniques et financiers. En plus, les intervenants ont réaffirmé leur engagement à éradiquer la détention, l’usage et le trafic illicite de stupéfiants au Bénin. Le thème de cette année, « les faits sont là : investissez dans la prévention », met en lumière l’importance cruciale des initiatives de prévention dans la lutte contre la drogue.

Kétou célèbre la Journée internationale de lutte contre la drogue et appelle à un investissement accru dans la préventionLa prévention au cœur de la lutte

Madame Lucie Ablawa SESSINOU, Maire de Kétou, a souligné que le défi posé par les drogues transcende les frontières sociales, affectant la stabilité des familles et la prospérité des communautés. Elle a appelé à une approche holistique et à des actions concertées pour lutter contre ce fléau.

Succès et défis de la lutte contre la drogue

La cérémonie a permis de souligner les succès que le gouvernement béninois a obtenus grâce à ses politiques de prévention et de sensibilisation. Toutefois, on a reconnu que, malgré les efforts, le problème de la drogue reste tenace dans le pays. D’où l’importance soulignée de renforcer davantage les mesures de prévention.

Un message d’espoir pour les générations futures

La 37ème Journée internationale de lutte contre la drogue au Bénin a été un symbole de solidarité et de résilience. Elle a réaffirmé l’engagement des autorités et de la société civile à travailler de concert pour un avenir sans drogue. En somme, la détermination des acteurs impliqués laisse entrevoir un espoir pour les générations futures, un espoir d’un Bénin où la prévention et l’éducation triomphent sur la menace des substances illicites.

Autisme au Bénin : Lancement de la prise en charge intégrée

Cotonou, le 26 juin 2024 – Le projet d’appui à la prise en charge intégrée des enfants autistes au Bénin a franchi une étape importante ce mardi 25 juin 2024 avec le lancement officiel de sa phase pilote dans les communes de Cotonou et d’Abomey-Calavi. La cérémonie, couplée à l’installation du comité de pilotage, a réuni un large panel d’acteurs impliqués dans la prise en charge de l’autisme, notamment des membres d’associations de personnes handicapées, des parents d’enfants autistes, des promoteurs d’écoles spécialisées, des éducateurs spécialisés, des psychologues, des neuropédiatres et des pédopsychiatres.

Soutenir la prise en charge et renforcer les capacités

Dans son allocution de lancement, Mme Véronique TOGNIFODÉ, Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, a souligné les priorités du projet : « soutenir la prise en charge socio-sanitaire et scolaire des enfants présentant des symptômes du spectre autistique » et « renforcer les capacités des professionnels dans le domaine de l’assistance aux personnes handicapées à grands besoins de soutien« .

En outre , Cette initiative répond à la volonté politique du Président Patrice TALON, concrétisée suite aux recommandations issues d’un cadre d’échanges entre acteurs initié en décembre 2023 lors de la Journée Internationale des Personnes Handicapées (JIPH). Le projet est entièrement financé sur le budget national.

Inclusion sociale : égalité et équité

« L’inclusion sociale rime avec égalité et équité« , a martelé la Ministre TOGNIFODÉ, invitant par la même occasion les acteurs impliqués à un engagement sans faille pour la réussite du projet. « Vous êtes assistants sociaux, médecins, psychologues, éducateurs spécialisés, agents financiers, responsables d’établissements, parents ou tuteurs, vous devez vous donner la main pour entourer chaque bénéficiaire de tous les soins pour son inclusion effective« , a-t-elle exhorté.

Lancement officiel de la phase pilote du projet d'appui à la prise en charge intégrée des enfants autistes au Bénin dans les communesManifestations de l’autisme

Selon les spécialistes, l’autisme se caractérise par des troubles de la communication, des intérêts ou activités obsessionnels, des comportements répétitifs et une forte résistance au changement. Les personnes autistes peuvent également présenter des hypersensibilités sensorielles (sons, lumière, couleurs, toucher…).

En somme, les acteurs en charge de la mise en œuvre du projet ont salué cette action inédite du gouvernement en faveur des enfants autistes au Bénin. Ils ont exprimé leur engagement à œuvrer pour sa réussite, afin d’offrir aux enfants concernés une prise en charge adéquate et un meilleur épanouissement.

