Bénin : Cambriolage du greffe du Tribunal par trois militaires

Le nouveau fait qui défraie la chronique ces jours est celui de trois prétendus militaires qui serait auteurs, co-auteurs d’un cambriolage au greffe du tribunal de première instance de première classe de Cotonou. Selon certains, les individus seraient à la recherche de drogue saisie et mise sous scellée par la justice. Toujours selon ceux-ci, les militaires sont des habitués des lieux parce qu’ils y seraient déployés pour la garde et la sécurité. Pour l’accomplissement de leur besogne, ils se seraient fait aider par d’autres personnes. Ils ont, sans doute, planifié leur forfait. Ils auraient pris le soin de désactiver les caméras de surveillance des lieux pour opérer sans trace. Appréhendés ils sont déposés en prison en attendant leur jugement.

Il faut dire que ce phénomène devient récurrent. De plus en plus, les agents de sécurité sont cités dans des affaires de vol, braquage et autre faits incriminés.  Sept mois en arrière, plus précisément en juillet 2019, trois présumés braqueurs ont été appréhendés à Cotonou. Juste avant cela en mars 2018, trois autre policiers indélicats ont été cité et arrêtés dans cas de braquage déjoués à Abomey-calavi.  A l’époque, « Parmi les braqueurs, il y a  deux individus d’origine nigériane, et malheureusement trois agents indélicats de la police républicaine. » avait souligné les autorités policières.

Société : Deux personnes tuées dans un braquage à Sèmè-Podji

Des individus non encore identifiés ont abattu jeudi, sur l’axe  Porto-Novo – Cotonou à la hauteur d’Ekpè, deux frères qui étaient à moto, a appris l’ABP de sources concordantes.

Selon les proches des victimes, ces braqueurs visaient le sieur Issa Oumarou, un commerçant spécialisé dans la vente des objets en or. Les malfaiteurs ont tiré à bout portant sur leur victime en circulation aux commandes de sa moto, à quelques encablures du « carrefour Ekpè », ont rapporté des témoins, qui allèguent que la bande aurait supposé que le commerçant abattu détenait sur lui, une forte somme à ce moment précis.

Après leur forfait, ces hors-la-loi ont dans leur fuite, emporté le sac de leur victime, contenant des matériels de travail.

Le frère à Oumarou, lui aussi atteint par balles, a succombé dans un centre de santé, portant à deux, le nombre de morts dans cette attaque, a-t-on rapporté.

« Aucune somme n’a été emportée. Il n’a pas l’habitude de se déplacer avec de l’argent », ont confié les proches de Issa Oumarou, la quarantaine, domicilié de son vivant dans le quartier Ayakpamè à Sèmè-Podji.

Insécurité : Un Malfrat tue un militaire et lui arrache sa moto

Dans la nuit de ce samedi au Dimanche, aux environs de 1h du matin, un militaire béninois a eu le malheur de rencontrer les braqueurs sur con chemin.

Alors qu’il rentrait chez lui, l’homme en uniforme ne pourra rallier son domicile car les hors la loi en ont décidé autrement de son sort. En effet, le militaire a croisé sur con chemin des bandits qui l’on abattu froidement et emporter sa moto.

Selon les recoupements, le soldat s’appelle D.G.  Il est précédemment en service à la section sécurité de la Cour constitutionnelle. Il suit jusque-là un stage professionnel à Bembèrèkè d’où il est venu pour fêter auprès de sa famille à Cotonou. Il est père de 4 enfants.

Une enquête est ouverte pour rechercher les tueurs et élucider cette affaire.

Sécurité : Deux hors-la-loi abattus par la police républicaine à Ikpinlè

Les éléments de la police républicaine ont abattu mardi, deux redoutables braqueurs recherchés dont un apprenti vitrier et un troisième blessé par balle au quartier Sègbèya à Ikpinlè dans la commune d’Adja-Ouèrè, a appris l’Agence Bénin Presse (ABP) de source concordante.

