Culture : Poly-Rythmo et Bim sur scène à l’Institut français de Cotonou

Dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits de l’homme, la délégation de l’Union européenne au Bénin a, en collaboration avec l’Institut français de Cotonou, organisé un concert qui a eu lieu, le samedi 14 décembre, au théâtre de verdure dudit Institut. Devant plus de 500 spectateurs, l’orchestre Poly Rythmo et Bim ont offert un concert de taille avec un répertoire dansant et ambiant.

« J’ai passé une belle soirée avec de très bonnes ambiances, avec un vieux groupe que je redécouvre encore ce soir. J’écoute leur musique depuis ma naissance et je sais que c’est la génération de mes parents qui connaît bien cet orchestre », a confié une spectatrice. Pour elle, c’est une belle occasion de voir cet orchestre joué en live et ce, sur une scène pareille. Le fait de participer à une telle soirée a suscité des moments de souvenirs chez les uns et les autres. « Ce soir, beaucoup de souvenirs se sont remontés en moi. J’ai eu la chance d’écouter, en live, des chansons que je connais et dont je ne maîtrisais pas les paroles. Les voir sur scène en train de chanter est une belle découverte pour moi », a souligné Mélanie, spectatrice.

Au début de cette soirée de spectacle, l’orchestre Poly-Rythmo a cédé la première partie de la scène au groupe Bénin International Musical (Bim).

Composé de sept jeunes, ce groupe a, pendant plus d’une heure, égayé le public avec une diversité musicale du Bénin et de la sous-région. Assis, debout ou même au pied du podium, le public danse dans tous les sens. Une soirée plus conviviale et qui a permis aux uns et aux autres de savourer des chansons de l’ancienne et la nouvelle génération.

A l’occasion, le Tout-puissant Orchestre Poly-Rythmo a présenté au public un répertoire assez spécial. « Le répertoire de ce soir a été choisi par rapport aux séries de concert que nous avons donné, à l’Institut français. De façon générale, les gens se disent déçues parce qu’ils espèrent écouter un tel ou tel titre. Nous avons recensé ces besoins et nous avons essayé de les améliorer ce soir », a expliqué Vincent Ahéhéhinnou, responsable de l’Orchestre Poly-Rythmo. La joie a été pour cet orchestre de voir la jeune génération qui s’intéresse à leur style de musique.

« C’est heureux de voir des enfants qui ont choisi de faire le même métier que nous. C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons partagé la scène avec eux et mesuré le degré du travail qu’ils sont en train d’abattre de même que le niveau qu’ils ont atteint. Ce sont des enfants qui travaillent bien », a souligné Vincent Ahéhéhinnou. Pour lui, il est important que le peuple béninois soutienne la musique béninoise et la génération montante. « Les Béninois font du bon travail dans le domaine musical. Si nous n’avons pas eu la chance que cela traverse les frontières, c’est parce que nous ne nous soutenons pas bien. Je demande au peuple de nous faire confiance davantage et je pense que nous irons très loin avec la musique », a expliqué le responsable. Cette soirée a pris fin par un duo musical entre l’orchestre Poly-Rythmo et Bim.

Sécurité : La police républicaine a démantelé un réseau de cambrioleurs à Cotonou

Un réseau de cambrioleurs opérant à Cotonou et ses environs a été démantelé par les éléments du Contrôleur général de police Soumaïla YAYA, le jeudi 12 décembre 2019. Activement recherché depuis quelques jours par la Police républicaine, ce groupe de divorcés sociaux a, à leur actif, plusieurs faits délictueux dont le cambriolage d’une boutique le 1er décembre 2019 à Agla-Hlazounto, et un autre cambriolage à Tankpê, le 11 décembre 2019.

Photo de quelques produits volés

Après une enquête minutieuse, trois membres actifs dont deux femmes ont été interpellés. Suite à une perquisition, plusieurs objets issus des vols ont été retrouvés avec eux. Les enquêtes se poursuivent pour mettre la main sur les autres membres du réseau.