 Lutte contre la drogue : Priorité à la prévention et aux alternatives saines

Cotonou, Bénin – A l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la drogue célébrée le 26 juin, le ministre béninois de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Alassane Seidou, a appelé à une mobilisation nationale pour intensifier les efforts de prévention contre ce fléau.

Investir dans la prévention : un message fort

Le thème retenu pour cette 37ème édition est : « Les faits sont là : Investissez dans la prévention ». Ce choix souligne l’importance de placer la prévention au cœur de la lutte contre la drogue, plutôt que de se concentrer uniquement sur la répression.

Une approche proactive pour lutter contre le fléau

Par ailleurs, le gouvernement béninois privilégie une approche proactive en mettant en œuvre plusieurs actions concrètes :

  • Le renforcement de l’éducation et de la sensibilisation se manifeste par la conduite de campagnes d’information dans les écoles, les communautés et via les médias pour éveiller la conscience des populations, surtout des jeunes, sur les dangers de la drogue.
  •  La facilitation de l’accès aux alternatives saines se traduit par la promotion d’activités de loisirs, sportives et culturelles, offrant ainsi aux jeunes des options positives éloignées de la consommation de drogues.
  • Le renforcement des capacités s’effectue par la formation des agents d’application de la loi, des professionnels de la santé, des éducateurs et des travailleurs sociaux, les équipant pour repérer les signes précurseurs de consommation de drogues et pour agir avec efficacité.
  • Le partenariat et la collaboration impliquent une coopération active du gouvernement avec les ONG, les institutions éducatives et les organisations internationales pour harmoniser les efforts de prévention.

Kétou, centre des manifestations officielles

En somme, les manifestations officielles de la Journée internationale de lutte contre la drogue auront lieu ce mercredi 26 juin 2024 dans la ville de Kétou.

Bénin : Un hôpital de référence internationale prêt à ouvrir

Calavi, 21 juin 2024- Le Centre Hospitalier International de Calavi (CHIC), un projet ambitieux initié par le Président Patrice TALON, représente une avancée majeure pour le système de santé du Bénin. En effet, avec l’achèvement des travaux de l’hôpital , annoncé par le Ministre de la Santé, le Professeur Benjamin HOUNKPATIN, le CHIC est prêt à devenir un établissement de soins de premier plan dans la région.

Par ailleurs, L’ouverture prévue pour fin 2024 marque un tournant décisif dans l’accès aux soins médicaux de haute qualité et la réduction de la nécessité d’évacuations sanitaires à l’étranger, soulignant l’engagement du Bénin envers l’amélioration de la santé publique.

Le Bénin inaugure le Centre Hospitalier International , un hôpital de référence internationale pour une prise en charge médicale de pointeUn hôpital ultramoderne pour des soins de pointe

Doté d’une architecture moderne et d’équipements à la pointe de la technologie, le CHIC est le plus grand hôpital du Bénin et l’un des plus grands et des mieux équipés de la sous-région. Il compte également 436 lits répartis dans 18 spécialités, regroupées en huit pôles couvrant l’ensemble des domaines médicaux.

Un investissement majeur pour la santé

En plus, la construction du CHIC est le fruit d’un investissement majeur du gouvernement béninois dans le but d’améliorer l’accès à des soins de qualité pour sa population. Cet hôpital de référence permettra de réduire considérablement les évacuations sanitaires vers l’étranger, qui représentent une charge financière importante pour le pays.

Le Bénin inaugure le Centre Hospitalier International , un hôpital de référence internationale pour une prise en charge médicale de pointeUn appel à candidatures pour recruter 1 000 professionnels

Pour faire fonctionner cet hôpital de pointe, le gouvernement béninois a lancé un vaste programme de recrutement de personnel qualifié. Au total, 1 000 professionnels seront nécessaires, dont des médecins, des infirmiers, des techniciens et des agents administratifs. Une première vague de recrutement a déjà eu lieu et une seconde est prévue avant fin septembre 2024.

Le CHIC, une nouvelle ère pour la santé au Bénin

L’ouverture du CHIC marque une nouvelle ère pour la santé au Bénin. Cet hôpital de référence permettra au pays de se positionner comme un acteur majeur dans le domaine de la santé en Afrique et d’offrir à ses citoyens des soins de qualité répondant aux standards internationaux.