Selon la source, la résidence d’un redoutable malfrat située au quartier Sègbèya non loin du grand marché d’Ikpinlè, a été la cible de cette opération des éléments de la police républicaine.

Une fois sur les lieux rapporte-t-on, les hommes en uniforme ont demandé aux apprentis d’un vitrier dont l’atelier se situe près de l’endroit visé de ranger leurs effets et de vider les lieux. Ils ont aussitôt répondu à cette injonction.

Quelques minutes après, les éléments de la police républicaine ont assailli la maison qui abritait les individus recherchés.

A la vue des hommes en uniforme, précise la source, le cerveau du groupe a voulu ouvrir le feu à l’aide d’un fusil de fabrication artisanal. La réplique de la police ne s’est pas fait attendre. Le malfrat a été mortellement atteint. Le second, un apprenti vitrier a été également abattu. Le troisième ayant reçu de balle toujours un apprenti vitrier, a pris la fuite avant de se volatiliser dans la nature.

La panique ayant gagné la localité, chacun essaye d’expliquer les faits à sa manière surtout en ce qui concerne les deux apprentis vitrier touchés où celui qui est mortellement atteint, serait aux dires de ses camarades en train de se reposer après avoir parlé d’un malaise dans la clôture de la maison ciblée.

Les deux corps, faut-il le rappeler ont été emportés par les éléments de la police républicaine à la fin de l’opération.

 

Plusieurs blessés et d’importantes sommes emportées dans un braquage

Une bande de braqueurs a opéré ce samedi aux environs de 9 h, de manière éclaire sur l’axe Zagnanado-Pkédékpo, à la hauteur de Pkoto, dépouillant des passagers à bord d’automobiles, de leurs biens et numéraires en faisant plusieurs blessés graves, a appris l’ABP.

 

Les recoupements font état de ce que la bande armée a tiré sur des véhicules en direction de Bohicon, et a dépouillé les occupants tenus au respect au moyen d’armes. Les malfrats ont pris la tangente après leur forfait, et avant l’arrivée des éléments de la police républicaine sur les lieux, ont informé les riverains.

Aucune perte en vie humaine, n’a été enregistrée, mais d’importantes sommes ont été emportées et plusieurs personnes grièvement blessées dans ce braquage, apprend-on. Aux dernières nouvelles, le calme est revenu a Kpoto et dans les localités environnantes, la police ayant pris le contrôle des lieux, avec un dispositif sécuritaire renforcé.

Des sacs de riz et d’autres objets emportés dans une incursion de supposés douaniers nigérians à Adja-Ouèrè

Des supposés douaniers et forces de l’ordre nigérians auraient fait une incursion jeudi matin sur le territoire béninois à Ita-Egbèbi, une localité de la commune d’Adja-Ouèrè située dans la zone frontalière entre le Bénin et le Nigéria, et seraient repartis plusieurs sacs de riz, des téléphones portables et autres objets emportés, a appris l’ABP.

Selon les informations recueillies, des individus armés, en tenu militaire et douanière du Nigéria auraient fait irruption sur le territoire béninois et se seraient attaqués à des magasins de stockage de riz et autres produits importés appartenant à des commerçants du département du Plateau de cette localité du Bénin.

Ces nigérians, renseigne-t-on, auraient défoncé les portes des magasins et tenu en respect les riverains pour se servir en des vivres et autres articles ainsi qu’en numéraire.

A bord de quelques véhicules, les mis en cause auraient réussi à embarquer les objets volés et à prendre la tangente avant l’arrivée sur les lieux d’une équipe mixte de la police républicaine et de la douane béninoise alertée.

Toutes nos tentatives, faut-il le rappeler, pour avoir une version officielle des autorités au niveau départemental sont restées vaines.

Insécurité : Un présumé braqueur abattu

Les cas de plaintes de vols et braquages parfois mortels sont de plus en plus courants. Dans le département du Zou cette semaine, c’est un réseau de repris de justice qui dictent leur loi. Ils sont un certain nombre à opérer et menacer la quiétude des populations. Mais le glas a été sonné pour le chef du gang.