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3ème édition du festival “Les échos de Lobozounkpa”

Dans le but de mettre en lumière l’identité de l’espace culturel “Le Centre” et de permettre à la population de mieux se familiariser avec cet espace, Dominique Zinkpè, promoteur dudit espace, a initié l’événement récréatif dénommé “Les échos de Lobozounkpa”. La troisième édition de cet événement aura lieu du 20 au 22 décembre dans les locaux dudit centre situé à Lobozounkpa.

Le projet a été présenté, vendredi 13 décembre 2019, à travers une conférence de presse qu’ont donnée les responsables du Centre.

« Les échos de Lobozounkpa est une aventure qui a débuté en 2016 (la première édition). La première édition de cet événement n’était pas thématique et nous sommes restés sur une perspective beaucoup plus ouverte pour fédérer et rassembler un maximum d’artistes autour de nous », a confié Marion Hamard, directrice de l’espace culturel “Le Centre”.

Dans le souci de créer la cohésion, une volonté d’apporter un plus et d’aborder des thématiques afin d’ouvrir un espace de réflexion, cet événement est organisé, depuis sa deuxième édition (en 2017), autour des thématiques bien définies. Ce qui est beaucoup plus axé sur le travail des amazones.

“Les échos de Lobozounkpa est un festival pluridisciplinaire initié par “Le Centre”. Il propose, en collaboration avec le Collectif des Artistes de Centre (Cac) et l’Agence Dekart, un espace de découvertes, de rencontres et de réflexion autour des pratiques artistiques contemporaines. Pour cette occasion, des expositions, performances, projections, concerts, spectacles de théâtre, contes et ateliers seront organisés.

Autour de cet événement, plusieurs artistes da la localité et ceux d’ailleurs de même que le public sont attendus. Cette nouvelle édition est intitulée “Insitu” s’intéresse aux relations entre “Le Centre” et ses habitants.

Pour la présente édition, plusieurs activités sont prévues. Cette programmation entend mettre en lumière l’identité du Centre avec, pour point de départ, la dynamique essentielle d’agir avec le lieu dans lequel il évolue. Depuis sa création en 2015, cet espace a organisé des activités qui tournent autour de trois axes à savoir les arts, l’éducation et la société. « Depuis sa création et surtout en ces temps-ci, nous avons toujours œuvré pour associer la population qui est autour de nous et cela passe par plusieurs activités que nous organisons », a expliqué la directrice dudit centre. Ce centre dispose d’un musée, d’une bibliothèque, d’un espace scénique et bien d’autres.

La police républicaine en tournée de sensibilisation des conducteurs de taxi-motos

Être plus proche de toutes les composantes de la société est le crédo de la Police républicaine. C’est dans cette perspective que sous l’impulsion du Directeur général de la Police républicaine le Contrôleur général de Police Soumaïla YAYA, qu’une tournée de sensibilisation des conducteurs de taxi-motos sur le concept de la police communautaire a été initiée et a débuté le vendredi 29 novembre 2019 à Bohicon.

Cette tournée de sensibilisation vise d’une part, à impliquer plus activement ces conducteurs dans la chaîne de la coproduction de la sécurité et d’autre part, à rapprocher les populations des services de police. Après Bohicon et Parakou où 60 conducteurs de taxi-motos ont été sensibilisés à chaque étape, la délégation est rentrée sur Cotonou qui connaîtra les jours à venir son tour de formation et de sensibilisation.

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Gouvernance Locale : Tournée du ministre Alassane SEIDOU dans les départements et Communes du Bénin

Par cette visite qui change la donne des moyens classiques de correspondance, le Ministre Alassane SEIDOU entend vérifier les services d’état civil ainsi que l’existence des services publics de qualité dans nos communes.

Dans le cadre de la promotion d’une bonne gouvernance à la base et du renforcement de la qualité du service public dans nos communes, le Ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale, Alassane SEIDOU a  entrepris une tournée dans les départements et communes du Bénin. L’idée de ladite tournée rendue effective le jeudi 12 décembre 2019, s’est déroulée respectivement pour cette première journée dans le département du zou, principalement dans trois communes à savoir : Ouinhi, Bohicon et Agbangnizoun.

