Feu vert pour l’achèvement des infrastructures de santé au Bénin

Sous l’impulsion du Président Patrice Talon, le conseil des ministres, réuni mercredi, a activement délibéré et adopté des mesures clés pour finaliser les travaux de l’hôpital de zone de Tchaourou ainsi que ceux de six centres de santé d’arrondissement.

En effet, le gouvernement, dans un élan de progrès pour le secteur de la santé, a examiné avec minutie l’état d’avancement des projets de construction. Il en ressort que les taux d’exécution physique témoignent d’une progression significative, avec 52,70 % pour l’hôpital de Tchaourou et des taux impressionnants pour les centres de santé, oscillant entre 72 % et 94 %.

Toutefois, il convient de noter que l’achèvement de ces infrastructures essentielles a rencontré des obstacles, notamment des difficultés d’approvisionnement aggravées par l’inflation des prix de certains matériaux, une conséquence directe du conflit russo-ukrainien et des répercussions persistantes de la crise du COVID-19. Confrontées à ces aléas, les entreprises en charge des constructions ont sollicité un ajustement des coûts initialement prévus.

En réponse à cette sollicitation, le Conseil a marqué son accord pour une révision financière et a mandaté le ministre de la Santé pour mettre en œuvre toutes les actions requises afin d’assurer l’achèvement des travaux dans les délais les plus courts.

Par cette décision, le gouvernement réaffirme son engagement à améliorer l’accès aux soins de santé pour l’ensemble des citoyens, soulignant ainsi sa détermination à surmonter les défis économiques du moment.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de renforcer les infrastructures sanitaires du pays, garantissant ainsi une meilleure qualité de vie pour la population. En outre, elle reflète la résilience et l’adaptabilité du secteur de la santé face aux imprévus, tout en mettant en lumière la collaboration entre les différentes entités gouvernementales et les partenaires privés pour le bien-être commun.

Médecins sans vacances : Unis pour la santé au Bénin

Bassila, Bénin – Dans une initiative remarquable pour améliorer les soins de santé et réduire la mortalité maternelle et infantile, l’ONG Médecins sans vacances a récemment collaboré avec TeamEurope lors de leur visite à l’hôpital de Bassila, au Bénin. Cette visite s’inscrit dans le cadre de la Route de l’Europe, une série d’engagements visant à renforcer les infrastructures et les services de santé dans la région.

L’hôpital de Bassila, qui dessert une population vulnérable à la frontière du Togo, a bénéficié d’une série de rénovations et de formations, grâce à l’appui de Médecins sans vacances. Les travaux ont inclus la rénovation des locaux, la restructuration de la pharmacie, et la mise en place de formations pour le personnel médical.

TeamEurope et Médecins sans vacances s'associent pour revitaliser l'hôpital de Bassila, Bénin, avec des rénovations et formationsCes efforts conjoints visent à fournir un environnement plus sûr et des soins de qualité pour les patients, tout en améliorant les conditions de travail du personnel de santé. L’impact de ces projets est déjà visible, avec des améliorations notables dans la prise en charge globale des patients, en particulier des enfants et des mères.

La Route de l’Europe continue de tracer son chemin à travers le Bénin, en témoignant de l’engagement de l’Union européenne et de ses États membres à soutenir des projets qui améliorent directement la vie des citoyens béninois.

À propos de Médecins sans vacances : C’est une ONG qui forme un réseau dynamique de plus de 500 experts médicaux, paramédicaux et techniques en Belgique et en Afrique. Depuis plus de 40 ans, ils se consacrent à offrir des soins accessibles et de qualité, en accompagnant une quarantaine d’hôpitaux en Afrique sub-saharienne.

Le Bénin accueille de nouveaux ambassadeurs

Cotonou, le 14 mai 2024 – Dans une cérémonie solennelle, le Ministre des Affaires étrangères, Shegun Bakari, a reçu aujourd’hui les lettres de créance de deux éminents diplomates, marquant ainsi un tournant dans les relations internationales du Bénin.