Le Bénin dote son SAMU de 144 ambulances flambant neuves

Cotonou, 18 juin 2024 – Le gouvernement du Bénin a franchi une nouvelle étape décisive dans le renforcement de son système de santé avec la réception le 17 juin , sur l’esplanade du Palais des Congrès de Cotonou, d’un premier lot de 144 ambulances de dernière génération. Ces ambulances, acquises dans le cadre d’une commande de 188 véhicules, permettront d’améliorer considérablement la prise en charge des patients d’urgence et de sauver plus de vies.

Le Bénin renforce son système de santé avec 144 ambulances flambant neuves pour une prise en charge plus efficace des urgences médicales.Une cérémonie officielle en présence des autorités

La cérémonie de réception s’est déroulée en présence du Ministre de la Santé, Monsieur Benjamin HOUNKPATIN, de la Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, Madame Véronique TOGNIFODÉ, du Président de l’Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB), Monsieur Luc Sètondji ATROKPO, et de plusieurs cadres du secteur sanitaire béninois.

Répondre à un besoin urgent en matière de matériel roulant

Cette acquisition d’ambulances répond à un besoin urgent identifié par le gouvernement dans le cadre de son Programme d’Action. En effet, le manque de matériels roulants adaptés au niveau du Service d’Assistance Médicale d’Urgence (SAMU) constituait un goulot d’étranglement majeur dans le système de référence et de contre-référence des patients. Ce déficit compliquait parfois l’évacuation en urgence des cas graves vers les hôpitaux de référence, mettant ainsi en danger la vie des patients.

 144 Ambulances : Un investissement pour sauver des vies

C’est pour pallier à cette situation et améliorer la prise en charge des urgences médicales que le gouvernement a décidé, en Conseil des Ministres du 14 septembre 2022, d’acquérir 188 ambulances sur Budget National. Les 144 ambulances réceptionnées ce jour constituent une première tranche de cette commande.

Le Bénin renforce son système de santé avec 144 ambulances flambant neuves pour une prise en charge plus efficace des urgences médicales.Une dotation qui profitera à toutes les communes du Bénin

Avec cette dotation, toutes les communes du Bénin disposeront d’au moins deux ambulances. Cela permettra de garantir un transfert rapide, en moins d’une heure, des cas graves vers un hôpital de référence, quel que soit leur lieu de résidence.

Un système de gestion performant pour une meilleure efficacité

Afin d’optimiser la gestion des transferts de patients, le gouvernement a prévu la mise en place de tours opérateurs. Ces derniers centraliseront les demandes et alertes de transfert, géreront les mouvements des ambulances et des hôpitaux, et identifieront en temps réel les ambulances disponibles dans un rayon de 30 minutes.

Un pas de plus vers un système de santé performant

L’acquisition de ces ambulances constitue une avancée majeure dans le renforcement du système de santé béninois. Elle permettra de réduire considérablement le délai d’accès aux soins d’urgence et de sauver des vies, en particulier chez les femmes enceintes et les enfants.

Santé publique : Le ministre Hounkpatin sur le terrain

Cotonou, Abomey-Calavi, 10 juin 2024 – Dans les derniers instants du deuxième tour de la campagne de vaccination contre la poliomyélite, le ministre de la Santé, le Pr Benjamin Hounkpatin, a effectué une visite de terrain cruciale dans les quartiers d’Agla , Godomey à Cotonou et à Abomey-Calavi, le dimanche 9 juin 2024.

Mobilisation et dialogue direct pour une couverture vaccinale optimale

Cette initiative avait un double objectif : valoriser le travail des agents vaccinateurs et dialoguer directement avec les familles pour souligner l’importance de la vaccination contre la poliomyélite pour la protection des enfants. Le Pr Hounkpatin a ainsi pris le temps d’expliquer les bénéfices du vaccin, dissipant les doutes et renforçant la confiance des ménages encore hésitants.