En effet, le ministre de la décentralisation, prenant la parole à chaque étape du parcours, ne cesse de  revenir sur les principaux objectifs de cette visite dans les communes. Il s’agit d’une part d’échanger avec les maires, les élus communaux et locaux, les personnels de l’administration locale ainsi que les populations, et de s’imprégner des conditions de travail dans les communes d’autres part. Mais ce n’est pas tout. Par cette visite qui change la donne des moyens classiques de correspondance, le Ministre Alassane SEIDOU entend vérifier les services d’état civil ainsi que l’existence des services publics de qualité dans nos communes.

Pour cela, Alassane SEIDOU au cours de sa visite dans les locaux de certains arrondissements et services des mairies, a échangé  avec les agents des services techniques, des affaires domaniales, des archives et de l’état civil. Après avoir écouté en bon père de famille les préoccupations des uns et des autres, Alassane SEIDOU n’a pas manqué de se prononcer. Ainsi, répondant à la préoccupation des maires par exemple sur l’interdiction  de recrutement de personnel, le Ministre s’est montré clair : «Cela n’est pas impossible. Les maires peuvent en faire la demande. Les mairies ont besoin d’efficacité». Certaines mairies ont déjà fait ce pas a-t-il d’ailleurs affirmé. Le Ministre a été plus que clair, cette mesure est pour éviter les déviances dans les recrutements.

Sur la  question de la gestion des Fonds FaDEC, l’autorité est satisfaite de la gestion faite de ces fonds pour la construction d’infrastructures au bénéfice des populations.

Notons que le ministre de la décentralisation et sa délégation ont pu s’imprégner des réalités dans le fonctionnement des administrations communales dans ses trois communes visitées. La délégation ministérielle a aussi échangé avec les administrés ainsi que les autorités administratives au niveau de chaque commune pour écouter les opinions des uns et des autres sur la qualité des prestations et des activités qui y sont menées. Pour finir, il a également recueilli les diverses préoccupations au sein de chaque commune; préoccupations auxquelles des solutions idoines ont été apportées pour le grand bonheur de la population.

Bénin : Visite culturelle des Ambassadeurs de l’UE

La délégation de l’Union Européenne et les ambassadeurs des Etats de l’Union au Bénin ont effectué une sortie touristique.

 

 

Cette sortie culturelle des ambassadeurs de l’UE au Bénin les à la capital du pays, Porto-Novo.

Ce jeudi 12 décembre 2019, plusieurs sites culturels de la ville au trois noms ont été visités. En effet, « La délégation composée de To Tjoelker-Kleve, ambassadeur du royaume des Pays-Bas, de Xavier Leblanc, ambassadeur du royaume de Belgique, d’Achim Tröster, de la République fédéral d’Allemagne et du chef adjoint de la délégation de l’union européenne au Bénin, Véronique Janssen a visité le quartier colonial subdivisé en trois grandes zones à savoir : la zone coloniale, la zone traditionnelle et la zone afro-brésilienne ».

La délégation a eu droit par ailleurs à un vernissage des œuvres de 12 artistes béninois au centre Ouadada.

Il faut souligner que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la la campagne « Démocratie et Droits de l’homme » de l’UE.

Edition 2019 des journées nationales de la gouvernance : l’éducation citoyenne pour mieux lutter contre la corruption

La troisième édition des Journées nationales de la gouvernance a eu lieu du 10 au 11 décembre 2019 à Cotonou autour du thème : « L’éducation à la citoyenneté: défis, enjeux et perspectives pour le développement du secteur de l’éducation au Bénin ».  Depuis 2017, l’initiative de l’organisation de la journée nationale de la gouvernance est prise par  l’Autorité nationale de lutte contre la Corruption (Anlc) et du Front des organisations nationales contre la corruption (Fonac) pour sensibiliser sur les causes et conséquences de la corruption au Bénin. Aussi, la tenue de cet événement, vise-t-elle à trouver des mécanismes pour lutter contre la corruption.