M. Park KYONGSIG, le nouvel Ambassadeur de la Corée du Sud, a présenté ses lettres de créance au Ministre, symbolisant le début de son mandat dans le pays. Cette démarche renforce les liens déjà forts entre le Bénin et la Corée du Sud, deux nations qui partagent un engagement mutuel pour le développement et la coopération technologique.

Parallèlement, Mme Aminatou SAR,  a remis ses lettres de Cabinet, entamant officiellement son rôle en tant que nouvelle Coordonnatrice résidente du Système des Nations-Unies. Sa présence souligne l’importance de la collaboration entre le Bénin et les Nations-Unies, notamment dans les domaines de la paix, de la sécurité et du développement durable.

Le Bénin inaugure une nouvelle ère diplomatique avec l'accueil des lettres de créance de l'ambassadeur de la Corée du Sud ...Le Ministre Shegun Bakari a profité de cette occasion pour rappeler l’engagement indéfectible du Bénin à renforcer ses relations diplomatiques avec la Corée du Sud. Il a également exprimé la volonté ferme du pays de dynamiser son partenariat stratégique avec le Système des Nations-Unies, un partenariat qui s’avère crucial pour atteindre les objectifs de développement national.

Ces nominations interviennent à un moment où le Bénin cherche à étendre son influence sur la scène internationale et à attirer des investissements étrangers pour booster son économie. L’arrivée de ces deux personnalités diplomatiques est perçue comme un signe prometteur pour l’avenir des relations internationales du Bénin.

 

L’Initiative de la France pour lutter la pollution de cuisson en Afrique

Emmanuel Macron, le président, a mis en évidence une réalité alarmante : un tiers de la population mondiale, y compris quatre Africains sur cinq, manque d’accès à des moyens de cuisson propres. Profondément, cette carence affecte la vie d’un milliard d’individus en Afrique, soulignant l’impératif d’une action pour garantir un accès universel à des méthodes de cuisson viables.

En ce qui concerne les répercussions sur la santé et l’environnement, la combustion du bois ou du charbon pour la cuisson libère des fumées nocives qui causent des centaines de milliers de morts prématurées annuellement. Les femmes et les enfants subissent particulièrement ces effets délétères. Par ailleurs, cette pratique entraîne une déforestation massive et produit des émissions de CO2 équivalentes à celles des industries aérienne et maritime.

Pour ce qui est du Pacte de Paris, il représente un engagement collectif. La France, soutenue par la Tanzanie, la Norvège, l’Agence internationale de l’énergie, la Banque africaine de développement et d’autres collaborateurs, s’engage fermement à combattre cette problématique dans le cadre du Pacte de Paris pour les populations et la planète.

Concernant l’investissement et la mobilisation financière, un fonds de 2,2 milliards de dollars a été constitué pour offrir des solutions de cuisson propres aux populations africaines. La France a promis d’investir 100 millions d’euros sur cinq ans afin de favoriser le développement de techniques de cuisson durables.

En somme, Cette initiative fait partie d’une stratégie plus vaste du Pacte de Paris pour l’Homme, la Planète et la Finance en Commun, qui vise à sauvegarder les populations et la planète, tout en encourageant un développement soutenable et inclusif.

Un nouveau partenariat pour dynamiser le commerce africain

Dans un développement significatif pour le commerce continental, le Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) a annoncé aujourd’hui la formation d’un partenariat stratégique avec le réseau de politiques de l’AfCFTA (afcftapolicynetwork). En effet, Son Excellence MeneWamkele et M. Louis Yaw Afful, directeur exécutif du groupe, ont officialisé ce partenariat par la signature d’un protocole d’accord.

Par conséquent, l’objectif principal de cette collaboration est de renforcer la coopération dans la promotion du commerce à travers le continent. Ainsi, le partenariat se concentrera sur la sensibilisation, la recherche et l’identification de projets potentiels qui pourraient bénéficier de la ZLECAf. De plus, il vise à faciliter la mise en œuvre d’activités qui soutiendront l’initiative de libre-échange.