Ministre Hounkpatin: Un appel fort à la vaccination pour un avenir sans poliomyélite

En plus , le ministre a lancé un appel dynamique à la population : « Je voudrais appeler les ménages à laisser les enfants recevoir les gouttes salvatrices contre la poliomyélite. C’est pour leur bien. » Ces mots ont souligné l’engagement du gouvernement envers la santé des enfants et ont encouragé une adhésion communautaire plus large à la campagne.

Succès du second tour avec le soutien des partenaires internationaux

Le deuxième tour de la campagne, a lancé le vendredi 7 juin, s’est conclu le lundi 9 juin 2024,avec un sentiment d’accomplissement. Le ministre était accompagné également  d’équipes de supervision dédiées et de représentants de l’OMS et de l’UNICEF, témoignant de l’importance et de la reconnaissance internationale de l’effort de vaccination.

Vers un Bénin sans poliomyélite : un objectif à portée de main

Cette campagne illustre la détermination du Bénin à éradiquer la poliomyélite et à assurer un avenir plus sain pour les générations futures. Elle met également en lumière l’importance de la collaboration entre les autorités sanitaires, les organisations internationales et les communautés locales pour atteindre les objectifs de santé publique ambitieux. Avec la fin de cette campagne, le Bénin se rapproche d’un avenir sans poliomyélite, un objectif qui, grâce à la persévérance et à la coopération, est à portée de main.

Médecine endogène : l’Afrique valorise ses savoirs ancestraux

Abomey-Calavi, Bénin —  L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et l’Institut de recherche pour le développement (IRD) ont donné le coup d’envoi des doctoriales en médecine endogène sur le campus d’Abomey-Calavi au Bénin. Cet événement rassemble de jeunes doctorants venus de toute la sous-région pour valoriser les savoirs ancestraux africains et contribuer à la santé des populations.

Une thématique phare en Afrique

Par ailleurs, la médecine endogène, profondément ancrée dans les connaissances et les pratiques traditionnelles africaines, occupe une place de choix dans les universités du continent. Comme l’a souligné Ouidad TEBBAA, directrice régionale Afrique de l’Ouest de l’AUF, ces doctoriales visent à mettre en lumière cette thématique essentielle : « Les recherches menées sur la base de ces savoirs traditionnels ont également donné des résultats probants, positionnant l’Afrique comme l’une des régions phares dans ce domaine. »

Vers l’intégration des savoirs traditionnels

L’AUF accompagne activement les étudiants dans leur quête de connaissances. Agnès AUBOUY, chercheur à l’IRD, a rappelé les Assises internationales de médecine traditionnelle, dont la première édition s’est tenue à Dakar en octobre 2023. La deuxième édition, prévue cette année à Abidjan en Côte d’Ivoire, explorera aussi l’intégration des savoirs traditionnels dans la médecine moderne.

L'AUF et l'IRD lancent les Doctoriales en Médecine Endogène au Bénin pour promouvoir les savoirs traditionnels africains et leur contributionFormation et réseaux

En outre, un atelier de formation en médecine endogène pour les traditionnels praticiens a récemment eu lieu, créant un réseau de coopération entre le Conseil des ministres de l’organisation des États islamiques, les académies de sciences et l’académie nationale des sciences et techniques du Sénégal.

Célébration de la science endogène

En plus, le recteur de l’Université nationale des sciences, des technologies, de l’ingénierie et des mathématiques (UNSTIM), Joachim GBENOU, a qualifié ces doctoriales de « célébration de la science ». Il a souligné l’importance de revenir aux sources endogènes, rappelant que la médecine moderne puise encore dans ces savoirs ancestraux : « La médecine endogène complète la médecine moderne, offrant des solutions là où elle ne peut pas aller. »

Perspectives et ambitions pour la Médecine endogène

Ces rencontres de deux jours permettront aux participants de partager leurs apprentissages et d’approfondir leurs connaissances. Le représentant du Ministre de l’enseignement supérieur a exprimé le souhait que les assises internationales et les travaux de qualité se tiennent au Bénin en 2025.

En somme, Les doctoriales en médecine endogène s’inscrivent dans une dynamique de valorisation des savoirs traditionnels en Afrique de l’Ouest et de contribution au bien-être et à la santé des populations.