La trouvaille et l’innovation de cette édition 2019 des  Journées nationales de la gouvernance est la focalisation sur l’éducation citoyenne pour mieux lutter contre la corruption. Ainsi, acteurs du monde éducatifs sont appelés à ‘’ ’analyser les défis et les enjeux en la matière et de proposer des stratégies et actions pour améliorer l’éducation à la citoyenneté dans l’enseignement au Bénin’’. Plusieurs représentants d’autres pays : le Sénégal, la Guinée, le Mali, le Togo, le Burkina Faso, le Niger, Île Maurice et Madagascar, ont participé à cette édition 2019 pour un échange d’expérience.

Au bout de 48h de travaux, l’introduction dans les curricula des écoles, établissements, centres de formation et d’éducation du Bénin des cours sur l’éducation à la citoyenneté et  le renforcement des compétences des acteurs du système de l’éducation à la citoyenneté sont acquis. A l’issue de cette 3ème édition, l’implication des acteurs du système éducatif ainsi que la mise en place d’un programme d’orientation professionnelle préventive des apprenants en vue de réduire le taux de déperdition, de déscolarisation et d’échec scolaire dans l’enseignement secondaire est recommandée.

Pour le  président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (Anlc), « La bonne gouvernance est un élément capital dans la gestion du bien public ; la jeunesse constitue le fer de lance, la relève et le vivier dans lequel on va prélever les futurs responsables du Bénin. De ce point de vue, nous estimons que sa formation est primordiale à tous les niveaux de l’enseignement en vue du respect du bien public ». À l’en croire, l’éducation à la citoyenneté est un gage de développement. Pour cela il renchérit en déclarant : « En faisant ce travail, nous mettrons à la disposition des dirigeants des moyens nécessaires en vue des programmes de développement durable au profit de l’emploi des jeunes ».

L’édition 2019 des journées nationales de gouvernance se ferme avec la principale résolution de faire de l’éducation citoyenne un moyen de lutte contre la corruption.

Drame : Un élève tué par une de ses camarades dans un collège

Au Bénin, au Collège d’enseignement général (CEG1) de Bohicon, une affaire de tuerie défraie la chronique. En effet, dans ce lieu d’éducation et d’instruction, une rixe qui a opposé une fille à un de ses camarades s’est soldée par la mort de ce dernier ce mercredi 11 décembre 2019.

 

 

Selon les informations, une guéguerre est née depuis des jours au sujet de la constitution des groupes de classe entres les deux élèves. Le garçon serait turbulent, perturbateur et aucun de ses camarades ne l’aurait accepté dans un groupe. C’est ainsi que la fille, la meurtrière, lui aurait signifié ouvertement son envie de ne pas le voir faire partie de son groupe de travail alors que celui-ci insiste pour y avoir une place. Ce que le garçon n’aurait pas supporté. Les hostilités seraient déclenchées à ce moment et une première altercation aurait eu lieu brièvement.

Ne voulant pas s’en arrêter là les deux jeunes collégiens se seraient donnés rendez-vous le lendemain pour régler leur compte à la sortie des classes. Ce qui fût fatal à l’un d’entre eux, le garçon.

En venant à leur rendez-vous de boxe, le garçon se serait muni d’un compas et la fille de ciseaux. « La jeune élève, la vingtaine, se serait munie depuis son domicile de l’arme du crime, une paire de ciseaux avec laquelle elle a poignardé son camarade de classe. Après les altercations survenues la veille entre les deux élèves, l’auteur du crime, est revenue en furie ce mercredi dans la salle de classe et profitant de la pause de 10 heures, saisit le jeune élève par le col et lui enfonça les ciseaux tout droit dans le cœur, a-t-on témoigné. » Informe l’ABP.