D’autre part, le protocole d’accord établit un cadre de travail pour les deux entités, permettant une approche coordonnée pour atteindre leurs objectifs communs. En outre, en consolidant les efforts pour une Afrique économiquement unifiée, le partenariat entre le Secrétariat de la ZLECAf et le réseau de politiques de l’AfCFTA marque un jalon historique.

Il symbolise un engagement renouvelé envers l’objectif d’un marché continental intégré, promettant de stimuler le commerce intra-africain et d’accélérer le développement économique à travers des initiatives conjointes. Ce protocole d’accord pourrait bien être le catalyseur d’une ère nouvelle de prospérité partagée sur le continent africain.

Réussite du projet « Jeunes pour la paix »

Le projet « Jeunes pour la paix » au nord du Bénin est une initiative remarquable qui illustre l’engagement de diverses organisations, telles que l’UNICEF Bénin, Educo Bénin et l’Union Européenne, envers l’émancipation des jeunes. La cérémonie à Tanguiéta a non seulement reconnu les efforts de 350 jeunes, dont une majorité de filles, mais a également souligné l’importance de l’éducation et de la formation professionnelle comme moteurs de changement social et économique.

Succès du projet 'Jeunes pour la paix' au nord du Bénin, qui a équipé 350 jeunes, dont 245 filles, de compétences et de ressourcesFormation et Compétences : L’Équipement des Jeunes

Les compétences acquises par ces jeunes, grâce à ce projet, couvrent un large éventail de domaines, préparant ainsi une nouvelle génération à relever les défis du marché du travail tout en contribuant activement au développement de leur communauté. Le matériel et le soutien financier fournis lors de l’événement ne sont pas de simples cadeaux; ils représentent des investissements dans l’avenir de ces individus et, par extension, dans l’avenir du Bénin.

En mettant l’accent sur la formation professionnelle et l’entrepreneuriat, le projet vise à créer des opportunités économiques qui peuvent aider à prévenir les conflits en promouvant la paix et la cohésion sociale. Cela démontre une compréhension profonde que la stabilité économique et la prospérité sont intrinsèquement liées à la paix sociale.

Succès du projet 'Jeunes pour la paix' au nord du Bénin, qui a équipé 350 jeunes, dont 245 filles, de compétences et de ressourcesL’initiative « Jeunes pour la paix » ne se limite pas à offrir des compétences; elle offre une vision et une voie vers un avenir meilleur. En reconnaissant et en soutenant le potentiel de chaque jeune, le projet renforce l’idée que le développement durable et la paix sont possibles grâce à l’investissement dans le capital humain.

Ce projet est un exemple éloquent de la manière dont l’éducation et la formation peuvent transformer des vies et des communautés. Il incarne l’espoir que, malgré les défis, un avenir pacifique et prospère est à portée de main pour la jeunesse béninoise et pour l’Afrique dans son ensemble. C’est une histoire qui mérite d’être racontée et un modèle qui, espérons-le, sera reproduit dans d’autres régions pour multiplier son impact positif.

Bohicon: Formation stratégique pour l’attribution des marchés

Bohicon, le 14 mai 2024La 10ème session de formation de l’Autorité de Régulation des Marchés publics a débuté hier à Bohicon, marquant ainsi un moment clé pour les acteurs de la commande publique des agences. Par conséquent, Cette session, qui se tient à l’hôtel NIFUR, se concentre sur le thème crucial de « l’attribution du marché sur la base de l’offre évaluée économiquement la plus avantageuse : cas des marchés de travaux »..