Bénin : Le plaidoyer du Ministre HOUNKPATIN à l’Assemblée mondiale de la Santé

Genève, Suisse – 31 mai 2024 – Le Professeur Benjamin I. B. HOUNKPATIN, Ministre de la Santé du Bénin, a participé à la soixante-dix-septième Assemblée mondiale de la Santé (AMS) qui s’est tenue du 27 mai au 1er juin 2024 au siège des Nations Unies à Genève.

Lors de son intervention à l’Assemblée, le Ministre HOUNKPATIN a présenté les progrès réalisés par le Bénin en matière de couverture sanitaire universelle (CSU), soulignant les efforts du pays pour améliorer la gouvernance et l’accès aux soins de santé de qualité. pour tous les citoyens.

Des avancées notables vers la CSU

Le Bénin a accompli des progrès considérables vers la CSU ces dernières années, sous la direction du Président Patrice TALON. Parmi les réalisations majeures, on peut citer :

  • L’introduction d’une assurance maladie obligatoire
  • La mise en œuvre d’une politique de santé communautaire innovante
  • Le renforcement des infrastructures médicales
  • Une meilleure répartition des ressources humaines qualifiées

Le Ministre de la Santé HOUNKPATIN plaide pour une action internationale concertée en faveur de la couverture sanitaire universelleUn plaidoyer du Ministre HOUNKPATIN  pour une action internationale concertée

Le Ministre HOUNKPATIN a également plaidé pour une action internationale concertée afin de relever les défis sanitaires mondiaux, en particulier :

  • La réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile
  • Le renforcement de la préparation et de la riposte aux pandémies

Le Bénin, un acteur engagé dans la santé mondiale

La délégation béninoise, active dans les commissions et les sessions plénières de l’AMS, a collaboré avec d’autres pays pour promouvoir la CSU et le renforcement des soins de santé primaires.

Le Ministre HOUNKPATIN, fort de son expérience de gynécologue, a mis en lumière les causes évitables de décès maternels et a plaidé pour l’adoption de pratiques telles que :

  • Le sac de recueil du sang
  • Le tamponnement intra-utérin par ballonnet
  • L’avortement sécurisé

Ces mesures évitent les hémorragies du post-partum et à réduire la mortalité maternelle.

Un appel à la mobilisation

L’Assemblée mondiale de la Santé a été l’occasion d’un appel fort à la mobilisation et à l’action pour une santé mondiale plus équitable et accessible à tous. Le Bénin réaffirme son engagement à œuvrer aux côtés de ses partenaires internationaux pour atteindre cet objectif.

Bénin: USA investisse plus de 244 millions pour la santé communautaire

Allada, Bénin – 31 mai 2024 – Le gouvernement américain a annoncé aujourd’hui un soutien important à la santé communautaire au Bénin, en offrant des kits médicaux, des tablettes et des vélos à 475 relais communautaires dans la zone sanitaire Allada-Toffo-Zè . D’une valeur totale de plus de 244 millions de francs CFA, cette initiative vise en effet  à renforcer les systèmes de santé locaux et à améliorer la qualité des soins pour les populations défavorisées.

Le gouvernement américain octroie plus de 244 millions de francs CFA pour soutenir la santé communautaire au Bénin, Des kits spécialisés pour des soins de qualité

Par ailleurs, les relais communautaires, récemment formés, ont reçu des kits spécialisés comprenant des outils et des fournitures médicales essentielles pour répondre aux besoins sanitaires immédiats et promouvoir des pratiques de santé préventive. Ces kits permettent aux relais de mieux gérer les cas de maladies, d’effectuer des vaccinations et de mener des campagnes de sensibilisation sur des sujets tels que la nutrition, l’hygiène et la prévention des maladies.

Le gouvernement américain octroie plus de 244 millions de francs CFA pour soutenir la santé communautaire au Bénin, Un partenariat pour un avenir plus sain

En outre , L’ambassadeur des États-Unis au Bénin a souligné l’importance de la collaboration entre les nations pour atteindre les objectifs de santé publique communes. « Ce partenariat illustre notre engagement envers le peuple béninois et notre volonté de soutenir des initiatives qui contribuent à la construction d’un avenir plus sain pour tous », a-t-il déclaré.