Mise aux arrêts par la police, la meurtrière sera présentée au procureur. L’atmosphère de  psychose de ce drame est encore présente dans ce collège qui abrite plus de 3000 apprenants. Les autorités du collège, ses enseignants, les autorités locales de la commune sont appelés à prendre des mesures afin que ces gens d’événement ne se reproduisent plus.

 

 

 

Contrôle des produits alimentaires en fin d’année : La traque a commencé dans le Littoral

Dès ce jeudi 12 décembre 2019 et jusqu’à la fin de l’année 2019, ces deux ministères entendent dénicher et sortir des rayons des grandes surfaces et des marchés les produits impropres à la consommation.

Le Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, à travers l’Agence Béninoise de Sécurité Sanitaire des Aliments (ABSSA) et le Ministère de l’Industrie et du Commerce (MIC) par l’intermédiaire de sa Direction départementale Atlantique/Littoral, ont déclenché, ce jeudi 12 décembre 2019 à Cotonou, le contrôle conjoint des produits alimentaires pour la période des fêtes de fin d’année. Plusieurs équipes sont déployées sur l’ensemble du territoire du département du Littoral pour aller traquer les produits impropres à la consommation.

Premier jour de contrôle et déjà des produits alimentaires mis en vente à Cotonou dans certaines grandes surfaces et certains marchés sont jugés impropres à la consommation par les équipes conjointes du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche à travers l’Agence Béninoise de Sécurité Sanitaire des Aliments (ABSSA) et le Ministère de l’Industrie et du Commerce (MIC).

En effet, dès ce jeudi 12 décembre 2019 et jusqu’à la fin de l’année 2019, ces deux ministères entendent dénicher et sortir des rayons des grandes surfaces et des marchés les produits impropres à la consommation. L’appréciation du contrôle des produits, selon Constant Franck AKPOVO, Chef division contrôle entrepôt et distribution directe de la Direction de l’élevage, se fait sur l’état de salubrité du magasin ou du lieu de vente, les conditions de conservation du produit, la validité du produit, sa date de péremption et l’intégrité de l’emballage. Et le constat n’est pas totalement satisfaisant après les premiers sites inspectés, a déploré Aubin SESSOU ADROH, Directeur départemental Atlantique/Littoral du ministère de l’industrie et du commerce.

Pour lui, globalement, les normes de conservation ne sont pas respectées, affectant la qualité du produit, ce qui constitue une menace pour la santé humaine. «Lorsque le contrôle détecte des anomalies, le produit est saisi, tout le stock est retiré de la vente puis il est détruit dans les conditions réglementaires, a fait savoir Minhahoué TCHOUTCHOU, Directeur des contrôles à l’ABSSA. Il faut souligner que ces contrôles conjoints se font sur l’ensemble du territoire national.

Littérature : Le livre sera à l’honneur du 12 au 14 décembre prochain à Natitingou

Le responsable de la maison TV5 de Natitingou Lionel Agbodandé, dans une interview accordée à l’Agence Bénin Presse (ABP), a annoncé l’organisation de la première édition du projet « Les 72 heures du livre à Natitingou » du 12 au 14 décembre prochain.

Le projet, a confié le responsable de la maison TV5 de Natitingou, vise principalement la valorisation du patrimoine littéraire béninois.

« Il y a un vide quant aux événements majeurs marquant la littérature béninoise dans les villes du nord. C’est pour apporter une certaine solution à ce problème que la maison TV5 a initié le projet », a justifié Lionnel Agbodandé.

Au programme, une mini-foire du livre, des conférences débats sur plusieurs thématiques dans les collèges et lycées de la ville de Natitingou, la finale du concours « Le prix maison TV5 du jeune lecteur » et un atelier de dessin au profit des écoliers.

« L’acteur principal de cette édition c’est l’écrivain Maman Raouf dont l’ouvrage « Pourquoi le bouc sent mauvais » est inscrit à l’enseignement du français en 6e », a-t-il précisé.

Lionel Agbodandé a exhorté les responsables d’établissements à accompagner l’événement à travers une forte mobilisation des élèves et écoliers de Natitingou.