En outre, durant cinq jours intenses, les Personnes Responsables des Marchés Publics (PRMP) et les Chefs des Cellules de Contrôle des Marchés Publics (CCMP) de 19 agences différentes se pencheront sur des sujets essentiels tels que le montage du Dossier d’Appel d’Offres (DAO) et les critères d’attribution des marchés de travaux. De ce fait, l’objectif est de former ces professionnels à identifier et sélectionner les offres qui présentent le meilleur avantage économique pour l’État.

La 10ème session de formation de l'ArmpBenin à Bohicon équipe les acteurs de la commande publique avec des stratégies avancéesD’autre part, cette initiative de l’ArmpBenin reflète l’engagement continu de l’organisation à renforcer la transparence et l’efficacité dans l’attribution des marchés publics. Elle souligne aussi l’importance d’adopter une approche éducative pour garantir l’utilisation la plus judicieuse des fonds publics.

Finalement, des experts reconnus dans le domaine des marchés publics animent la formation, qui vise à équiper les participants avec les compétences et connaissances nécessaires pour naviguer dans l’environnement complexe des marchés de travaux. Avec cette formation, l’ArmpBenin espère poser les bases d’une gestion plus efficace et économique des projets futurs.

Inauguration de la première édition d’ECOFEST

Abidjan, Épicentre Culturel–Dans l’écrin prestigieux du Palais de la Culture d’Abidjan, la cérémonie d’inauguration d’ECOFEST 2024 s’est déroulée le samedi 11 mai, marquant ainsi le début d’une semaine dédiée à la célébration des arts et de la culture de l’Afrique de l’Ouest. Par ailleurs, cet événement, orchestré par les instances de la CEDEAO et de l’UEMOA en collaboration avec la République de Côte d’Ivoire, se déroulera du 21 au 28 septembre, sous le signe de la culture comme vecteur de paix et d’unité.

ECOFEST 2024, le festival qui célèbre la diversité culturelle ouest-africaine à Abidjan, forgeant un avenir commun à travers l'artLa Culture au service de l’intégration et de la paix

En effet, l’ambition d’ECOFEST est de tisser des liens entre les peuples ouest-africains en mettant en lumière leurs identités culturelles diverses. L’objectif est clair : utiliser le pouvoir fédérateur de la culture pour renforcer l’intégration régionale et célébrer la richesse de la diversité culturelle de la région.

De surcroît, la Ministre de la Culture et de la Francophonie, Madame Françoise REMARCK, a officiellement lancé les festivités, entourée de dignitaires et de personnalités éminentes du monde culturel. La cérémonie a été ponctuée par des discours inspirants et des performances artistiques qui ont mis en valeur le patrimoine culturel ouest-africain.

Abidjan : Cœur battant de la culture ouest-africaine

Le choix d’Abidjan comme hôte de la première édition d’ECOFEST est apparu comme une évidence, la ville ayant été désignée dès les prémices du projet. L’engagement d’Abidjan dans le domaine culturel et son rôle de capitale économique en font ainsi le lieu idéal pour un tel rassemblement.

En outre , les représentants de la CEDEAO et de l’UEMOA ont exprimé leur gratitude envers les autorités ivoiriennes pour leur soutien. Ils ont souligné l’importance d’ECOFEST comme plateforme d’échanges et de valorisation du patrimoine culturel, essentiel à la vision d’une Afrique de l’Ouest unie et prospère.

ECOFEST 2024, le festival qui célèbre la diversité culturelle ouest-africaine à Abidjan, forgeant un avenir commun à travers l'artECOFEST : Miroir de l’âme Ouest-Africaine

En conclusion, la Ministre REMARCK a rappelé que la culture est le reflet de l’âme collective ouest-africaine, un symbole fort de l’histoire et de l’identité de la région. ECOFEST promet aussi  d’être un terreau fertile pour la célébration de la diversité artistique et la promotion du développement culturel.

Avec la participation des 15 États membres de la CEDEAO, dont les 8 de l’UEMOA, ECOFEST s’annonce comme un événement majeur, invitant les acteurs culturels à s’engager pour la promotion de la richesse culturelle ouest-africaine. C’est également  un appel à la célébration de l’unité à travers la diversité des expressions artistiques et la valorisation du patrimoine culturel de la région.