Le gouvernement américain octroie plus de 244 millions de francs CFA pour soutenir la santé communautaire au Bénin, Un impact positif attendu

Les autorités sanitaires béninoises ont exprimé leur gratitude pour ce soutien américain, reconnaissant l’impact potentiel de ces ressources sur la capacité des relais communautaires à offrir des soins de qualité. En somme,  Cette contribution est perçue comme un pas en avant vers l’amélioration de la santé communautaire au Bénin et un exemple de l’efficacité de la coopération internationale en matière de développement sanitaire.

Opération d’envergure contre les boissons alcoolisées en sachet

Dans une vaste opération de lutte contre la vente illégale de boissons alcoolisées en sachet, les autorités de l’Atacora-Donga ont lancé une campagne de saisie de ces produits interdits sur le marché national. Cette initiative, menée sous la houlette de la Direction départementale de l’industrie et du commerce (DDIC), a débuté en début de semaine dans les communes de Natitingou et de Boukoumbé.

Des saisies importantes et des convocations pour les commerçants

Selon les informations relayées par Bip Radio, une quantité significative de ces boissons interdites a été confisquée à Natitingou le lundi 27 mai. Des opérations similaires ont eu lieu à Boukoumbé ce mardi. La DDIC a convoqué les commerçants impliqués dans la vente de ces produits pour répondre de leurs actes.

Le directeur départemental souligne la gravité de la situation

Par ailleurs, Hantarou Kpara, le directeur départemental, a souligné la gravité de la situation et a précisé qu’il appliquerait des amendes aux contrevenants. Le procureur de la République pourrait également engager des poursuites judiciaires, si nécessaire. M. Kpara a fait cette déclaration lors d’une interview accordée à Bip Radio, où il a également affirmé que les contrôles se poursuivraient dans d’autres communes.

Une mesure pour protéger les consommateurs de ses  boissons alcoolisées en sachet

Cette action fait suite à un arrêté ministériel daté du 17 mai, par lequel le ministre de l’Industrie et du Commerce a formellement interdit la production, l’importation et la distribution de boissons alcoolisées conditionnées en sachets plastiques. Cette mesure vise à réguler le marché et à protéger les consommateurs contre les risques sanitaires associés à ces produits.  En somme, l’opération de la DDIC s’inscrit donc dans une démarche de conformité réglementaire et de santé publique, reflétant la volonté du gouvernement de renforcer le contrôle des substances alcoolisées et de promouvoir un environnement commercial responsable.

Accord historique pour des centres d’excellence médicaux au Bénin

Lors de la réunion du cabinet ministériel de ce 22 mai, présidée par le Président Patrice Talon, une avancée significative a été réalisée dans le secteur de la santé au Bénin. Le gouvernement a approuvé la signature d’un accord de partenariat stratégique visant à établir des centres d’excellence médicaux spécialisés. Cette initiative vise à améliorer la gestion des établissements de santé, ainsi que la recherche et l’éducation médicales. L’objectif est de développer des compétences de pointe au sein du pays pour limiter la nécessité d’évacuations médicales internationales, tout en assurant un niveau de soins de haute qualité.

Par ailleurs, des efforts sont déjà en cours pour traiter des maladies complexes telles que les pathologies cardiovasculaires et les cancers. De plus, Les capacités dans des domaines spécialisés tels que les soins palliatifs, le traitement des grands brûlés, les infections des os et des articulations, et la gestion des plaies chroniques sont impératives, pour ne nommer que quelques-uns. L’amélioration des infrastructures, l’équipement médical, la formation du personnel soignant et la mise à jour des protocoles de soins sont essentiels pour atteindre ces objectifs.

Dans cette optique, le ministère de la Santé, le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, ainsi que le Groupe hospitalier Diaconesse Croix Saint-Simon ont autorisé un accord tripartite.  Ce partenariat permettra de fournir une assistance technique pour les soins sur place, de promouvoir la formation avancée des spécialistes médicaux et d’organiser des stages en Europe pour les professionnels concernés. Sa compétence englobera aussi bien la sélection des équipements que leur entretien, en plus de la modernisation des infrastructures essentielles à la fourniture de soins d’excellence.

Cette collaboration marque un tournant décisif pour le système de santé béninois, promettant un avenir où l’excellence médicale est accessible à tous les citoyens.