Selon certaines informations, celui qui passait pour le chef des braqueurs et voleurs dans la commune d’Agbanhizoun a été abattu par la police alors qu’il s’apprêtait à orchestrer un braquage.

Il s’agirait de J.A. repris de justice bien connu de la localité. Il se ferait passer pour un guérisseur traditionnel en journée puis change de manteau la nuit.  Bien connu pour avoir déjà fait la prison pour des faits de vols à mains armées, cet individu était recherché activement par la police de la localité  pour une nouvelle affaire de cambriolage.

Sur des renseignements précis, la police l’a mis en filature. Alors qu’il s’apprêterait à commettre son forfait sur l’une des axes routière de la localité, la police a tenté de l’interpeller. Il n’aurait pas obtempéré et, muni d’une arme artisane, il a ouvert le feu sur les agents de police.

La riposte de ceux-ci lui a été fatale et il est décédé sur place. En intervalle de sept jours le cas de voleurs ou braqueurs tués est en augmentation.

Vindicte populaire : Un voleur tabassé à mort

Ce samedi 20 septembre 2019 dans la commune d’Abomey-calavi, un voleur de moto n’a pas pu échapper à la furie des populations.

Poursuivi par la clameur publique alors qu’il s’est emparé d’une moto, le voleur a été interrompu dans sa fuite après près d’une dizaine kilomètre de course.

Selon les recoupements faits sur le terrain, les populations composées essentiellement de jeunes ont tenté en vain de bruler vif ledit voleur. Il les aurait nargués, comptant sur ses forces occultes, en leur signifiant clairement que son corps ne prendrait jamais feu.

C’est ainsi que ceux-ci ont changé de tactique en lui lançant des projectiles. Selon certains, sur les lieux, le voleur aurait reçus les jets de pierres à la tête avant de s’écrouler par terre et de ne plus pouvoir bouger.

Sur place deux versions sont servies. Pour les uns le voleur serait décédé des suites de ces coups reçus. Pour d’autres, il aurait perdu juste connaissance.

La police alertée est intervenue mais n’aurait récupéré qu’un corps quasiment inanimé et la moto volée.

Sécurité : la police républicaine démantèle plusieurs réseaux de malfrats

La récurrence de vols à mains armées ces derniers temps sur les populations par les malfrats n’a pas laissé les éléments de la police républicaine indifférents.

Pour endiguer le mal, la police républicaine a initié une opération antigang. Laquelle opération a permis aux forces de l’ordre de mettre hors d’état de nuire les hors la loi.

C’est à travers une conférence de presse tenue ce vendredi 20 septembre 2019 que  le porte-parole de la police républicaine, le Commissaire Divisionnaire de Police Mathias Achedemessi, a fait le point aux hommes des médias par rapport aux dispositifs pris pour la sécurisation des biens et des personnes.

Il a, par ailleurs, présenté le fruit de cet effort de protection des populations. En effet, la police est parvenue au cours de cette semaine à démanteler  plusieurs réseaux de malfrats de grands chemins et arrêter plusieurs malfaiteurs déférés devant les juridictions compétentes.

Elle a également procéder à la saisie de plus d’une centaine de motocyclettes provenant de vols et braquages divers. Pour identifier et retrouver leurs biens, la police a invité ceux dont les motos ont été volées ou arrachées par les braqueurs à se présenter à la Direction générale de la police républicaine munir des pièces justificatives.

En outre, un homme spécialisé dans le trafic d’armes et de munitions a été arrêté.

Pour finir, le porte-parole de la police a rassuré de la disponibilité des forces de l’ordre et leur détermination à lutter contre le banditisme sous toutes ces formes.

Pour cela, il demande aux populations de collaborer avec les services de police en dénonçant toutes activités suspectes et mafieuses quelle qu’en soit la forme.  L’anonymat des dénonciateurs est garanti et protégé. Un numéro vert, le 166 est mis à la disposition des populations pour alerter la police en tout temps et en tout lieu.