Lancement de l’AACC pour dynamiser le secteur créatif

Nairobi, Kenya – Dans une avancée significative pour le secteur créatif africain, le lancement officiel du  Secrétariat temporaire de la Commission africaine de l’audiovisuel et du cinéma (AACC) a eu lieu aujourd’hui . Cet événement historique a eu lieu à la suite de la participation de l’Ambassadeur Minata  Samate à l’AFSH24, sous le thème ambitieux « Audiovisuel et cinéma : leviers pour construire l’Afrique que nous voulons ».

L’Ambassadeur Samate, dans son discours éclairant, a souligné l’importance croissante de l’AACC, en déclarant : « Si une structure continentale telle que l’AACC était importante il y a 20 ans, elle l’est encore plus aujourd’hui et est très essentielle pour obtenir de meilleurs résultats du secteur créatif. » elle a mis en exergue la nécessité d’une identité culturelle forte, d’un héritage commun ainsi que de valeurs et d’éthiques partagées pour forger une Afrique unie et prospère.

Le lancement du Secrétariat temporaire de l'AACC au Kenya, soulignant son rôle clé dans l'unification et la promotion du secteur audiovisuel Le lancement de l’AACC marque un tournant décisif vers la réalisation d’une vision commune pour l’industrie audiovisuelle et cinématographique africaine. Cette initiative vise à renforcer la collaboration entre les nations africaines et à promouvoir une industrie créative dynamique qui reflète la richesse et la diversité du continent.

L’AACC s’engage à travailler sans relâche pour soutenir les talents africains, encourager la production de contenu local et contribuer à l’économie créative de l’Afrique. Avec cette nouvelle structure, l’Afrique fait un pas de géant vers la concrétisation de l’Afrique que nous voulons, une Afrique rayonnante sur la scène mondiale grâce à son patrimoine culturel et son expression artistique.

Connecter l’Afrique à l’avenir: learning2earning et l’essor d’edtech

Doha, Qatar – Lors d’une récente rencontre à Doha, des discussions fructueuses ont eu lieu entre l’Education Above All Foundation (EAA) et Ahunna Eziakonwa, Sous-Secrétaire général et Directeur du Bureau régional pour l’Afrique du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). L’objectif principal de ces échanges était de promouvoir le concept de « learning2earning », c’est-à-dire de relier l’éducation aux secteurs et compétences essentiels qui définissent notre avenir global.

Dans un monde où la technologie joue un rôle de plus en plus central, l’accès à l’éducation et à l’apprentissage est importante. En effet,  les discussions avec l’EAA Foundation ont mis en lumière l’importance d’investir dans les talents africains et de soutenir leurs idées innovantes pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment en ce qui concerne l’éducation universelle.

Un point saillant de la rencontre a été l’annonce qu’un des hubs de Timbuktoo se concentrera sur l’éducation technologique, ou ‘l’edtech’. Ce domaine agit comme un vecteur de transformation qui a le potentiel d’améliorer des millions de vies. Il comble les lacunes dans l’accès à l’éducation et offre des opportunités d’apprentissage qui répondent aux besoins du XXIe siècle.

Les initiatives telles que Timbuktoo et UniPods  representent  des solutions innovantes pour répondre aux défis éducatifs actuels, en particulier dans les régions du monde arabe et de l’Afrique. Ces plateformes visent à combler les lacunes en matière d’éducation et à connecter les apprenants aux secteurs clés, en préparant ainsi une génération future armée des compétences nécessaires pour prospérer dans un environnement mondial en constante évolution.

Alors que la rencontre à Doha se clôturait sur une note d’espoir et de détermination, une question demeure : comment assurer que ces initiatives ambitieuses, telles que Timbuktoo et UniPods, se traduisent par des résultats tangibles pour les jeunes talents africains ?